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Uber travaille sur une voiture autonome. C’est avec Ford qu’Uber travaille sur son projet de voiture autonome. Cette Fusion est équipée d’une batterie de radars, caméras haute résolution et lidar afin de cartographier son environnement et de détecter les obstacles. © Uber Uber travaille sur une voiture autonome - 2 Photos Uber va-t-il se séparer de ses chauffeurs dans quelques années ? En tout cas, l’entreprise a dévoilé son prototype de voiture autonome. Celui-ci sera testé d’ici quelques semaines à Pittsburgh, en Pennsylvanie. Et de prime abord, l’annonce a de quoi surprendre pour une plateforme qui propose des voitures de transport avec chauffeur (VTC). Comme l’indique ce tweet de Benjamin Ferran, journaliste au Figaro, Uber ne dit pas quel avenir l’entreprise réserve à ses chauffeurs.

Mais à terme, les chauffeurs humains devraient disparaître de la plateforme. D’ici quelques années, ce sympathique chauffeur Uber sera peut-être remplacé par un écran d’ordinateur… © Uber À voir aussi sur Internet Sur le même sujet. La voiture autonome ne s'arrêtera pas au feu rouge. Voiture autonome : Volvo se portera responsable en cas d'accident. Volvo vient de répondre à la grande question qui plane encore au-dessus du véhicule autonome et qui bloque son sort : qu’en est-il de la responsabilité en cas d'accident ? Faut-il blâmer le conducteur ? Le logiciel ? Le fabricant ? Pour le constructeur suédois, le principal frein à la voiture autonome se situe du côté de la réglementation, pas du côté technique. Et la marque a déjà la solution : Volvo prendra la responsabilité à sa charge si l'un de ses véhicules autonomes venait à avoir un accident lorsqu'il évolue en mode automatique.

Dans le même temps, Volvo espère que les cas de hack de véhicules de ce type seront considérés comme un crime, ce qui permettrait par là même d'imposer des sécurités sur sa partie logicielle empêchant ainsi quiconque de la modifier, ou le cas échéant, de se dédouaner d'une quelconque responsabilité en cas de software modifié par l'utilisateur. On a testé le véhicule autonome français, Navya (vidéo) Navya Arma Alphabet fait beaucoup parler avec son projet de voiture autonome, la Google Koala. Mais pas besoin d’aller sur la côte ouest-américaine pour voir de tels véhicules, la société Navya fabriquant elle aussi une navette autonome, la Arma, et elle est déjà sur le marché.

Navya n’a pas vocation à transporter des passagers sur les routes, mais dans les endroits clos (aéroports, centres-ville piétonniers ou usines), mais est déjà fonctionnelle. Nous avons pu utiliser le véhicule à Lyon la semaine passée et nous avons assisté à plusieurs scénarios allant d’un parcours planifié, au dépassement par un autre véhicule, en passant par un freinage d’urgence suite à la détection d’un obstacle (en l’occurrence, j’étais l’obstacle). Même si les premiers mètres sont assez perturbants (une sensation de non-contrôle), l’utilisation de la navette parait très rapidement naturelle et on oublie qu’elle n’est pas pilotée par un humain. La détection de l’environnement repose sur 4 technologies :

Une voiture autonome parcourt 2000 km en Chine - Tech. Le constructeur chinois Chagan, partenaire de Ford, a fait rouler avec succès une voiture autonome sur 2000 km entre Chongqing et Pékin. C’est le genre de nouvelles qui n’a déjà plus rien d’extraordinaire, alors qu’elle aurait été inconcevable il y a moins d’une décennie. L’agence Bloomberg rapporte que Chongqing Changan Automobile Co., le partenaire de Ford en Chine, a réalisé un test grandeur nature d’une voiture autonome, en parcourant près de 2 000 km entre Chongqing et Pékin. Le voyage n’a pas été accompli en une seule journée. Le véhicule chromé parti du siège de Changan a mis 6 jours à arriver dans la capitale chinoise, ce qui représente une moyenne d’environ 321 km par jour. Changan espère passe en production de masse des véhicules autonomes dès 2020, et affronte chez elle une concurrence importante, avec des acteurs comme Baidu ou BAIC.

Le premier autocar autonome est testé en Chine Lire Volvo veut faire circuler 100 voitures autonomes en Chine. Uber va proposer 2500 voitures sans conducteur de Google d’ici la fin de l’année | Voiture autonome. Dans le cadre de son annonce du deuxième trimestre, Uber, spécialiste de la réservation de voitures avec chauffeur vient d’annoncer son plus gros pari sur les véhicules autonomes, indiquant qu’elle achèterait 2500 voitures sans conducteur de Google.

En outre, les deux sociétés ont convenu d’un accord dans lequel Uber partagera les données de ses services de transport locaux avec Google, qui s’en serviront pour améliorer encore ses propres algorithmes de routage des voitures autonomes. Uber s’est engagé à investir jusqu’à 375 millions de dollars pour une flotte de véhicules de Google GX3200, qui sont la troisième génération de voitures à conduite autonome de l’entreprise, mais la première à être approuvée pour un usage commercial aux États-Unis. L’accord marque le plus important investissement de capital unique que Uber a fait à ce jour, et c’est également le premier accord d’entreprise que Google obtient pour sa nouvelle gamme de véhicules sans conducteur. from your own site. Microsoft peut dire merci au cloud. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts.

Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... assez dégagé Vent : 0km/h - UV : 0 Clôture veille : 4345.91 Ouverture : 4317.50 Replay Emissions Le géant américain des logiciels a réussi à dépasser les attentes avec ses résultats trimestriels publiés jeudi, en particulier grâce à sa branche de services dématérialisés en ligne. Le groupe informatique américain Microsoft a publié jeudi des résultats trimestriels en baisse mais meilleurs que prévu, aidé par la solidité de sa branche de services dématérialisés en ligne à destination des entreprises ("cloud"). Microsoft leader du cloud Microsoft vend plus de PC que le marché Les revenus de Bing augmentent Par N.G. avec AFP Tweeter Partager Annuler JustFab. Oracle: la prodigieuse montée en puissance du « Cloud » En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts.

Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... assez dégagé Vent : 0km/h - UV : 0 Clôture veille : 4345.91 Ouverture : 4317.50 Replay Emissions Très bon accueil hier à Wall Street des résultats trimestriels d’Oracle. . +34% en un an! Mais la croissance fulgurante du "Cloud" a largement retenu l’attention. +34% de chiffre d’affaires sur le trimestre écoulé, comparé au même l’année passée. Facteurs négatifs récurrents De plus, la majeure partie de l’activité d’Oracle est basée sur les ventes de logiciels en licence, et leur faiblesse en ce moment, sur fond de très grande prudence des entreprises clientes en matière d’investissement, n’a pas vraiment aidé. Impondérables et conjoncture complexe. Le cloud computing : les avantages et les inconvénients. Une grande confusion entoure le concept même de « cloud computing ».

Plusieurs définitions et tentatives de définitions existent aujourd’hui. Pour certains, le cloud computing désigne la totalité des services d’hébergement, pour d’autres, il s’agit de fournir une infrastructure à distance. D’aucuns définissent même le cloud computing comme étant une « fédération de services applicatifs à la demande ». Fait intéressant ; bien que le cloud computing demeure encore une notion à définir avec précision, on parle déjà aujourd’hui de « cloud 2 », sensé être la nouvelle génération (sociale et mobile) du cloud. En tout cas, une chose est sûre ; le cloud computing ne représente pas une offre à proprement dit, mais plutôt une notion abstraite. Cloud Computing : définition Le cloud computing est un concept qui représente l’accès à des informations et services, situés sur un serveur distant. Un concept. Cloud Computing : Une décision pertinente ?

Avantages du cloud computing (CC) 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Migration vers le Cloud : avantages et inconvénients pour les PME. Le Cloud Computing offre aux entreprises des perspectives très prometteuses mais il est encore aujourd’hui difficile pour les petites et moyennes entreprises d’identifier précisément ses avantages et ses inconvénients. Le Cloud Computing est indéniablement l’une des principales avancées technologiques de ces dernières années offrant aux entreprises des perspectives très prometteuses et jusqu’alors parfaitement inimaginables. Cependant, face à l’immense battage médiatique qui entoure le « phénomène » et malgré son attractivité, il est aujourd’hui difficile pour les petites et moyennes entreprises d’identifier précisément ses avantages et ses inconvénients.

Le passage au Cloud diffère d’une entreprise à l’autre et il est essentiel dans tous les cas de se poser les bonnes questions et d’avoir conscience des risques potentiels. Cependant, si le Cloud Computing présente de nombreux avantages, les PME doivent cependant prendre en compte certains aspects liés à la sécurité et à la fiabilité. Le cloud computing, l'informatique de demain ? - Journal du Net Solutions. Déjà lancés par Amazon, les services de stockage et de calcul en ligne pourraient révolutionner l'informatique d'entreprise d'ici à moins de cinq ans. Google et IBM sont sur le pont, et les DSI pourraient faire leurs valises. Qu'est ce que le cloud computing ? L' "informatique dans les nuages" est un concept apparu assez récemment, mais dont les prémices remontent à quelques années, notamment à la technologie des grilles de calcul, utilisée pour le calcul scientifique.

Le cloud computing fait référence à l'utilisation de la mémoire et des capacités de calcul des ordinateurs et des serveurs répartis dans le monde entier, et liés par un réseau, tel Internet. Le cloud computing, un produit commercialisable ? Oui, cette technique est en passe de devenir un business. A l'image de la puissance électrique il y a un siècle, la puissance de calcul et de stockage de l'information serait proposée à la consommation par des compagnies spécialisées. Quels sont les avantages pour l'utilisateur ? Installation d’ownCloud sous Debian | Cloud. I. Présentation d’OwnCloud OwnCloud est une application OpenSource de stockage en ligne et de gestion de fichiers, on l’apparente généralement au très connu Dropbox car ownCloud permet de stocker et de synchroniser des fichiers entre un ou plusieurs postes/serveurs et le serveur OwnCloud, remplissant ainsi le rôle de serveur de sauvegarde pour mettre en sécurité les fichiers et de serveur synchronisation.

Pour mettre en place ce service vous devez disposer d’un serveur web utilisant PHP et MySQL ou SQLite. Voyons cela ensemble Parmi les fonctionnalités, on y trouve évidemment la possibilité de partager des fichiers, mais également de lire de la musique directement en ligne grâce au lecteur intégré, un calendrier, une gestion de contacts, la visualisation et l’édition de documents en ligne, la visualisation et le classement de photos dans des galeries, etc. De plus, de nombreux plug-ins sont disponibles afin de greffer de nouvelles fonctionnalités à ownCloud. II. III. IV. Fantasmes et réalités du cloud computing. Selon le cabinet d'études Forrester, seulement 3 % des grandes entreprises et 4 % des PME ont à ce jour adopté le modèle du cloud computing.

Les entreprises sont donc, du moins pour l'instant, majoritairement réticentes car elles craignent pour la sécurité de leurs données. "Elles ne comprennent pas ce nouveau concept ! " constate Guillaume Plouin, responsable de l'offre cloud computing chez Octo Technology. Il faut dire qu'il existe presque autant de définitions que d'acteurs du domaine. L'occasion de revenir en détails sur cette nouvelle architecture applicative. Également appelé "informatique dans les nuages", le cloud computing se distingue par cinq caractéristiques fondamentales.

Trois sont propres aux systèmes d'informations virtualisés – la mutualisation des ressources, l'abstraction sur la localisation, l'élasticité. Mutualisation des ressources Avant l'arrivée des outils de virtualisation, les directions informatiques dédiaient un serveur physique par application. Élasticité. Cloud public : l'Etat français passe son premier appel d'offres. C’est fait. Le 10 avril, l’Etat français a officiellement mis un pied dans le Cloud public, en publiant une consultation sur un ‘Accord-cadre interministériel pour la fourniture de ressources informatiques à la demande (en mode « informatique en nuage ») et de prestations informatiques’.

Passé par le Service des achats de l’Etat (SAE), ce marché sera attribué en juillet pour une disponibilité prévue du service Cloud en septembre 2015, selon le calendrier de l’administration. Le marché doit être conclu pour deux ans (reconductible tacitement une fois pour deux nouvelles années). Les prestataires ont jusqu’au 20 mai pour déposer leur dossier de candidature. Tests, développements et Big Data Ce premier appel d’offres apparaît comme le fruit de la stratégie Cloud interministérielle entamée il y a plus de deux ans et pilotée par la Disic (Direction interministérielle des systèmes d’information de communication), soit la DSI de l’Etat. 5 VM et 2 serveurs bare metal A lire aussi :