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DIY - Objets Digitaux - Fab Lab

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3D printing: The printed world. Technology: Print me a Stradivarius. Resilience in the Face of Crisis: Why the Future Will Be Flexible. What will a post-crash, truly 21st-century world look like? For people thinking about global systems (economic, environmental, and social) one idea stands out: resilience. Resilience means the capacity of an entity--such as a person, an institution, or a system--to withstand sudden, unexpected shocks, and (ideally) to be capable of recovering quickly afterwards.

Resilience implies both strength and flexibility; a resilient structure would bend, but would be hard to break. The term was once found largely in psychology textbooks and material science research, but the systems design crowd has, over the past few years, enthusiastically adopted the concept. Designing for resilience takes on particular relevance as we think about what happens after the current economic crisis passes.

What would a more resilient world look like? There's no universal "resilience theory" just yet, but some of the principles employed by ecologists and designers thinking about resilient systems give us a hint. JAMAIS CASCIO ON THE RESILIENT ECONOMY. OpenSpaceWorld.ORG. 2010 January newsletter « Transition Network News. Vers une économie résiliente. Par Rémi Sussan le 27/04/09 | 13 commentaires | 8,080 lectures | Impression Intéressant dialogue, par blogs interposés, entre Jamais Cascio et John Robb sur le thème de l’après crise. Ces deux auteurs, qui figurent parmi les plus intéressants de la blogosphère anglo-saxonne ont déjà été mentionnés plusieurs fois dans nos colonnes.

Cascio est un spécialiste de la prospective et a collaboré notamment à la création de “ Superstruct “. Il s’intéresse de près au Green Design (cette nouvelle tendance du design appliquée à la technologie, qu’on pourrait traduire par la “conception durable”), en témoigne sa participation au projet World Changing (le site et le livre). John Robb est le sulfureux inventeur du concept de guerre open source . Dans un scénario écrit du point de vue d’un citoyen des années 2010 Jamais Cascio explore le concept “d’économie résiliente”. Cascio nomme ce type de système social, une “économie Lego” : “De nombreuses petites pièces capables de se combiner et se recombiner. Thomas Chippendale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bureau chinois fait par Chippendale, exposé au musée de Carmen de Maipú, de Santiago du Chili. chaise provinciale de style Chippendale avec un élaboré dossier à tracé "Gothique". Il s'installa à Londres en 1749 où, en 1754, il devint le premier ébéniste à publier un livre de ses réalisations : The Gentleman and Cabinet Maker's Director.

Trois éditions en furent publiées, la première en 1754, suivie par une réédition en 1755 et une dernière édition, revue et augmentée en 1762, à un moment où les dessins illustrés de Chippendale commençaient à montrer des signes du néoclassicisme. Chippendale était plus qu'un simple créateur de meubles. Véritable décorateur d'intérieur qui conseillait sur les bibelots ou la couleur de la pièce, il travailla initialement en partenariat avec le tapissier James Rannie, puis plus tard, avec l'assistant de celui-ci, Thomas Haig.

Chippendale est enterré à l'église de St Martin-in-the-Fields en Londres. Inflexions François Brument. Personal Factory (tm) - design, make & build your own custom products. Les enjeux de la fabrication personnelle. Par Rémi Sussan le 24/06/09 | 9 commentaires | 6,431 lectures | Impression Structurée autour du Do it yourself (Faites le vous-mêmes !) Et du Green design (cette conception écologique qui se veut soutenable dans sa nature même), la principale question posée au cours de Lift France 2009 fut de savoir jusqu’où les concepts couramment utilisés dans le monde du web (participation, open source, réplication infinie des informations, etc.) pouvaient quitter les écrans d’ordinateurs pour envahir le monde physique.

Passer de la conception industrielle à la conception personnelle A ce titre, l’idée de fabrication personnelle constitue un point fondamental. Est-il possible de devenir l’artisan des objets de son quotidien, d’échapper à la logique économique et la façon que la conception industrielle a de niveler la pensée par l’industrialisation de la fabrication ? Cette question a occupé tout une session de Lift with Fing. Image : Mike Kuniavsky de Thing M sur la scène de Lift par Frank Kresin. Amazon. Besoin d’hybride. Par Hubert Guillaud le 17/07/08 | 11 commentaires | 17,887 lectures | Impression Souvent le numérique fonctionne en circuit fermé, sur lui-même. Le numérique alimente le numérique.

Ce que l’on fait sur le web n’a pas ou peu ou (trop) faiblement de résonances sur le monde réel. La personne que j’incarne dans le numérique n’est pas la même que celle que je suis dans la vie quotienne. Les deux mondes semblent continuer d’être étanches l’un à l’autre, alors que dans notre quotidien nous les vivons en simultanés. Comment concevoir l’hybridation, entre le numérique et le physique ? Révéler le numérique dans le réel Révéler le réel dans le numérique : on commence à avoir des pistes. Mais l’inverse est beaucoup moins vrai. Quelles passerelles ? Nous avons besoin d’hybridation. Les objets et les espaces ont déjà une composante numérique très dense. Force est de constater que les ponts entre les deux mondes sont encore rares, trop rares.

Du numérique à l’hypermatériel Hubert Guillaud. Interaction Lab. Physical pixels: design for the not so near future. Posted by Carla Diana | 14 Apr 2009 | Comments (0) Work from Hiroshi Ishii's Tangible Media Group at MIT. From the left, Glume modular modeling medium, Senspectra modeling toolkit, and Topobo programmable robot toy. Last week, the Boston's Hynes Convention Center housed the CHI conference, an annual event which showcases the world's best and brightest in Computer Human Interface Design. Though by its nature this conference often very software focused, this year's was very concerned with the physical, and mobile devices, wearable computing and tabletop surface displays played a larger role than ever before.

Amongst the many presentations of hybrid software-hardware experiments and studies into the practicalities of interface development was one highly conceptual presentation/panel entitled "Eek! First up was Hiroshi Ishii, the master of tangible bits himself. Sachiko Kodama's ferrofluid sculpture Following Kodama was Pattie Maes, who heads the MIT Media lab's Fluid Interfaces Group. A propos des "evocative objects" Les objets ne sont pas simplement des objets. Ce sont des caves et des greniers qui abritent nos émotions et nos pensées *. Une gêne au moment de partir… Il me manque quelque chose ! Ce n’est pas que ce soit quelque chose d’essentiel, mais j’hésite à partir. Alors je rebrousse chemin, j’ouvre la porte, je cherche ce qui me manque tant et mets la main dessus avec un soupir de soulagement : un téléphone portable, un lecteur mp3 ou un ordinateur portable… Pour beaucoup d’entre nous, ces objets sont devenus comme des vêtements.

Ils ont a la fois une fonction sociale – ils disent notre statut et nos goûts à d’autres – et une fonction intime : ils contiennent nos conversations des plus professionnelles aux plus intimes ; ils ont le pouvoir de réveiller des souvenirs et ils ont aussi le pouvoir de les conserver Nous vivons de plus en plus en permanence avec des objets qui jouent le rôle de « second self ». Enfin, les objets numériques ont des propriétés intéressantes pour le travail psychique. Database Error. Parmi les nombreuses présentations qui se sont tenues à la conférence Computer Human Interaction à Boston, l’un des ateliers, qui rassemblait tous les gourous de la spécialité, s’intéressait aux interfaces organiques, c’est-à-dire aux interfaces capables de modifier et d’adapter leurs formes, rapporte Core77.

Les interfaces organiques désignent des interfaces flexibles, gonflables ou lumineuses… c’est-à-dire physiquement modifiables par l’information elle-même, tant et si bien qu’elles semblent vivantes, à l’image de nos organes. Avec ces interfaces, l’affichage s’adapte à la forme du support et le support lui-même devient l’affichage. Le support est évolutif et peut-être déformé selon les interactions qu’il reçoit, lui permettant de se reconfigurer si nécessaire pour refléter la nature de l’information à afficher. “Le support matériel de l’objet est en lui-même un parcours de navigation”, expliquait le designer Benoît Drouillat. Haque :: design + research. Natural Fuse (project site: naturalfuse.org) "Natural fuse" is a micro-scale carbon dioxide overload protection framework that works locally and globally, harnessing the carbon-sinking capabilities of plants.

Generating electricity to power the electronic products that populate our lives has consequences on the amount of carbon dioxide present in the atmosphere, which in turn has detrimental environmental effects. The carbon footprint of the power used to run these devices can be offset by the natural carbon-capturing processes that occur as plants absorb carbon dioxide and grow. "Natural Fuse" units take advantage of this phenomena. Natural Fuses allow only a limited amount of energy to be expended; that amount is limited by the amount of CO2 that can be absorbed by the plants that are growing in the system - natural "circuit breakers". Each Natural Fuse unit consists of a houseplant and a power socket. In "OFF" mode, the system uses minimal energy, turns itself on once every hour.

Haque :: design + research. Radio Labs: Olinda - a new radio. Oyster card. The Oyster card is a form of electronic ticketing used on public transport in Greater London in the United Kingdom. It is promoted by Transport for London and is valid on travel modes across London including London Underground, London Buses, the Docklands Light Railway (DLR), London Overground, trams, some river boat services, and most National Rail services within the London fare zones. The card was first issued to the public in July 2003 with a limited range of features and there continues to be a phased introduction of further functions. By June 2012, over 43 million Oyster cards had been issued and more than 80% of all journeys on public transport in London were made using the card.[2] As part of TfL's 'Future Ticketing Programme' the Oyster card platform is due to be replaced by a contactless payment card system by June 2015.[3] Background[edit] Operator[edit] In August 2008, TfL decided to exercise a break option in the contract to terminate it in 2010, five years early.

Brand[edit] Norwegian Design Council awards Sniff. Pachube :: connecting environments, patching the planet. Lift with Fing 09: Timo Arnall: "Making Things Visible" Centre de Sociologie de l'Innovation - Center for the Sociology of Innovation. Amazon. Entretiens du Nouveau Monde industriel : Concevoir les objets de demain. A l’occasion des Entretiens du Nouveau Monde industriel consacrés aux nouveaux objets communicants, qui se tenaient la semaine dernière au Centre national des arts et métiers, retour sur quelques présentations parmi celles qui nous ont semblé les plus marquantes de ces deux jours. Concevoir les “NéoObjets” “L’internet des objets intéresse les designers, car il interroge comment faire des propositions au monde”, explique le designer Jean-Louis Fréchin (présentation, blog). Mais la manière dont sont produits les objets nous convient-elle ?

“Aujourd’hui, un objet, c’est une marque et beaucoup de marketing”, rappelle le designer, qui en appelle à “émanciper les objets” : “si le Nouveau Monde industriel est différent de l’ancien, il faut construire un nouveau système d’objets en réseaux”. Les objets sont plus vieux que l’informatique et l’internet, rappelle le designer. Image : La présentation de Jean-Louis Fréchin sur les NéoObjets photographiée par Nicolas Nova.

Les archétypes des usagers. FYP editions. Repenser l’internet des objets (3/3) : Industrialiser l’internet ou internetiser l’industrie. Par Daniel Kaplan le 07/05/09 | 8 commentaires | 14,127 lectures | Impression Il n’existe pas aujourd’hui d’”internet des objets”, mais tout au plus une connexion en silos d’objets conçus et régis selon les règles les plus classiques de l’économie industrielle. La connectivité des objets et des espaces pourrait même signer la fin de la “parenthèse internet”, celle d’un réseau sans tête, sans finalité et totalement ouvert. Ce serait sans compter sur ceux qui, venant du monde numérique ou du design, s’activent dans le sens contraire : celui de doter le monde physique de certaines des propriétés de plasticité et d’ouverture qui caractérisent le monde numérique.

D’internetiser l’industrie, alors que celle-ci rêverait d’industrialiser l’internet….Troisième et dernière partie d’une série de trois articles sur la perspective de “l’internet des objets” – lire la 1re partie et la seconde. Un thème qui sera au cœur de la conférence Lift, qui se tiendra à Marseille les 18, 19 et 20 juin prochains. Open source garden automation project. What is GardenBot? GardenBot is an open source garden monitoring system. This site is a collection of tutorials for how to build things (like a soil moisture sensor), software for running GardenBot, resources, links, and more. To get started, you will want to browse the How-To section to see what is required to build the various modules. The ultimate goal of the GardenBot project is to be a complete garden monitoring and automation system.

GardenBot is currently a work in progress, and we are always looking for volunteers -- please contact me if you'd like to help. Just so you know, there are several (many) other garden automation projects out there on the web. Is GardenBot a robot? The word robot usually is used for machines that move about. Who came up with this? I did... er, I mean hi. I discovered Arduino, and immediately became engrossed. Anyway, considering my interests, I thought "gee, it sure would be neat to use the Arduino board to control the watering in the garden". Botanicalls. TwitBalloon. Last weekend, Marcus of interactive-matter and I, gave a small introduction into internet of things and ambient devices at the Good School. The idea was to have two devices that show the current volume of two terms on twitter, e.g. love against hate. The demo should show how easy it is to connect the physical world to the internets. Marcus did the software part, so if you are interested in that, visit interactive-matter.

I did the hardware part, if you want see that, just read on. Parts So what is needed to build something like that? Arduino Board with ATmega328Ethernet ShieldBreadboardRC ServoCardboardHot glue (a lot)Photoresistor, LED and two resistors, 10 kOhm and 100 OhmProtoboard, small Build it First you have to hack your servo for continuous rotation. Now cut a servo holder out of the cardboard and glue the servo onto it. Glue the holder to some cardboard as basement.

Then glue the barrel on the servo. Next we need the light barrier. Conclusion Connecting things to the internet is easy. Hack N Mod - Amazingly Cool Hacks, Mods, and DIY Projects. :: The Future of the Internet ? And How to Stop It. How to crowd-source the perfect cheesecake. PRINCIPAL VOICES. FabLabs : refabriquer le monde ? InternetActu.net. Par Hubert Guillaud le 15/07/10 | 24 commentaires | 10,149 lectures | Impression Que ce passerait-il si demain n’importe qui pouvait fabriquer presque n’importe quoi ? Ou, pour être un peu moins caricatural, si tout un chacun pouvait fabriquer presque tout ce qu’il voulait ? C’est ce que proposent dès à présent les FabLabs (abréviation de Fabrication laboratory, laboratoires de fabrication), ces ateliers permettant à tout un chacun de concevoir et construire tout et n’importe quoi. Quels que soient leurs noms (TechShops, HackerSpaces, FabLabs…) des centaines d’espaces de ce type ont récemment vus le jour de part le monde.

Que s’y passe-t-il ? RepRap : se réapproprier les outils de production Adrian Bowyer, cet ingénieur et mathématicien britannique, inventeur de la RepRap, cette imprimante 3D libre capable d’imprimer des objets en volume, a commencé par citer Karl Marx. Image : Adrian Bowyer sur la scène de Lift France, photographié par Florent Kervokian. Concrètement, on y fait quoi ? Fab Academy. Neil Gershenfeld : les vraies promesses de la fabrication personnelle - finglive.

Fab Year Book 2010. Lift10 - FabLabs / The Makers Are Coming. The Center for Bits and Atoms. Neil Gershenfeld's Home Page. Recycler votre vieille machine à écrire en clavier USB. L’internet des objets va-t-il changer la nature des objets. Eric von Hippel : il y a 2 ? 3 fois plus d?innovations de la part des consommateurs qu?il n?y en a dans l?industrie ? InternetActu.net. La fabrication numerique by Jean-Michel Cornu on Prezi. La prochaine r?volution ?Faites-la vous m?me?! ? InternetActu.net.