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Règles d’or dans l’écriture web : Du papier au web

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Ecrire pour le web v1. Ecrire pour le Web. Écrire pour le web: “c’est la structure, imbécile!” Qui dit nouvel outil, dit nécessairement adaptation du contenu. L'arrivée des médias digitaux force à repenser l'écriture journalistique jusque dans sa structure profonde et les modèles possibles sont nombreux. Voici un tour d'horizon des possibles. Comment faut-il écrire pour le web ? Souvent l’enseignement se résume à des techniques d’écriture et d’édition, et à l’usage que l’on peut faire des différents médias: texte, son, vidéo, infographie, etc.

Pour écrire ce post, mon point de départ a été les travaux de Maria Laura Martinez, professeur et chercheur à l’École de Communications et d’Arts de l’Université de São Paulo, au Brésil [lire, The Black Wheel: a technique to develop hypermedia narratives (pdf)] et de João Canavilhas, enseignant au Département Media et Arts de l’Université de Beira Interior, au Portugal [lire, Web Journalism: from the inverted pyramid to the tumbled pyramid (pdf)]. « Écrire pour le web » se résume souvent à quelques conseils rustiques: Style. Caricatural? Comportement de lecture et écrit web. Le comportement de lecture à l’écran diffère de celui sur papier. L’internaute survole, clique. S’il ne trouve pas illico ce qu’il cherche, il s’en va. Le comportement de lecture peut être étudié au moyens d’outils accessibles, faciles d’utilisation.

Adapter les contenus à ce comportement contribue à l’expérience utilisateur. La concision est de mise. Allez au but, ne perdez pas de temps en conjectures. Soyez utile, rédigez clairement, clarifiez votre message. 1. Le comportement de lecture à l’écran est différent de celui adopté sur le papier. Le lecteur balaie d’abord les premiers mots du début d’un texte pour déterminer si celui-ci est digne d’intérêt. 2.

Le verbe « lire » se pratique aussi sur le web. L’oeil humain scanne la pageil analyse la structure des informationsil passe en revue la forme généraleil s’attaque aux composants « saillants »il bascule en mode « lecture » s’il est satisfait 3. Pour communiquer sur le web, il faut parler le langage du web ! 4. La concision est de mise. Rédiger pour le web : contraintes d'ergonomie et de référencement. Comment bien rédiger pour le web ? Écrire les contenus d'un blog professionnel ou d'un site web d'entreprise exige la prise en compte de différents paramètres propres à l'écriture en ligne : comme l'ergonomie (confort de lecture), les règles d'optimisation du référencement, ou encore le choix des mots-clés et la gestion des liens.

Voici quelques bonnes pratiques pour bien démarrer dans l'écriture web. Définir une ligne éditoriale, planifier, mettre en place une veille De cette étape dépend un certain nombre de procédés d'écriture qui seront mis en place pour la création de contenus (ex : ton des articles) il est donc nécessaire au préalable de : Définir et garder à l'esprit le profil type du lecteur auquel on s'adresse (âge, catégorie sociale, intérêt, connaisseur ou non du sujet, etc.)

Écriture web : contraintes de référencement naturel et d'ergonomie L'importance du titre et de l'accroche Le titre d'un article Le titre renvoie ici à la balise L'accroche d'un article Elle doit donc être : Ecrire pour le web : comment devenir un rédacteur web de talent ? Un bon rédacteur web utilise des textes simples, courts et structurés Tout d’abord et avant tout, faites simple.

Soyez synthétique (le contenu web est généralement 50% plus court que les articles papier). Privilégiez des phrases courtes (20 mots maximum), un style direct et concis. Soyez dynamique. Ecrivez au présent et préférablement à la voix active. Ecrire pour le web nécessite une mise en page fluide Concernant la mise en forme, choisissez des polices agréables et lisibles. Des illustrations bien choisies pour votre contenu web Enfin, un rédacteur web doit illustrer son contenu web, surtout si celui-ci est long, car cela permet de créer une fracture visuelle plus digeste pour le lecteur.

Vous connaissez maintenant quelques astuces qui vous permettront de bien écrire pour le web et d’améliorer votre rédaction sur Internet. 8 FAQ à propos de : Référencement Apparaître dans Google Avec les formules Premium et Pro, l'apparition dans Google est plus rapide de plusieurs semaines. Écrire pour le web : être vu et être lu, petit décrytage. L’écriture pour le web, (on parle aussi de rédactionnel web, de contenu éditorial) consiste à écrire pour être vu (du lecteur, des moteurs de recherche) et à écrire pour être lu (structure du texte, titres sous-titres, style).

Décryptage Écrire pour être vu Les articles (appelés aussi post) écrits sur les pages des sites web ou des blogs recherchent tous le même but : être visible dans l’océan de textes publiés chaque jour. Pour cela, le rédacteur doit mettre les formes pour que son sujet soit vu. Dans un premier temps, il doit être visible par nos amies les machines : les moteurs de recherche ! C’est ce que l’on appelle le référencement naturel (appelé en anglais SEO) c’est-à-dire faire en sorte que les mots-clés associés à votre article arrivent dans les premières pages de votre moteur de recherche favori.

Pour cela, il faut soigner la méta-description à savoir la brève description qui permettra à votre lecteur de se faire une idée du sujet et de son intérêt. Écrire pour être lu. Ecrire pour le web. J’introduis ce nouveau numéro sur « La rédaction web » par un article qui m’a marqué par son originalité, et dont le sujet se prête parfaitement au thème.

Car, après tout, si on écrit, c’est surtout pour être lu, non ? Mais, pourquoi tu ne lis pas cet article jusqu’au bout?! (Par Ecrire pour le Web) Cet article très intéressant et original débute par une analyse du temps de lecture des articles d’un blog, dévie sur le temps d’attention de l’humain et finalise sur une conclusion assez étonnante (je vous laisse la surprise)…qui décomplexera le blogueur débordé qui n’arrive plus à s’investir autant qu’avant dans la rédaction d’articles web (qui a dit mon nom ?). Vous y apprendrez aussi comment font certaines personnes pour (lire et) partager autant d’articles sur les réseaux sociaux ! Lire l’article 44 conseils pour bien écrire pour le web (Par 60 Canards) Cette cheklist récapitule aussi bien les conseils éculés qu’originaux : à mettre dans toutes les mains !

Vous en voulez encore ? 15 sites incontournables sur l'écriture pour le web et les blogs. Quand on édite un blog, écrit-on d’abord pour ses lecteurs ou pour Google ? La question, revient fréquemment sur le devant de la scène, posant en creux celle d’un éventuel appauvrissement de la langue (déjà fortement mise à mal avec le langage texto), y compris dans les sites web des grands titres de la presse traditionnelle écrite. Il est évident que, selon que vous cherchez le meilleur positionnement dans les moteurs de recherche ou que vous visez un prix littéraire, vous n’écrirez pas de la même manière. Mais que vous n’obtiendrez peut-être pas non plus les mêmes résultats en termes d’audience pour votre blog. En tout cas à court terme, car pour le long terme c’est un autre histoire… Les journalistes des médias traditionnels, que l’on a parfois tendance à enterrer un peu trop vite, ont compris cela très rapidement.

J’ai sélectionné pour vous les meilleurs parmi ceux que je connais (mais je ne les connais peut-être pas tous) : Plume Interactive Adverbe Mots And Co La Machine A Ecrire. Bien écrire pour le web - Tutoriel référencement. Certains passent le brevet, d’autres le bac, ou, dans un dernier coup de collier, se résignent à passer leurs rattrapages de semestres universitaires. D’autres, du type « référenceur un peu dark », s’apprêtent certainement à une drôle de surprise, ne sachant trop quels seront les prochains critères de notation du bien-aimé Google.

Comment, alors, bien écrire pour le web, et viser la mention ? Point de départ et n’en déplaise à tout le monde, Google apprend à lire ! Et même si de nombreuses techniques de référencement peu éthiques continueront à subsister, il convient d’intégrer au plus vite le cercle très fermé des éditeurs de sites web de haute qualité. Car dans la lignée de Panda et Pingouin, une foule de sanctions qualitatives viendra bientôt emmouscailler les tire-au-flanc et autres adeptes du « webspam black hat ». Alors comment écrire pour le web ? Règle n°1 : un sujet unique par page web Règle n°2 : un mot clé bien disséminé dans votre texte web <h1>Mot clé motus sui procurantes</h1> Ecrire pour le Web. On ne lit pas une page Web comme une page d'un livre ou d'un journal. Il en ressort qu'on ne doit pas non plus rédiger une page Web comme celle d'un livre ou d'un journal !

Dans cette page : Faire court et précis - Outils - Concision - Balayabilité - Morcellement des pages - Les titres - Lisibilité - Bibliographie En bref ... Faire court, faire précis Rédiger pour le Web, c'est avant tout écrire pour un utilisateur qui cherche quelque chose, puis autre chose, puis encore autre chose. C'est écrire en lui donnant des liens, en lui permettant d'aller et venir dans les diffférentes couches du site : des pages de garde aux pages de contenu, à la page d'accueil, aux pages de contact, etc. (...) Quel que soit le point d'entrée utilisé, assurez-vous que votre contenu soit compréhensible à l'utilisateur. Le site anglophone webcredible propose huit conseils pratiques pour rédiger une page web : Concision Balayabilité En combinant les trois, le texte devenait 124 % plus convivial. Morcellement des pages.

Checklist de 44 conseils pour bien écrire pour le Web - bonnes pratiques de rédaction web. Les titres 1. Prévoir impérativement un titre pour chaque page. Le titre sera : 2. . - Entre 4 et 10 mots. - Idéalement, le titre devrait tenir sur une seule ligne. - Éliminez tous adjectifs, prépositions et adverbes non indispensables. 3. . - Utilisez une taille de caractère supérieure à celle du corps du texte. - Proscrivez les italiques, le souligné ou les majuscules. - Placez le titre au-dessus de la zone centrale de la page. - Balisez le titre <h1>pour les moteurs de recherche. 4. . - Utilisez un vocabulaire compréhensible par le public visé. - Décrivez le sujet et la valeur ajoutée de l'article (anticipation du contenu). - Rejetez les acronymes et autres sigles qui exigent un décodeur. 5.

. - Invitez à la lecture du contenu, à condition de rester explicite. - Vérifiez si une phrase avec un verbe ne rend pas le titre plus dynamique. - Envisagez les titres sous forme de questions. 6. . - Évitez les effets rhétoriques, les jeux de mots, la ponctuation exclamative, l'emphase promotionnelle exagérée. 7. 8. 9. Les 10 règles de la rédaction web. Sur Internet, les règles de l’écriture ne sont pas tout à fait les mêmes que sur papier. Si l’orthographe et la grammaire restent essentielles, d’autres principes s’appliquent pour concevoir des contenus attrayants, faciles à consommer par les humains et les robots.

L’infographie en bas de cet article rappelle ces règles spécifiques. Trouver un titre accrocheur Il est primordial de trouver un titre fort qui donnera envie aux internautes de lire votre contenu. Le titre est la première chose que verra le potentiel lecteur. Être court et direct Les gens n’ont pas le courage d’aller au bout d’un article interminable, c’est un fait avéré. 79% des lecteurs ne terminent pas un article entamé, et passent à autre chose. Faire plusieurs paragraphes Divisez son article en plusieurs paragraphes est un excellent moyen de ne pas perdre son lecteur en cours de chemin. Utiliser un langage simple Faire des listes Faites des listes claires et précises. Utiliser une police agréable et facile à lire. Les sites web sont-ils en voie de disparition ?

À une époque pas si lointaine, le seul moyen de toucher un consommateurs via internet était de mettre en ligne un site web. Certes, il y a bien eu des tentatives pour moderniser les sites (cf. 10 ans d’évolution des interfaces web au service de l’expérience utilisateur), mais l’essentiel des efforts à fournir par un annonceur était concentré sur son site web, le reste étant dépensé dans la création de bannières. Depuis, les smartphones ont envahi le monde, de même que les bloqueurs de bannières, les plateformes (Facebook en tête), les chatbots, les casques de réalité virtuelle, les intelligences artificielles… Le paysage numérique d’aujourd’hui ne ressemble plus du tout à ce qu’il était il y a 15 ans, car les usages sont complètement différents.

De ce fait, une marque ou un distributeur ne peut plus se contenter d’un schéma de présence où son site web occupe une position centrale. Des sites web perdus dans un brouhaha numérique Vers des outils de gestion de contenu découplés WordPress: