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Le génome, comment ça marche ?

Le génome, comment ça marche ?

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Il y a 60 ans, la découverte de l'ADN ANNIVERSAIRE. Le 25 avril 1953, deux jeunes chercheurs – Francis Crick, 36 ans, et James Watson, 24 ans – publiaient les fruits de leur recherche, dans un article de la revue Nature accompagné de quelques dessins (image ci-contre). Peu de chercheurs allaient alors se rendre compte de l’importance de cette découverte. Et il a fallu presque dix ans pour que la communauté scientifique s’aperçoive de la véritable révolution qu’engendraient les travaux de Watson et Crick. Les deux jeunes chercheurs étaient, eux, bien conscients de la portée de leur découverte. Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? Sorry, this entry is only available in French. Cette photo représente le coronavirus SARS-CoV-2 responsable de la maladie COVID-19 observé en gros plan à la surface d’une cellule épithéliale respiratoire humaine. Sa double membrane et sa couronne de glycoprotéines sont bien visibles. Crédits : M.Rosa-Calatrava/O.Terrier/A.Pizzorno/E.Errazuriz-cerda Au mois de novembre, les laboratoires Pfizer/BioNTech et Moderna ont été les premiers à annoncer les résultats préliminaires d’efficacité de leur candidat vaccin contre la Covid-19, apportant une lueur d’espoir un an après le début de la pandémie. Les résultats intermédiaires de l’essai de phase III mis en place par Pfizer/BioNTech ont depuis été publiés dans une revue scientifique relue par les pairs, le New England Journal of Medicine.

L'ARN messager, une technologie détournée à des fins de dopage ? L’ARN messager synthétique, nouvelle star mondiale dans l’ère du Covid-19, pourrait-il devenir le prochain filon des athlètes dopés ? L’ARN messager naturel, présent dans toutes nos cellules, a été découvert dans les années 1960 en France et sa version synthétique, produite in vitro, est sortie de l’ombre avec la mise sur le marché du vaccin contre le coronavirus. "L'ARN messager est une photocopie d'un gène", vulgarise Steve Pascolo, immunologiste, chercheur à l’Hôpital universitaire de Zurich et l’un des précurseurs dans la technologie de l’ARN messager synthétique.

Denisova : notre cousin d’Asie sort de l’ombre À Leipzig, la cafétéria de l’institut Max-Planck d’anthropologie évolutionnaire bruisse souvent des rumeurs annonçant la publication d’une découverte majeure. Il faut dire qu’elles se succèdent à un rythme étourdissant depuis la fondation de cet institut. Pour autant, l’année 2010 reste marquée dans les mémoires par une agitation exceptionnelle autour du buffet des crudités. Car 2010 fut d’abord l’année du décryptage du génome d’Homo neanderthalensis ; puis celle de la découverte d’un type complètement nouveau d’homme fossile par des moyens jusque-là inédits : le séquençage de traces d’ADN dans un minuscule fragment d’os ! Ce que l’on sait de la sûreté des vaccins à ARN messager Le 9 novembre, l’alliance germano-américaine Pfizer-BioNTech était la première à annoncer les résultats de son candidat-vaccin, efficace, selon elle, à 90 % à l’issue des essais cliniques de la phase 3. Sept jours plus tard, le laboratoire américain Moderna annonçait une efficacité de 94,5 % pour le sien. Le point commun entre ces deux projets ? Ils utilisent tous deux une technique vaccinale nouvelle, à ARN messager (ARNm). Si ces annonces n’ont pas surpris le petit monde des spécialistes de cette molécule, l’irruption médiatique très soudaine de cette technique vaccinale peu connue dans le débat public n’a pas manqué de soulever de nombreuses interrogations, souvent légitimes et qui ont largement dépassé les publics sceptiques sur les vaccins. Comment fonctionnent ces vaccins ?

CNRS Images - La mitose La mitose est la division cellulaire qui permet une répartition égale de l’information génétique d’une cellule-mère initiale à deux cellules-filles tout en conservant le caryotype au fil des générations cellulaires. La mitose permet la croissance d’un organisme de la cellule-œuf à l’adulte ainsi que le renouvellement tout au long de sa vie de ses cellules comme par exemple les cellules sanguines ou les cellules de la peau chez les animaux. Chez les végétaux, la mitose participe à la croissance des organes comme la racine ou la tige par augmentation du nombre de cellules : ce mécanisme s’appelle la mérèse. "Plutôt mourir que m'injecter cette saloperie !" : sur Facebook, les "antivax" à l'affût contre un futur vaccin anti-Covid La panacée pour beaucoup, une menace pour certains. Alors que le développement d'un vaccin est considéré comme un enjeu majeur dans la lutte contre la pandémie de Covid-19, de nombreux Français sont réticents à l'idée de se faire inoculer le futur sérum. Parmi eux, un noyau dur s'oppose franchement à sa distribution, diffusant des théories volontiers complotistes sur les réseaux sociaux. Ceux que nous avons interrogé en sont convaincus : le vaccin sera inutile voire nocif, mais ne manquera pas d'être imposé à la population pour servir les intérêts d'une poignée de puissants.

Lettre de Francis Crick à son fils, 1953 Le 19 mars 1953, Francis Crick écrit à son fils Michael, alors âgé de 12 ans, pour lui expliquer la nouvelle structure de la molécule d’ADN à laquelle James Watson et lui-même sont très récemment arrivés suite à leurs travaux menés au sein du laboratoire Cavendish de l’université de Cambridge. Cette lettre est antérieure à la parution, dans la revue Nature, des articles de F. Crick et J. Watson consacrés à la proposition d’une nouvelle structure pour la molécule d’ADN (en avril 1953), ainsi qu’à ce qu’implique cette structure pour la réplication de l’ADN (en mai 1953).

Andrew Wakefield Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Andrew Wakefield en 2019. Andrew Wakefield (né en 1957) est un ancien chirurgien britannique et chercheur médical connu pour ses prétentions frauduleuses[1] d'une relation de cause à effet entre le vaccin rougeole-oreillons-rubéoles (vaccin ROR) et ce qu'il a appelé « l'entérocolite autistique » (autistic enterocolitis), terme de son invention. L'idée d'un lien entre le ROR et la prétendue entérocolite autistique a été forgée par Wakefield pour décrire une forme de maladie inflammatoire des intestins, dont l'existence n'a jamais été prouvée[2]. De nombreuses recherches épidémiologiques ont démontré une absence de lien entre les vaccins et l'autisme, un consensus général dans la communauté scientifique et la fraude scientifique avérée de la part de Wakefield[3],[4],[5]. Le grand public resterait divisé sur la question selon un documentaire de 2008[6].

Watson et Crick: la structure de l'ADN Deux découvertes qui vont aider Watson et Crick Au début des années 40, les scientifiques s'interrogent sur un grand mystère: dans quelles molécules se cache l'information génétique ? En 1944, le médecin-chercheur canadien Oswald Avery identifie sur les bactéries la substance qui compose les chromosomes: l'acide désoxyribonucléique, autrement dit l'ADN. Il conclut alors que c'est dans l'ADN que se cache notre hérédité.

L’épigénétique mène le génome à la baguette Identifiées chez la mouche drosophile il y a plus de 70 ans, les protéines Polycomb et Trithorax apparaissent depuis peu comme des régulateurs essentiels de l’expression de nos gènes. Retour sur les travaux récents mettant en lumière le rôle de ces complexes protéiques et les perspectives médicales que soulèvent ces découvertes. Depuis une petite dizaine d’années, l’épigénétique a le vent en poupe.

CRISPR-Cas9 : le couteau suisse qui révolutionne la génétique Six millions de dollars. À lui seul, ce chiffre résume l’engouement actuel pour un nouvel outil de génie génétique aussi puissant qu’imprononçable : « CRISPR-Cas9 ». Cette somme a en effet été décernée à ses deux co-inventrices – la Française Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna – par le prestigieux Prix « Breakthrough 2015 in Life Sciences » créé par les fondateurs de Google et Facebook.

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