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Ressources théoriques

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Socialbookmarking-recherche d’information. Présentation Cette proposition, inscrite au TRAAM Documentation de Toulouse (mars 2012), nous est apparue intéressante à plus d’un titre.Elle montre en particulier comment exploiter pédagogiquement un gestionnaire de signets collaboratif en ligne pour une recherche documentaire. Cet exemple illustre en effet l’idée que la recherche de l’information, aujourd’hui, n’est plus limitée à l’interrogation des moteurs de recherche mais qu’elle nécessite d’imaginer et de concevoir des stratégies variées pour « pousser » vers soi l’information dont on a besoin ( push ), et notamment en s’appuyant sur les réseaux sociaux et le partage des données.

Dans la majorité des cas, nous basons notre enseignement sur les moteurs de recherche (utilisation, fonctionnement), ces outils emblématiques de la première génération du web. En contrepoint donc, cette séance fait entrer la recherche d’information dans les pratiques ouvertes par le web 2.0, à orientation sociale et collaborative. Outils didactiques. Sequence pedagogique-appui-objectifs. Pratiques d’indexation sociale et démarches de veille informationnelle. Des DOI (Digital Object Identifier) sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions abonnées à l'un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lesquelles Bilbo a trouvé un DOI.

Le service d'export bibliographique est disponible pour les institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : access@openedition.org. AFNOR, (1998), Prestations de veille et prestations de mise en place d’un système de veille, Norme X50-053. Basset, H., (2010), Identification d’experts scientifiques et de leaders d’opinion : la méthode IdEx 2.0, in Bases, n° 271. Blanchet, A., (2004), La psychologie des groupes, 2e édition, Armand Colin, Collection universitaire de poche. Golder, S. Milicevic, A.

Sinclair, C. Wal, T. Outils de social bookmarking : comparatif de delicious, diigo et pearltrees. Accueil > Boîte à outils, CDI, Etudiants 2.0 > Outils de social bookmarking : comparatif de delicious, diigo et pearltrees On désigne par « social bookmarking » le fait de stocker, de classer et de partager des signets. Ces derniers, appelés également favoris ou marque-pages, sont des pages Web au contenu pertinent auxquelles on souhaite avoir un accès ultérieur facilité. Cette activité participe pleinement à la veille informationnelle.En pratique : Vos pérégrinations sur le Web vous ont amené à découvrir des sites/pages dignes d’intérêt.

Au lieu de saturer l’espace « favoris » de votre navigateur (Mozilla Firefox, Internet Explorer…), vous enregistrez leur adresse (c’est-à-dire leur url, du type : sur une interface en ligne. L’intérêt : retrouver vos favoris de n’importe quel ordinateur connecté à Internet,gérer une très grande quantité de signets,découvrir des sites à l’intérêt similaire en navigant dans les favoris publics des autres utilisateurs. Tags : définition et enjeux. Accueil > Etudiants 2.0 > Tags : définition et enjeux Les tags sont des étiquettes ou mots-clés librement choisis par l’utilisateur, qui décrivent des concepts et permettent d’améliorer la recherche de contenu.

Très utilisés dans le Web 2.0, on les retrouve notamment dans les interfaces de social bookmarking (delicious, diigo…) où ils sont utilisés de façon collaborative, mais aussi sur les sites Internet (voir les « mots-clés » de ce billet après en bas de page) et les outils de gestion de documents/fichiers personnels (par exemple Zotero).

Les tags sont avant tout personnels. L’utilisateur doit penser collectivement : les tags sont certes personnels mais peuvent également être utilisés par d’autres ;employer le pluriel pour définir des catégories. Les nuages de tags sont des représentations visuelles de l’ensemble des thématiques d’un site, blog, groupe de favoris. J'aime : J'aime chargement… 5.4.1 Qu’est-ce qu’une plateforme de partage de signets ? | Veille professionnelle et outils collaboratifs. A/ D’où viennent ces outils ? Les plateformes de partage de signets s’inscrivent dans une double lignée d’outils : – d’une part, les gestionnaires de signets : ces outils déjà anciens, apparus avec le web, permettent à l’internaute de garder une trace de ses navigations, de mémoriser ses trouvailles, d’accéder rapidement à ses sites favoris.

Les plateformes de partage de signets assurent les mêmes fonctions que les gestionnaires de signets, qu’il s’agisse des outils intégrés aux navigateurs (marque-pages sur Firefox, favoris sur Internet Explorer), d’extensions ou d’outils autonomes (cf cet exemple de liste sur Logithèque.com) ; – d’autre part, les plateformes de partage : on entend par là toutes les plateformes de partage de fichiers, de toutes natures (textes, sons, images, vidéos, etc.), aujourd’hui très connues sur le web social. B/ Quelle définition, quelles spécificités ? En bref, une plateforme de partage de signets, ce n’est pas : C/ Une double dimension, un double intérêt. Fiches péda Clemi. Brochure Canopé medias/information2014 15. Curation et logique doc/ Le Deuff. Sur une maîtrise des littératies et de la capacité de lecture et d’écriture. Nulle révolution ici, si ce n’est que ces capacités s’exercent sur une variété de documents de plus en plus importante.

Les productions transmedia (qui mêlent divers types de sources et de formes de documents) nécessitent la voie d’une translittératie - [6]. Mais, quel que soit le support, il s’agit toujours d’analyser des documents et des textes (au sens de Jeanneret pour qui le texte est ce qui nécessite une lecture, cela peut donc être également une image ou une vidéo). Il s’agit de faire preuve d’un esprit de synthèse qui puisse éventuellement déboucher sur une production démontrant ce travail d’analyse qui peut alors servir également au collectif.

Si bien que pédagogiquement, s’il ne devait y avoir qu’une seule voie pour la curation, c’est bien celle de l’analyse documentaire. Mais il apparait essentiel que toute production documentaire soit aussi réalisée en fonction de destinataires potentiels. Évaluation de l'information/veille A Serres. Alexandre Serres Enseignant-chercheur, co-responsable de lʼURFIST de Rennes Article paru dans le Mediadoc N°8 en Juin 2012 Evaluation de l’information et veille : il n’y a pas si longtemps, ces deux activités étaient l’apanage des professionnels de l’information et restaient assez clairement distinctes, tant dans les modèles théoriques que dans les pratiques réelles. L’évaluation des ressources était considérée comme une étape de la recherche d’information et comme une composante de la veille, et la distinction entre les deux paraissait encore évidente. Aujourd’hui, non seulement ces deux activités sont devenues l’affaire de (presque) tous, mais elles sont si entremêlées qu’il devient parfois difficile de distinguer ce qui ressort de l’une ou de l’autre.

Dès lors, face à l’hybridation, voire à la confusion des pratiques informationnelles, il devient indispensable, notamment pour les professeurs documentalistes, de s’interroger sur ce qui distingue encore ces activités et ces pratiques. Evaluation d'un site. Un document Internet reste un document, même si son support est particulier. A ce titre, il semble judicieux de lui appliquer les règles normales de la critique externe du document, qui s'appliquent d'abord au contexte, c'est-à-dire au site qui présente les informations. Ces règles reposent sur les questions suivantes : Ces questions doivent être prises ensemble, et la décision de considérer comme fiables les informations doit venir de la convergence des réponses qu'on obtient.

L'auteur d'une information est le premier responsable de celle-ci. Il est donc important de pouvoir identifier et de déterminer les compétences de celui qui fournit l'information. Questions: Quelles sont les compétences de l'auteur ou des auteurs? Lors de la recherche d'une information ciblée à l'aide d'un moteur de recherche, le nombre de sites référencés peut être énorme, c'est pourquoi il est parfois éprouvant de lire toutes les pages qui sont fournies. Question lors de la lecture des résumés: Questions : Si c'est écrit, c'est vrai? - Question de bon sens. Grilleevaluationenseignant. L'Agence nationale des Usages des TICE - Les croyances et l’évaluation de l’information sur Internet.

Par Tiffany Morisseau * Internet est devenu le moyen privilégié des élèves pour trouver des informations, en particulier dans le cadre d’un travail scolaire. Obtenir de l’information correspondant à un mot-clé à partir d’une requête sur un moteur de recherche est en effet relativement simple, et pourtant trouver des réponses pertinentes à une question donnée est une tâche qui reste difficile parce que les élèves (comme beaucoup d’adultes) sont confrontés à des biais de jugement au moment d’évaluer l’information (le concept d'évaluation de l'information peut être défini, selon Alexandre Serres de l'université de Rennes 2, comme l'analyse de quatre éléments : la fiabilité de la source, la qualité du contenu, la cohérence de l’organisation, la pertinence de la présentation ; qui font appel à différents domaines de connaissances et qui, comme le rappelle l'auteur, sont loin d'être partagés par tous).

Les « croyances épistémologiques » Le rapport entre croyances et évaluation Conclusion. Comment évaluer les notions info-documentaires : une démarche en 7 étapes. Guide à l’usage du professeur documentaliste Aujourd’hui, il apparaît de plus en plus nettement que le cœur des apprentissages info-documentaires est conceptuel : il est plus utile, en effet, de connaître et de comprendre les principes essentiels relatifs aux outils, aux processus, aux usages et aux problèmes d’ordre informationnel tels qu’ils irriguent notre « société de l’information » que de courir sans cesse après les éternelles évolutions des outils et les incessantes adaptations procédurales que ceux-ci génèrent. Par ailleurs, et depuis quelques années maintenant, les acteurs de l’éducation, professeurs-documentalistes en première ligne, prennent conscience que les expériences spontanées des élèves ne suffisent pas à les rendre maîtres ni des outils ni des stratégies basiques de la recherche documentaire, sans même parler d’asseoir une culture de l’information !

1. Les 7 étapes de l’évaluation des concepts info-documentaires 1.1. Repérage des difficultés des élèves Exemples : 2. 1.2. Signetsv4. Social bookmarking8. Genres 10Leresume. Pol doc ac 2014. Introduction. Du tag au like Bonus.