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Ces études à la con qui nous prennent pour des connes

Ces études à la con qui nous prennent pour des connes
Les dangers du neurosexisme à travers le portrait-robot de «Gwendoline», LA femme telle qu'elle est décrite par des pseudo-études scientifiques. Mi-janvier, le psychologue évolutionnaire, Jesse Bering, a écrit un article pour Slate.com, où il présentait quatre manières dont les femmes avaient évolué pour se protéger des viols lorsqu’elles ovulaient. Son article a déclenché de violentes critiques, au sein de Slate et sur des sites scientifiques notamment. Plusieurs journalistes de Double X, le site féminin de Slate, ont écrit une réponse à son article, et Jesse Bering a lui-même écrit une réponse à ces critiques. Nous publions en même temps le premier article de Bering, une des réponses de Double X, la réponse aux réponses de Bering, ainsi qu’un article de Peggy Sastre sur le problème des féministes avec la psychologie évolutionnaire et enfin un article de Titiou Lecoq qui porte plus généralement sur les études scientifiques et «la femme». Le portrait-robot de Gwendoline Et donc: Je sais.

http://www.slate.fr/story/34543/neurosexisme-etudes-con-nous-prennent-pour-connes

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Et si les rôles des hommes et des femmes étaient inversés dans la pub ? La réclame tombe parfois, trop souvent, dans des travers sexistes. Les femmes sont soumises et un peu bêtes, les hommes virils et dominateurs. Trois étudiants de l'université canadienne de Saskatchewan, Sarah Zelinski, Kayla Hatzel et Dylan Lambi-Raine, se sont mis en tête pour un cours sur le genre d'inverser les stéréotypes des publicités dans une vidéo mise en ligne sur YouTube (et déjà vue plus de 800 000 fois depuis début avril). En introduction, ils compilent une sélection de campagnes anciennes et récentes où les femmes ne sont que des objets dédiés au plaisir des hommes. «Ces standards de beauté mis en avant affectent la manière dont les hommes et les femmes perçoivent le corps féminin, écrivent-ils, entre 2000 et 2009, il y a eu une augmentation de 36% des opérations d'augmentation mammaire.»

À la mémoire des Wandervogel Vous pensiez jusqu’à aujourd’hui que la culture jeune s’était épanouie au lendemain de la ­seconde guerre mondiale, mais ce n’est pas le cas. En réalité, elle remonte même à la fin du XIXe siècle, lorsque des gangs localisés en Amérique du Nord et en Europe ont commencé à se faire remarquer par leur comportement et leurs fringues : on se souvient des Hooligans de Londres, des Apaches à Paris, des Scuttlers à Manchester et des Hudson Dusters dans le vieux Manhattan. Les méfaits et les sapes flamboyantes de ces dangereux garnements ont été largement relayés par les médias de l’époque, mais en aucun cas leurs actes ne provenaient d’une quelconque conviction idéologique. En revanche, un autre groupe fonctionnait différemment.

Sexualité : avec ou sans poils ? La femme à poil doit-elle impérativement être sans aucun poil nulle part ? Le retour du poil est-il désormais impossible ? Les femmes sont-elles condamnées à ne pouvoir se montrer que dans l'impudeur d'un corps nubile, c'est-à-dire sans poils ? Le sexisme expliqué à ceux qui n'y croient pas - Une heure de peine... . Il y a des gens qui, simplement, refusent d'y croire : ça n'existerait pas, et puis c'est naturel, et de toutes façons, c'est la même chose pour les hommes. Freud racontait une histoire rigolote qui sonnait un peu comme ça, à propos d'un chaudron percé, mais passons : je ne suis pas là pour faire la psychanalyse du déni. Je vais plutôt essayer d'expliquer pourquoi le dernier argument, selon lequel les hommes aussi seraient discriminés, ne marche pas.

ZONES La série brosse en particulier un tableau saisissant de la condition des femmes. Betty Draper, la mère au foyer, élevée dans le souci exclusif de son apparence et de sa beauté, qui a tout pour être heureuse selon les critères de son milieu, mais qui crève de solitude et d’ennui ; Peggy Olson, la jeune rédactrice volontaire – seule femme à occuper ce poste –, aux prises avec le dragon ultra-catholique qui lui sert de mère, furieuse à la fois de subir les mains baladeuses de ses collègues et d’être jugée trop menaçante pour correspondre à leur idéal amoureux ; Joan Holloway, la plantureuse secrétaire rousse, qui tente de faire une force de son statut d’objet sexuel, sans que cela la mette à l’abri de la frustration et de la déception : toutes, si différentes soient-elles, se débattent dans les limites que leur assigne la société américaine de cette époque. Et, pourtant, on peut se demander si ce n’est pas cela, précisément, qui est en train de changer dans les mentalités.

Piotr Kamiński Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Piotr Kamiński (né le 22 mars 1949 à Varsovie) est un critique musical, traducteur, journaliste de radio et écrivain polonais. Biographie[modifier | modifier le code] "Paye ton taf", le Tumblr qui démonte le sexisme au travail SEXISME - "Mon boss en entrant dans mon bureau tous les matins pour regarder ma tenue: '16 sur 20, peut mieux faire'", "Charmante phrase prononcée par l'un des patrons d'une agence où je faisais un stage depuis seulement une semaine: 'Tu ressembles à un bonbon avec ta robe rose, ça donne envie de te violer'." Celle qui a créé Paye ta shnek, un site qui dénonce le harcèlement de rue, Anaïs Bourdet, revient aujourd'hui sur le devant de la scène féministe avec le blog Paye ton taf. Elle liste sur 10 pages bleutées des témoignages de paroles sexistes prononcées sur les lieux de travail et envoyées à Anaïs pour qu'elle les publie au grand jour.

Comprendre l’instrumentalisation du féminisme à des fins racistes pour résister Ces derniers mois, la médiatisation des violences sexuelles faites aux femmes a atteint l’élite politique : affaire DSK, affaire Tron ont tenu une bonne place dans les médias. Déplacement significatif du problème, puisqu’auparavant, le traitement médiatique des violences sexuelles s’était focalisé sur les banlieues, présentées comme le lieu de tous les dangers pour les jeunes femmes. Ainsi, en septembre 2010, la programmation de La Cité du Mâle, documentaire de Cathy Sanchez produit par Dock en Stock pour Arte présentait un tableau particulièrement outrancier de la situation : énumération macabre des meurtres et violences sexuelles subies par les jeunes femmes en particulier racisées[1] en banlieues, à l’exclusion de tout autre lieu, vocabulaire spécifique (« lapidation », « immolation »), portraits très fabriqués de jeunes hommes arabes violents[2]. Il ne suffit donc pas de dénoncer le racisme mais de construire une riposte féministe à cette perversion de notre lutte.

Encore féministes ! texte paru dans Alternatives non-violentes, n°155, « La domination masculine », 2e trim. 2010 Le féminisme, une révolution non-violente Entretien avec Florence MONTREYNAUD Swinging London Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Swinging London est à l'origine un titre de Time Magazine de 1966. Le personnage principal du film Blow-Up de Michelangelo Antonioni est l'archétype du Swinging London, tout comme la série de films Austin Powers. Notes et références[modifier | modifier le code] Comment le sexisme s'est solidement ancré dans la médecine française Temps de lecture: 15 min MISE À JOUR: Le 8 avril 2016, une question de QCM à un examen blanc de médecine, repérée par Slate, a donné lieu à des réprobations publiques des ministres de l'Éducation et de la Santé, mettant une nouvelle fois en lumière le sexisme latent touchant au monde médical. Un an plus tôt, nous réalisions une longue enquête sur le sujet que voici. Qui aurait pu imaginer qu’une peinture représentant Flash, Superman, Batman et Superwoman en plein ébats sexuels avec Wonder Woman provoquerait un jour une polémique nationale?

Une fois pour toutes, le contraire du mot « égalité », ce n’est pas « différence »… C’est « inégalité » Ce sera un billet (relativement) court, une fois n'est pas coutume. Juste pour rappeler que l'antonyme du mot "égalité", ce n'est pas "différence"... Mais que c'est "inégalité". Parce que je commence à me lasser sérieusement de la mauvaise foi qui consiste à faire passer le combat en faveur de l'égalité femmes/hommes pour un combat contre la différence. A chacune son féminisme Elisabeth Badinter est une féministe qui excite et énerve les autres. Pas un de ses opus qui ne fasse polémique. Déjà dans Fausse route, publié en 2003 chez Odile Jacob elle reprochait au féminisme d’avoir inventé la victimisation de la femme, provoquant aussitôt un tollé. Elle récidive avec le Conflit, paru le mois dernier chez Flammarion, et qui analyse les nouvelles normes tissées autour de la figure de la «bonne mère». «Le retour en force du naturalisme, remettant à l’honneur le concept bien usé d’instinct maternel et faisant l’éloge du masochisme et du sacrifice féminins, constitue le pire danger pour l’émancipation des femmes et l’égalité des sexes», y écrit notamment la philosophe.

John Cage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. John Cage John Cage (deuxième en partant de la gauche) avec Merce Cunningham (à sa gauche) en 1972. À droite, l'impératrice Farah Diba.

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