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MEMOIRE

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Comment traiter les faits divers sans céder aux sirènes du sensationnalisme ? Régulièrement, politiques et opinions publiques s’insurgent contre le traitement “sensationnaliste” des faits divers par les médias. Lors de l’affaire du Bikini de Reims, commencée le 25 juillet dernier, beaucoup ont accusé les journalistes, leur reprochant de jeter de l’huile sur le feu. “Malheureusement, quand le mal est fait, c’est toujours plus compliqué de réparer. Et les tweets et les articles qui refroidissent les ardeurs sont beaucoup moins viraux que ceux qui soufflent sur les incendies, estimait par exemple Johan Hufnagel, directeur délégué de Libération, le 27 juillet dernier à propos de l’affaire du bikini de Reims. Dans une société à cran sur les sujets identitaires, pas la peine d’en rajouter. Préférons un peu d’introspection, qu’on soit journalistes ou politiques, avant de chercher des boucs émissaires faciles, qu’ils soient citoyens et/ou twittos.” Tout le monde lit les faits divers Le fait divers attire et fait vendre.

“C’est le flou total, mais on est obligé d’écrire” L'image du requin à travers l'histoire. 30 mars 2017, 15:18 | lay Depuis l'antiquité, le requin a été doté d'une image négative, inhérente à son statut de supérieur hiérarchique de l'homme dans la chaine alimentaire marine. " La Pompadour, reine du siècle des Lumières" - Tous droits réservés © Néanmoins, son image de chasseur d'homme va se préciser à l'occasion de plusieurs incidents qui ont eu lieux au début du 20ème siècle. En plein essor des mass media et de la presse, ces évènements tragiques vont bénéficier d'une publicité nouvelle qui, conjointement à l'absence d'étude scientifique sur les comportements des requins, va contribuer à définir l'image redoutable de l'animal, encore présente dans notre imaginaire collectif.

Spécialiste de l'histoire des rapports difficiles entre humain et requins, Jean-Marc Rodelet déconstruit progressivement la peur historique suscitée par les requins. Jean-Marc Rodelet est co-auteur avec le Docteur Erich Ritter du livre " L'interaction Homme-Requin". La presse à sensation : un succès déroutant. Dés les prémices de la presse au début du XVIIe siècle, « La Gazette » de Théophraste Renaudot regorgeait déjà de faits divers croustillants et d’histoires extraordinaires, bien souvent inventés dans le seul but d’attirer des lecteurs. Le sensationnel, le sexe, le scandale... sont des phénomènes de masse qui plaisent à la foule depuis la nuit des temps. Racolage, interviews choc, sujets graveleux, articles provocateurs, la presse à sensation ne s’est jamais aussi bien portée qu’aujourd’hui. Les lecteurs en redemandent et l’univers de la presse est totalement dépassé par cet engouement. Alors, dérive fatale ou tendance du moment ?

Face à l’attrait de l’image et du sensationnel, la presse est appelée, de plus en plus, à virer dans l’émotionnel et dans la mise en scène. De ce fait, les articles et photos ont tendance à basculer dans la « société du spectacle ». Le spectacle de l’anormalité est sécurisant pour le public angoissé par ce qui échappe à son appréhension. Le prix de l'image. Mars 2002. Paris-Match publie dans ses pages intérieures une photographie d’attentat. Ou plutôt une photo prise, en Israël, après un attentat suicide : on y voit, posée sur le sol, la tête coupée de l’homme qui s’est fait exploser, posée par terre entre les pieds des sauveteurs. Image horrible, et cependant d’une certaine façon banale. Après tout, la rédaction du magazine n’a-t-elle pas décidé de mettre en couverture de ce même numéro un autre cliché, apparemment plus attrayant pour l’acheteur : une cover-girl en maillot de bain sur une plage ?

Les Cahiers de médiologie ont demandé à Jean-François Leroy, directeur du festival de Perpignan, consacré à la photographie de presse, de décrire comment l’on prend, vend et publie, aujourd’hui des photographies d’attentat terroriste. Daijna Roos, Kiosque à journaux le lendemain des attentats du 11/09/01, Paris, 2001 © Daijna Ross. JEAN-FRANÇOIS LEROY : Tout dépend, en fait, de l’endroit où l’on se trouve. Y-a-t-il un marché des photos d’attentat ? Déontologie du journalisme: Enjeux éthiques et identités professionnelles - Benoît Grevisse. Reso 0751 7971 1996 num 14 75 3689. :: Les Cahiers du journalisme :: Les Cahiers du journalisme N° 14 Faits divers Paradoxe d'une rubrique qui n'en est pas tout à fait une, les faits divers sont par définition inclassables. Tout juste peut-on aligner quelques banalités navrantes - et souvent désagréables - à leur sujet : pas très importants par rapport au reste, tirant plutôt vers le bas que vers le haut, peu courus par les gens de métier.

À première vue, les faits divers sont comme le diesel de la profession : c'est plus économique à produire, on peut rouler longtemps avec, mais c'est moins raffiné et ça ne sent jamais très bon. Au-delà de ces « vérités » élémentaires, quelques raisons tout de même d'espérer. Cruels ou délicieux, spectaculaires ou anodins, avec ou sans morale (de cette histoire), les faits divers ne sont pas que le vilain canard du journalisme. Dans ce numéro 14 piloté par Christophe Deleu, une bonne quinzaine d'experts de la profession comme de la recherche planchent sur le phénomène. Thierry WATINE Rédacteur en chef Faits divers. :: Les Cahiers du journalisme :: Les Cahiers du journalisme N° 17 Faits divers, faits de société Le travail d’édition d’une revue scientifique et professionnelle comme Les Cahiers du journalisme n’est pas un long fleuve tranquille. Malgré les contraintes multiples qui pèsent sur ce genre d’aventure éditoriale – surtout quand la prétention est internationale – les motifs de satisfaction sont aujourd’hui plus nombreux que jamais.

D’abord parce que les propositions d’articles se multiplient des deux côtés de l’Atlantique. Témoin ce numéro 17, le plus volumineux de l’histoire des Cahiers. Côté contenant, nous nous sommes attelés depuis quelques mois à la mise en ligne intégrale* – et libre d’accès – des contenus de l’ensemble de la collection afin de mieux répondre à une demande qui dépassait nos capacités de distribution et surtout d’archivage. En somme, des nouvelles plutôt bonnes en aval et en amont. Thierry WATINE Rédacteur en chef Faits divers, faits de société Intro Christophe DELEU .. 10 Autres contributions. La presse à la une. Les illustrations ont toujours joué un grand rôle dans le traitement des faits divers, en raison de leur dimension émotionnelle : images gravées sur bois des occasionnels et des canards, dessins du Petit journal ou de l’Illustration, photos.

Les journalistes arrivent après les faits (mais souvent aussi avant la police comme le photographe américain Weegee), et les journaux ont encore aujourd’hui recours à des dessins pour illustrer les articles qui relatent ces événements drôles ou tragiques. Dans ses illustrations de faits divers, par exemple pour France-Soir ou Détective, Di Marco reprend la tradition de la peinture et des dessins à la "une" du Petit journal parus dès les années 1890 : il montre habituellement le moment de tension maximum qui précède le geste fatal. Il fixe les gestes, les attitudes, les regards des personnages au moment crucial. Ses dessins mis en scène sont comparables à un instantané en photographie.

ARTE+7 | Attaques de requins à La Réunion - L’enquête. Depuis 2011, l'île de La Réunion, dans l'océan Indien, subit un nombre accru d'attaques de requins, parfois mortelles. Des tragédies spectaculaires qui font le tour de la planète. Conséquences : les plages se vident, l'économie balnéaire est touchée de plein fouet et la psychose s'installe. Alors que les autorités tergiversent, les esprits s'échauffent à la recherche de boucs émissaires. Un journaliste local se lance dans une enquête au long cours. La faute aux bouledogues Pourquoi les requins, en particulier les bouledogues incriminés, s'approchent-ils si près de la côte et dans un périmètre très localisé, du côté de Saint-Gilles et de Boucan Canot ?

Entre les douloureux récits de rescapés mutilés et ceux des témoins, pêcheurs et surfeurs, l'enquête accompagne l'équipe scientifique chargée de comprendre la multiplication des prédateurs. Comprendre la crise requin à l'île de la Réunion en 2mn. Crise requin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Panneau Danger requin sur une plage de la Réunion. Les deux espèces de requins incriminées, le requin-bouledogue et le requin-tigre sont classées comme quasi menacées par l'Union internationale pour la conservation de la nature.

Cette crise affecte notamment le surf réunionnais et les autres activités nautiques locales, puis, par extension, le tourisme, principal secteur économique de l'île. Les principaux facteurs actuellement reconnus comme ayant favorisés cette crise sont la présence saisonnière des requins-bouledogues près des côtes pendant une période de reproduction (hiver austral, entre mai et octobre), dans un environnement dégradé (manque de nourriture, notamment dû à la surpêche), avec une agressivité et une pression plus forte pour la recherche alimentaire[2]. Historique des attaques[modifier | modifier le code] Causes suspectées[modifier | modifier le code] Présence de la Réserve naturelle marine[modifier | modifier le code]

Revue de presse médias français

Revue de presse internationale. Antenne Réunion. Imaz Press. L'info.re. Sources/références.