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MAMMIFERES MARINS

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Otariidae. Otariidés • Otaries Par rapport aux phocidés (phoques et éléphants de mer) ou aux odobénidés (les morses), ils possèdent des petites oreilles et n'ont pas totalement perdu l'usage de leurs membres postérieurs en reptation terrestre. Étymologie[modifier | modifier le code] Leur nom est emprunté au grec ὠτάριον (ōtárion), « petite oreille », mais dans les Problèmes de linguistique générale, Émile Benveniste explique qu'il s'agit de l'oreille externe, apparente chez cet animal[2]. La famille des Otariidés a été nommée par John Edward Gray en 1825. L'antériorité de la classification de cette espèce revient en fait à Monsieur François Péron qui a nommé l'otarie du mot grec "Otarion" qui signifie "Lobe d'oreille" à l'occasion du Voyage de découvertes aux terres australes sous le commandement du capitaine Nicolas Baudin effectué de 1800 à 1804.

Le chiot est le nom donné au petite de l'otarie[3]. Description[modifier | modifier le code] Histoire évolutive[modifier | modifier le code] Phocidae. Phocidés Biologie[modifier | modifier le code] Anatomie[modifier | modifier le code] Les Phocidae sont marqués par une diversité de morphologie : le phoque adulte le plus petit (phoque annelé) a une taille de 1,17 m et une masse de 45 kg, le plus imposant (éléphant de mer du sud) a une taille de 4,9 m et une masse de 2 400 kg[2]. Visuellement, le phoque se différencie aisément de sa cousine l'otarie : Alimentation[modifier | modifier le code] Ils ont moins de dents que les carnivores terrestres mais leurs canines sont particulièrement puissantes. Locomotion[modifier | modifier le code] À terre ou sur la glace, les phoques entrent en contact par toute leur face ventrale avec le substrat. Peau et fourrure[modifier | modifier le code] Comparaison du squelette des phoques et des otaries.

Systématique[modifier | modifier le code] Les Pinnipèdes représentent 28 % de l'effectif total des mammifères marins avec 18 espèces de phoques, 14 espèces d'otaries et seulement une espèce de morse[14]. Balaenidae. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une baleine franche australe L'appellation franche provient des chasseurs baleiniers, qui recherchaient plus particulièrement cette famille pour sa forte teneur en graisses. Cela en augmentait la rentabilité économique par rapport aux rorquals, et, de plus, les prises flottaient plus longtemps sur l'eau, ce qui rendait l'exploitation plus simple[1]. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Les balénidés se distinguent des balaenopteridés principalement par l'absence de sillons jugulaires et d'aileron dorsal.

Liste des espèces[modifier | modifier le code] genre Balaena Linnaeus, 1758Balaena mysticetus Linnaeus, 1758 — baleine boréale ou baleine du Groenlandgenre Eubalaena Gray, 1864Eubalaena australis Desmoulins, 1822 — baleine franche australeEubalaena glacialis Müller, 1776 — baleine de BiscayeEubalaena japonica Lacépède, 1818 — baleine noire du Pacifique Nord (le statut d'espèce différente de Eubalaena glacialis est incertain) Mysticeti. Morphologie et anatomie[modifier | modifier le code] Morphologie[modifier | modifier le code] Aspect général[modifier | modifier le code] La baleine bleue est le plus gros animal actuel, et le plus lourd ayant jamais existé. Les mysticètes sont les animaux les plus grands de la planète vivant à notre époque. Les différentes espèces sont généralement d'un gris plus ou moins sombre. Les rorquals, les baleines pygmées et les baleine grises possèdent des sillons gulaires, variant de quelques-uns pour ces dernières à plus d'une cinquantaine en moyenne pour les rorquals, sauf la mégaptère qui en a entre 12 et 36.

Les baleines ont deux évents au-dessus de la tête, sortes de narines servant à respirer. Les mysticètes sont hydrodynamiques, particulièrement les rorquals qui sont fusiformes. Les fanons[modifier | modifier le code] Dimorphisme sexuel[modifier | modifier le code] C'est à peine visible mais la femelle est plus grande que le mâle, de quelques mètres. Anatomie[modifier | modifier le code] Dauphin. Terminologie[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] L'ancien français daufin est attesté au milieu[2] du XIIe siècle[1] : d'après le Trésor de la langue française informatisé, sa plus ancienne occurrence connue se trouve dans un manuscrit du Roman d'Alexandre[2].

Sous le terme dauphin, on regroupe beaucoup d'espèces très différentes. Aussi bien au niveau comportemental qu'au niveau physique aussi les généralités propres à tous les dauphins sont communes à tous les odontocètes, appelés « dauphins » ou non. Noms vulgaires et noms scientifiques correspondants[modifier | modifier le code] Liste alphabétique des noms vulgaires ou des noms vernaculaires attestés[5] de cétacés appelés « dauphin ». Note : certaines espèces ont plusieurs noms et les classifications évoluant encore, certains noms scientifiques ont peut-être un autre synonyme valide. Biologie, comportement et écologie[modifier | modifier le code] Évolution[modifier | modifier le code] Le GREC - Groupe de recherche sur les cétacés. DORIS - Données d'Observations pour la Reconnaissance et l'Identification de la faune et la flore Subaquatique.

Requins.eu - Accueil. WoRMS - World Register of Marine Species. Le monde fabluleux des cétacés : baleines, dauphins... Society for Marine Mammalogy. MSC : Marine Stewardship Council. Marine Conservation Society. APECS. The EU Shark Journey : Shark Alliance. Phoques. SOS Grand Bleu : protection des dauphins et des mammifères marins.

Megaptera-oi.org. Le monde des baleines et des mammifères marins. Les Dauphins. International Whaling Commission. Sea Shepherd Conservation Society. The Great Whale Conservancy for the Protection of Blue Whales.