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Freedom Riders

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"Freedom Riders" Trailer. Freedom Riders (A Documentary on NonViolent Civil Right Movement in the US) Freedom ride. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Freedom ride

Les Freedom Rides (voyage de la liberté en anglais) sont les actions de militants du mouvement des droits civiques aux États-Unis qui utilisaient des bus inter-états afin de tester l'arrêt de la Cour suprême Boynton v. Virginia qui rendait illégale la ségrégation dans les transports. Le premier Freedom Ride partit de Washington, D.C. le 4 mai 1961[1], et devait arriver à La Nouvelle-Orléans le 17. Les militants furent arrêtés dans les États du Sud sous prétexte de violer les lois locales et les lois Jim Crow. Freedom riders pictures. Freedom Riders. Boynton outlawed racial segregation in the restaurants and waiting rooms in terminals serving buses that crossed state lines. Five years prior to the Boynton ruling, the Interstate Commerce Commission (ICC) had issued a ruling in Sarah Keys v. Carolina Coach Company (1955) that had explicitly denounced the Plessy v.

Ferguson (1896) doctrine of separate but equal in interstate bus travel. The ICC failed to enforce its ruling, and Jim Crow travel laws remained in force throughout the South. Les Freedom Riders parlent, près de 50 ans après. Franck Holloway, à son arrestation pour "Freedom Riding" en mai 1961 et en 2007.

Les Freedom Riders parlent, près de 50 ans après

Frank Holloway Né le 8 février 1939 à Atlanta (Géorgie). En 1961, étudiant et membre du Comité d'appel aux droits de l'homme. Participe à des manifestations et des sit-in, plusieurs fois arrêté. Depuis, un des dirigeants du Student Nonviolent Coordinating Committee (SNCC) dans le Mississippi, l'Alabama et en Géorgie. "La non-violence n'était pas un mode de vie, c'était une tactique. Pour moi, cela a commencé dans la gare routière d'Atlanta (Géorgie). Les Freedom Rides ont été un premier grand pas dans l'histoire des droits civiques.

Nicolas Bourcier Abonnez-vous au Monde.fr : 6 € par mois + 1 mois offert. Il y a cinquante ans, les Freedom Riders brisaient le tabou racial. En 1961, treize militants pour les droits civiques, blancs et noirs, embarqués dans un bus, défiaient les ségrégationnistes dans le Sud profond.

Il y a cinquante ans, les Freedom Riders brisaient le tabou racial

A l’heure où l’Amérique commémore leur action, ils se disent déçus par le peu d’engagement des jeunes générations. Récemment, une poignée de Blancs et de Noirs, assis dans un centre social avec des sandwichs et du thé glacé, discutaient de ce qui a changé ou pas depuis la venue des Freedom Riders [Voyageurs de la liberté] dans leur ville de Jackson, il y a cinquante ans. “Nous essayons toujours de nous considérer les uns les autres comme des êtres humains”, constatait Albert Sykes, un Noir de 28 ans. “Et ça nous demande encore des efforts.” Cinquante ans plus tôt, le 14 mai 1961, jour de la Fête des mères, un car rempli de jeunes était incendié à Anniston, dans l’Alabama. "Buses Are A-Coming": Mississippi Freedom Rider 50th Anniversary.

AMERICAN EXPERIENCE: Freedom Riders: The Music. 41. Phil Ochs:"Freedom riders". (1962) Les grandes étapes des Freedom Rides.

41. Phil Ochs:"Freedom riders". (1962)

A la fin des années 1940, le Congress of Racial Equality (CORE) organise une série d'actions non violentes contre la ségrégation raciale dans les bus inter-Etats. Ces "voyages de la réconciliation rassemblent Blancs et Noirs qui s'assoient ensemble dans les sections des bus réservées aux Blancs. Quinze ans plus tard, la Cour suprême ayant décidé que la ségrégation dans les bus et les trains étaient anticonstitutionnelle, le CORE, épaulé par le Student Nonviolent Coordinating Commitee (SNCC ou snick), réactive ce type d'actions non violentes avec l'organisation des Voyages de le Liberté (Freedom rides).

A partir du 4 mai, des groupes de protestataires noirs et blancs se réunissent et projettent de se rendre de Washington (6) à la Nouvelle Orléans (7), l'arrivée dans la cité du croissant étant prévue pour le 17 mai. Les transports publics entre Etats restent ségrégués malgré la loi fédérale.