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Mimil1975

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Madame de Sévigné (1626-1696): dans les petits papiers du Grand Siècle. Dans ses fameuses lettres, Madame de Sévigné chroniqua le procès de Fouquet tout autant que la vie provinciale du château des Rochers à Vitré, tout cela pour l’amour d’une femme : sa fille, partie à Grignan vivre auprès de son Comte de mari... Par Kristel Le Pollotec.

Réalisation : Gislaine David. Attachée de production : Claire Poinsignon. Avec la collaboration d'Annelise Signoret. Lues et archi-relues depuis presque 300 ans, les lettres de Madame de Sévigné n’offriraient presque à un regard distrait que le charme désuet d’une lecture de pensionnat pour jeunes filles. Publiée dés 1726, soit 30 ans après sa mort, sa correspondance a livré au monde dont elle craignait tant le jugement, son intimité, ses élans d’amour vers sa fille, mais aussi ses traits d’esprit, son style, ses médisances, quelques mesquineries et l’hypocrisie nécessaire à la survie en ce bas-monde. Enfant chérie du Marais, elle fréquente les Frondeurs mais se prête avec délices aux rites de la cour de Louis XIV.

Madame de Sévigné : biographie et œuvre (ses lettres) Madame de Sévigné (1626-1696) est une femme de lettres française du XVIIe siècle. Découvrez sa vie et son œuvre. Née à Paris en 1626 et morte à Grignan, dans la Drôme, le 17 avril 1696, Marie de Rabutin-Chantal est la petite-fille de Jeanne de Chantal, qui fonda l'ordre de la Visitation avec François de Sales. Elle est élevée par son grand-père, puis, à la mort de ce dernier, ce sont ses deux oncles, l'abbé Philippe de la Tour de Coulanges et Christophe de Coulanges, qui lui donneront une instruction et une éducation exemplaires. Elle perd son père en 1627, puis sa mère en 1633. Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné En 1644, elle épouse Henri de Sévigné. Le 27 janvier 1669, sa fille, Françoise-Marguerite, épouse le comte de Grignan. Madame de Sévigné à Paris Madame de Sévigné reste une Parisienne. Madame de Sévigné et la province La famille de la marquise de Sévigné Dès lors, cette mère marquera une prédilection pour sa fille, ce qui fera sa célébrité.

Citations. Madame de La Fayette. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Madame de La Fayette Portrait de madame la Fayette Œuvres principales Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette (ou Lafayette), née le 18 mars 1634 à Paris et morte le 25 mai 1693, est une femme de lettres française. Biographie[modifier | modifier le code] En 1650, sa mère se remarie avec Renaud de Sévigné, un oncle du mari de la marquise de Sévigné ; les deux femmes , qui ont huit ans de différence , deviendront pour toujours « les plus chères amies du monde » . L'œuvre la plus célèbre de Marie-Madeleine de La Fayette est La Princesse de Clèves, d’abord éditée par un de ses amis en mars 1678.

La mort de La Rochefoucauld en 1680 puis du comte de La Fayette en 1683 la conduit à mener une vie sociale moins active dans ses dernières années. Trois de ses ouvrages ont été édités à titre posthume : La Comtesse de Tende (1723), Histoire d’Henriette d’Angleterre (1720) et Mémoires de la Cour de France (1731). Madame de La Fayette, écrivaine reconnue. Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette (1634 – 1693), est une femme de lettres française. Elle est notamment l’auteure de la Princesse de Clèves. Marie-Madeleine Pioche de La Vergne nait dans une famille de la petite noblesse, proche du cardinal de Richelieu. Alors qu’elle a 15 ans, son père est tué. L’année suivante, elle devient dame d’honneur de la reine Anne d’Autriche et commence à acquérir une éducation littéraire auprès du grammairien Ménage, qui l’introduit dans les salons littéraires à la mode.

En 1655, Marie-Madeleine épouse, à 21 ans, François Motier, comte de La Fayette, de dix-huit ans son aîné. Ils auront deux fils. A Paris, Marie-Madeleine s’introduit dans la haute société de la cour et ouvre son propre salon. Madame de La Fayette est une écrivaine reconnue par ses pairs, à son époque comme aujourd’hui. WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème Marie de Gournay, écrivaine indépendante Dans "Epoque moderne" Dhuoda, pédagogue et politicienne. La Marquise de Sévigné, écrivaine épistolaire. Marie de Rabutin-Chantal, connue sous le nom de marquise de Sévigné (1626 – 1696), est une femme de lettres française connue pour ses écrits épistolaires.

Une jeune veuve Fille de Marie de Coulanges et de Celse-Bénigne de Rabutin, baron de Chantal, Marie de Rabutin-Chantal nait le 5 février 1626 à Paris. Elle perd son père à un an, en 1627, puis sa mère en 1633 et part vivre chez son grand-père maternel. Celui-ci décède à son tour en 1636 et Marie part s’installer chez un oncle maternel, Philippe de Coulanges. En 1644, à 18 ans, elle épouse le marquis Henri de Sévigné, avec qui elle aura une fille, Françoise-Marguerite, et un fils, Charles. Vingt-cinq ans de correspondance En 1669, Françoise-Marguerite épouse le comte de de Grignan ; ce dernier est nommé lieutenant-général en Provence par Louis XIV et Françoise-Marguerite doit l’y suivre. La marquise de Sévigné décède le 17 avril 1696, à Grignan, où elle était venue s’occuper de sa fille.

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