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ETAT

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Partenariats public-privé : un dispositif de plus en plus décrié. Les critiques pleuvent sur les coûts du « Pentagone français » construit par le privé.

Partenariats public-privé : un dispositif de plus en plus décrié

Ces partenariats, qui permettent à l’Etat et aux collectivités de s’équiper sans s’endetter, sont de plus en plus décriés. A 13 613 euros le scanner et l’imprimante, plus de 5 000 euros pour ajouter un œilleton à la porte… les militaires de l’Hexagone Balard — le « Pentagone à la française », construit par l’intermédiaire d’un partenariat public-privé (dit aussi « PPP ») et inauguré jeudi 5 novembre —, vont de surprise en surprise. Ce bâtiment, qui abrite le ministère de la défense mais aussi les états-majors de l’armée, a été construit par un consortium d’entreprises, et ce sont ces entreprises qui le gèrent désormais, le ministère n’est qu’un client dans ses propres murs.

Ce qu’on appelle un « partenariat public-privé ». Une forme de contrat entre Etat et secteur marchand, qui a connu un grand succès durant la décennie 2000, mais devient de plus en plus décrié. 1. 2. 3. Les plus nombreux sont : 4. 5.

TRESOR PUBLIC

 Protection des personnalités : la vraie-fausse plainte des policiers d'élite. Dans l’Essonne, il a vu sa taxe foncière flamber de 70.600 euros. Oct 2015 - REFORME CONSTITUTIONNELLE - SPOILS SYSTEM ? ARMEE. COLLECTIVITES TERRITORIALES. Votre commune est-elle touchée par la baisse des dotations ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard Les maires de France ont manifesté, samedi 19 septembre, contre la baisse des dotations globales de fonctionnement, allouées chaque année par l’Etat aux collectivités locales.

Votre commune est-elle touchée par la baisse des dotations ?

Entamée en 2014, cette diminution doit se poursuivre et se creuser au moins jusqu’en 2017. Quel montant de dotation votre commune a-t-elle touché en 2014 ? Est-elle concernée par la diminution dénoncée ? Dans le tableau ci-dessous, naviguez dans les données issues du ministère de l’économie et des finances. Outre les données 2014 – les dernières à être disponibles publiquement –, nous avons choisi de montrer leur évolution depuis 2012, année durant laquelle les dotations ont atteint leur pic avant de commencer à diminuer.

JUSTICE

Le ministère de la Justice emploie 40 000 personnes au noir. Ils sont traducteurs, experts, médiateurs, et à la fin du mois, ils n’ont pas de fiche de paye et pas de couverture sociale.

Le ministère de la Justice emploie 40 000 personnes au noir

Le ministère de la Justice est durement épinglé par un rapport d’inspection interministérielle rendu en janvier 2014 et révélé par le Canard enchaîné à paraître mercredi, pour l’emploi de 40 000 personnes non déclarées. Le rapport des inspections générales des Finances, des Services judiciaires et des Affaires sociales évalue à près de 50 000 le nombre de ces «collaborateurs occasionnels du service public» employés par différents ministères, dont 40 500 pour le seul ministère de la Justice. Le document, qui souligne que cette pratique est très ancienne, estime qu’en cas de poursuites judiciaires collectives, le coût pour les finances publiques serait «de l’ordre d’un demi-milliard d’euros».