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Bio-déterminisme

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Ces études à la con qui nous prennent pour des connes. Les dangers du neurosexisme à travers le portrait-robot de «Gwendoline», LA femme telle qu'elle est décrite par des pseudo-études scientifiques.

Ces études à la con qui nous prennent pour des connes

Cerveaux des hommes et des femmes : la « science » au service des clichés. « Une étude américaine vient confirmer, à l’aide d’un scanner, toute une série de stéréotypes véhiculés par la société.

Cerveaux des hommes et des femmes : la « science » au service des clichés

Mais avec une démonstration scientifique à l’appui. » Notez bien que Metronews.fr, qui comme tant d’autres relaie l’étude, prend soin de nous prévenir que cette fois, « c’est scientifique ». Une personne s’apprête à manger un cerveau rose, puis bleu Photo : Tristen West/Flickr/CC. Montage : Leonardo da Cerdan. Dans l’article « Some racial peculiarities of the Negro brain » [PDF], publié en 1906 dans la célèbre revue scientifique Journal of Anatomy and Physiology, l’ethnologue Robert Bennett Bean annonçait la découverte de différences anatomiques entre le cerveau des Blancs et le cerveau des Noirs. L’étude scientifique portait principalement sur le corps calleux et son faisceau d’environ 100 millions de fibres nerveuses reliant les hémisphères gauche et droit du cerveau.

Enfin une explication scientifique ! Des thèses évolutionnistes dangereuses Retirer de tout libre-arbitre. Les hommes et les femmes ont-ils des cerveaux différents ? The 'Guys Are Fragile' Thesis : Krulwich. The 19th century just lost its last living man.

The 'Guys Are Fragile' Thesis : Krulwich

Jiroemon Kimura, of Kyotango, Japan, was born in April 1897, lived right through the 20th century and died last Wednesday. He was 116. According to Guinness World Records (which searches for these things), he was the last surviving male born in the 1800s. All the other boys from that century, as best we know, are dead. The ladies, however, are still ticking.

Nancy Huston, attention whore? En octobre 2010, Séverine Auffret et Nancy Huston avaient organisé au Petit Palais, à Paris, un colloque sur la coquetterie (on peut encore l’écouter sur le site de France Culture, première et deuxième partie).

Nancy Huston, attention whore?

Une journée chaleureuse et passionnante, atypique à la fois sur le fond — où d’autre aurait-on eu la chance d’entendre un exposé sur la symbolique de la boucle d’oreille ? — et sur la forme, musique et théâtre se mêlant aux communications plus classiques. Ma propre participation m’avait décidée à me lancer dans l’écriture de Beauté fatale. Nancy Huston, elle, a prolongé sa réflexion dans un livre qui paraît le 2 mai chez Actes Sud : Reflets dans un œil d’homme. Malheureusement, à la lecture, la perplexité qu’on avait ressentie en l’écoutant ce jour-là se change en consternation. "Sexes et races, deux réalités": une réponse à Nancy Huston et Michel Raymond.

La romancière Nancy Huston et Michel Raymond, "spécialiste de biologie évolutionniste", ont publié le 17 mai dans Le Monde une tribune intitulée "Sexes et races, deux réalités".

"Sexes et races, deux réalités": une réponse à Nancy Huston et Michel Raymond

La première a publié récemment un ouvrage qui se veut une charge contre la fameuse "théorie du genre": Reflets dans un oeil d’homme (Actes Sud, 2012). Son cheval de bataille: la reconnaissance du déterminisme biologique façonnant notamment les comportements sexuels des hommes et des femmes, qui serait nié par le genre, présenté comme une idéologie. Il faut, écrit-elle, replacer l’humain dans une continuité biologique avec le règne animal, continuité qui se manifesterait par exemple ainsi: Grossièrement exprimé, les jeunes femelles humaines tout comme les guenons tiennent à séduire les mâles, car elles veulent devenir mères.

Pour atteindre cet objectif, elles se font belles. Le cerveau a-t-il un sexe - Catherine Vidal. Par Catherine VidalNeurobiologiste,Directrice de Recherche à l'Institut Pasteur de Paris Introduction Avec les progrès des connaissances en neurosciences, on serait tenté de croire que les idées reçues sur les différences biologiques entre les hommes et femmes ont été balayées.

Le cerveau a-t-il un sexe - Catherine Vidal

Ce n'est manifestement pas le cas dans notre réalité quotidienne. Médias et magazines continuent de nous abreuver de vieux clichés qui prétendent que les femmes sont "naturellement" bavardes et incapables de lire une carte routière, alors que les hommes seraient nés bons en maths et compétitifs. Ces visions déterministes font le succès des ouvrages de certains psychologues peu scrupuleux qui prétendent expliquer les problèmes de communication entre hommes et femmes.Il est temps de replacer le débat autour de la différence des sexes sur un terrain scientifique rigoureux au delà des stéréotypes et des préjugés. La croyance biologique. En apparence, cette étude paraît parfaitement anodine.

La croyance biologique

Ce n’est que la 5000eme du genre tentant de comprendre des faits sociaux. On nous explique donc ici qu’une zone du cerveau masculin réagirait de la même manière qu’après absorption d’une drogue à la vision de certaines courbes féminines. Sciences et avenir ; les différences hommes/femmes. Le numéro de février de Sciences et Avenir comporte plusieurs articles sur le thème "Homme Femme, La science face aux idées reçues".

Sciences et avenir ; les différences hommes/femmes

Les féministes n'y apprendront rien de très nouveau mais on peut supposer que l'étiquette de neutralité scientifique qu'a le magazine encouragera certains à enfin accepter ce que des scientifiques féministes (donc forcément mues par une idéologie leur faisant mal faire leurs recherches) disent depuis des années. Garde tes gènes pour toi merci. Le cerveau a-t-il un sexe? Vous êtes un homme, un vrai.

Le cerveau a-t-il un sexe?

Une bonbonne de testostérone avec du poil au menton. Vous savez faire un créneau du premier coup, vous lisez les cartes routières les yeux fermés, vous êtes rationnel.