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Innovation

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Les 7 compétences clés du travail de demain. Michel Serres nous rappelait récemment que l’évolution des technologies nous force à être intelligents. Les technologies révolutionnent en effet notre environnement de travail et nous poussent à développer de nouvelles compétences. De nombreuses prospectives alimentent le débat et mettent en lumière les compétences qui feront la différence sur le marché du travail de demain.

Quelles sont les évolutions dans les compétences distinctives ? Quelles doivent être les priorités en termes de développement des compétences ? Essayons de creuser. Un consensus se dégage autour de 7 compétences Etre compétent dans son travail requiert un savant mix de compétences techniques (les hardskills), comportementales (les softskills), et sectorielles (je maîtrise les enjeux et la culture du secteur d’activité dans lequel j’évolue). 1. 2.

Quand on pense au numérique, on pense plus aux outils et aux média (Youtube, twitter,…) que ce que l’on y fait. 3. 4. 5. Plus que jamais, ce que vous ferez dépendra de vous. Documents. BO n°28 du 31 août 2017 Le ministère de l'éducation nationale organise la huitième édition de la « Journée nationale de l'innovation. » Cette journée a pour objectif de valoriser la capacité de recherche et d'innovation des acteurs du système éducatif. Un appel national à projet est lancé à partir du 1er septembre 2017 jusqu’au 10 novembre 2017. Il s'adresse à tous les personnels enseignants, de vie scolaire et de direction des écoles du premier degré et des établissements du second degré. Les sept domaines suivants seront privilégiés pour l'année 2017-2018 : 1.

Consolider la maîtrise du français ; 2. Devenir étudiant : la transition entre le lycée et l'enseignement supérieur ; 3. Apprentissage de l'autonomie et travail personnel de l'élève ; 4. Retour sur le Printemps de la Recherche en éducation 2017. Rapport sur la Recherche et développement de l’éducation tout au long de la vie – Avril 2017 | Centre for Research and Interdisciplinary. Les compétences du 21e siècle - OCE - L'Observatoire compétences-emplois. À l’ère de la culture numérique, de nouvelles exigences apparaissent dans le domaine de l’éducation et de l’emploi. Au cours des vingt dernières années, plusieurs termes ont été utilisés pour les désigner, tels que compétences de base, compétences essentielles, compétences clés, socle commun de connaissances et compétences, etc.

Depuis les cinq dernières années, cependant, un consensus émerge sur le terme compétences du 21e siècle, plus englobant, significatif et générique que les autres. S’accordant sur la terminologie, qu’en est-il de la définition de ces compétences? Dans ce dossier, nous présentons les travaux de deux équipes de chercheurs, une néerlandaise, l’autre américaine, qui se sont intéressées à cette question. La mise en parallèle de leurs travaux permet de constater que les compétences qui font consensus et celles qui sont les plus en demande sur le marché du travail sont très semblables. Les compétences qui font consensus Les compétences les plus en demande Les savoir-faire. Des écoles pour les apprenants du XXIe siècle. Quelle école pour le XXIe siècle ?

Que ce soit pour répondre aux enjeux de la mutation numérique ou pour permettre l’éducation de tous les enfants, un vaste mouvement international plaide pour une école moins compétitive et plus tournée vers les savoir-faire. De San Francisco à Doha, d’Helsinki à Dakar, forums et initiatives foisonnent depuis une dizaine d’années pour inventer « l’école du XXIe siècle ». Le microcosme qui anime cette réflexion a ses lieux et rendez-vous culte, ses stars planétaires et ses réseaux de référence –parmi lesquels Ashoka, organisation internationale « qui a pour vocation de faire émerger et de soutenir les solutions entrepreneuriales les plus innovantes aux défis sociaux et environnementaux » et qui organise le 29 juin au Grand Rex (Paris) un événement intitulé « Redessinons l’éducation », en partenariat avec Le Monde.

Protéiforme et multipolaire, ce mouvement a pour premier trait de penser l’éducation à une échelle mondiale. . « Davos de l’éducation » Les Etats en font-ils assez ? Every Child Practicing Empathy. The world is changing—faster than ever before—from a society run by elites to a society in which everyone can be a changemaker. In this new world, empathy is one of the most important skills. Empathy is foundational to the ability to resolve conflict, collaborate in teams, align interests, listen effectively, and make decisions where there are no rules or precedents—to solve problems and drive change. Ashoka's Empathy Initiative is a collaborative platform for social entrepreneurs, educators, and concerned citizens whose ideas and talents can contribute to the creation of a world where every child practices empathy.

We are bringing together a global network of Ashoka Fellows and other partners to work towards a society in which learning empathy is as fundamental as reading and math; where parents insist that their children develop empathy; and where institutions cultivate empathy learning and practice. Why Ashoka? Why Empathy? Why Now? Our Approach Accelerate Empathy Entrepreneurs. Les compétences du XXIe siècle. Plusieurs organismes internationaux se sont attelés à définir cet ensemble de savoirs et de savoir-faire sur lesquels nos systèmes éducatifs devraient se concentrer pour former les futures générations aux besoins de l’économie de la connaissance. Ces nouvelles aptitudes ont été dénommées les « compétences du XXIe siècle ». Qu’il s’agisse des travaux en la matière de l’OCDE, du groupement d’expert internationaux ATC21S ou encore de l’organisation américaine P21, on retrouve plusieurs points communs permettant de dégager trois blocs principaux : des compétences génériques d’apprentissage, des compétences d’innovation et de création et des compétences de collaboration.

Face à la révolution de l’informationLe premier ensemble répond à la nécessité de savoir manoeuvrer dans un monde bouleversé par la révolution de l’information et de la communication. Le développement d’une telle culture nécessite que les apprenants n’aient plus peur de l’échec. OCDE-francois-taddei-FR-fev2009. François Taddei : « Il est temps de passer à une école de la confiance » Créé en 2005, le Centre de recherches interdisciplinaires agrège des dizaines d’actions innovantes en matière d’éducation. Son fondateur et directeur, le biologiste François Taddei, plaide pour une révolution copernicienne qui transformerait un système éducatif engoncé dans le contrôle en « écosystème innovant ». Avant même d’agir, il faut avoir conscience de l’urgence de l’action. Cette conscience existe-t-elle dans le domaine de l’éducation ? Je ne le pense pas. Mais avouons que le chantier est d’ampleur.

Ces écosystèmes innovants, comment les crée-t-on ? Pour commencer, il faut faire confiance. Officiellement, l’éducation nationale s’y emploie… Sans doute. La défiance serait en quelque sorte institutionnalisée ? Oui. Ainsi qu’en convaincant certains syndicats qu’« autonomie » n’est pas un vilain mot… Je ne crois pas que l’autonomie fasse peur. Un débat sur l’école au Monde Festival : Agir sur l’école, de la classe au monde Concrètement ? Propos recueillis par Emmanuel Davidenkoff. Inventer une nouvelle maïeutique pour apprendre à apprendre. François Taddéi est l’auteur d’un rapport pour l’OCDE, « Former des constructeurs de savoirs créatifs et collaboratifs » [5]. Nous l’avons rencontré au Centre de Recherches Interdisciplinaires, lieu symbolique pour ce chercheur au parcours à la diversité atypique en France, actuellement directeur de recherche à l’Inserm à l’université Paris Descartes. Le CRI se veut un exemple de ces « carrefours d’esprits créatifs » [6] que propose François Taddéi pour l’ensemble du système éducatif : les étudiants sont de formations universitaires très diverses (biologie, physique, mathématiques, philosophie, économie, sciences humaines, informatique etc.), ils disposent d’une grande latitude dans leur choix d’objets de recherche, dans l’idée que cette confrontation entre points de vue variés favorise la créativité intellectuelle.

Vous qui n’êtes pas, par votre formation, spécialiste de l’éducation, qu’avez-vous voulu montrer dans ce rapport ? Quels pourraient être les facteurs d’espoir ? Réussite et créativité : Atout Diversité ! Quand l'arrivée des femmes dans les conseils d'administration bouleverse les entreprises Depuis le 1er janvier, les conseils d'administration ou de surveillance de plus de 10 000 entreprises françaises doivent compter au moins 40 % de femmes. Depuis cette année, l'égalité hommes-femmes est devenue une réalité dans les conseils d'administration ou de surveillance de plus de 10 000 entreprises françaises. Du moins, une obligation. Toutes les sociétés cotées en Bourse, mais aussi toutes celles qui ne le sont pas mais emploient plus de 500 salariés et présentent un chiffre d'affaires ou un total de bilan de plus de 50 millions d'euros, doivent compter au moins 40 % de personnes du même sexe dans ces instances.

La loi dite Copé-Zimmermann le leur impose. Dans les grandes entreprises, la règle est plutôt respectée. «Moins agressives, plus concrètes» Le profil bas de la bonne élève Ces femmes sont ensuite parrainées par un autre président participant au programme. Plus vigilantes face aux risques. Apprendre Demain - Consultation nationale sur la recherche et développement en éducation. Ces évolutions majeures qui pourraient faire changer le monde de l’éducation. Polytechnicien, biologiste, directeur de recherches à l’Inserm, François Taddéi est à la tête du Centre de recherches inter-disciplinaires, hébergé à l’Université Paris-Descartes.

Membre du Haut conseil de l’Education nationale, ses recherches portent notamment sur l’innovation dans l’éducation. Bouillonnant, il ne travaille « qu’avec des gens qui ont envie » et rappelle que son dieu favori est Portunus, le dieu des clés et des portes. Alors que François Hollande a annoncé l’Acte II de la refondation de l’école, François Taddei explique comment les enseignants peuvent s’adapter à un monde changeant et décrit l’une de ses initiatives pédagogiques que dix pays étrangers veulent dupliquer. Pour lui, les questions des élèves sont au moins aussi importantes que leurs réponses. Car il faut aussi leur « apprendre à apprendre ». Quel peut-être le rôle de l’école aujourd’hui ? Quels autres enseignements tirez-vous de Socrate ? Quelle expérience éducative innovante menez-vous en ce moment ? Huit étapes pour innover en éducation. Si nous prenons pour acquis le postulat que chaque génération d’enseignant est en retard sur la génération d’élèves à laquelle il enseigne et que ce retard s’est accentué grâce à différentes fractures générationnelles, la nécessité d’innover en éducation devient incontournable.

Le Conseil supérieur de l’éducation du Québec définit l’innovation en éducation de la façon suivante : Un processus délibéré de transformation des pratiques par l’introduction d’une nouveauté curriculaire, pédagogique ou organisationnelle qui fait l’objet d’une dissémination et qui vise l’amélioration durable de la réussite éducative des élèves ou des étudiants. L’innovation en éducation implique donc de rassembler les concepts de nouveauté, d’amélioration et de durabilité.

Ainsi, dans un contexte quotidien, comment les acteurs du monde de l’éducation, quels qu’ils soient, comptent-ils innover dans leurs pratiques ? On dit qu’une bonne idée se mesure à sa capacité à être réalisée. Étape 1 : une idée Enseignant.