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Pipelin Energie-Est

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COMMUNIQUÉ - La pression augmente pour que la Caisse de dépôt et placement du Québec désinvestisse des combustibles fossiles | Médias. Communiqué de presse Pour diffusion immédiate La pression augmente pour que la Caisse de dépôt et placement du Québec désinvestisse des combustibles fossiles Montréal - Forts de l'appui de 75 000 Québécois(es) qui ont déjà demandé à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) de sortir l'argent de leurs épargnes du secteur des énergies fossiles, l'organisme Recycle ta Caisse et la Fondation David Suzuki ont lancé aujourd'hui une nouvelle plateforme pour encourager la CDPQ à appuyer la mise en œuvre de l'Accord de Paris en désinvestissant le secteur des combustibles fossiles le plus rapidement possible. « La science du climat est claire : la vaste majorité des réserves d'hydrocarbures dans le monde doivent demeurer dans le sol.

En demeurant investie dans ces secteurs, la CDPQ mise contre la réussite de l'Accord de Paris, qui est vitale pour notre avenir. C'est une position intenable au plan éthique », a affirmé Karel Mayrand, directeur pour le Québec de la Fondation David Suzuki. Coule Pas Chez Nous! englue vos huards | Guillaume Piedboeuf | Environnement. Coule pas chez nous! , créé en 2014 en opposition au projet d'oléoduc Énergie-Est de TransCanada, se donne désormais le mandat élargi de sensibiliser la population aux dangers du transport du pétrole issu des sables bitumineux.

Inspiré par une campagne similaire d'Écologie Ottawa, Coule pas chez nous! A récemment entrepris de recouvrir les pièces d'un dollar canadien d'un autocollant noir donnant l'impression que le huard sur la pièce patauge dans une mare de liquide noir. D'où le nom de la campagne : huard englué. Des «centaines de milliers de pièces» portant l'autocollant noir orné de l'adresse du site internet de Coule pas chez nous!

L'initiative est légale, assure Coule pas chez nous! «Nous nous sommes inspirés des campagnes de Dogwood Initiative et de Écologie Ottawa afin de rejoindre un auditoire qui n'est pas au fait de ces enjeux ou qui n'a pas l'information nécessaire pour en saisir l'ampleur et prendre position. Infolettre du RVHQ - Octobre 2016. Les comités vigilance hydrocarbures (CVH) de la région Nord ont été très actifs au cours de l’été. Le 28 juin, le CVH Lanoraie recevait la Famille dans le cadre de l’activité Mission de paix sur le fleuve Saint-Laurent qui est un rendez-vous avec l'histoire, une occasion de se rencontrer, de se connaître et de se reconnaître dans notre diversité.

Les 1er, 2 et 3 juillet, le CVH L’Épiphanie tenait un kiosque d’information à l’Expo agricole Rive-Nord. Le 7 août, le CVH de la MRC Maskinongé était présent au Marché public de Saint-Élie-de-Caxton. Les CVH ont assuré une présence aux assemblées publiques municipales pour donner suite à l’Appel aux municipalités du comité de pilotage des maires au sujet du projet de Loi 106. M. Le 26 juillet se tenait une soirée d'information publique à la basilique du Cap-de-la-Madeleine. Pierre-Paul Niquay de la communauté atikamekw Manawan et des membres de sa famille. Coule pas chez nous. Écosociété | Conférences d'Éric Pineault - Le piège Énergie Est. Évènement Énergie Est n’est pas qu’un simple tuyau où couleraient 2 000 litres de pétrole à la seconde.

Eric Pineault, économiste et auteur du livre Le piège Énergie Est en fait le portrait et expose les pièges économiques et écologiques des sables bitumineux, dans un contexte de changements climatiques. Comment sortir de l’ère des hydrocarbures extrêmes? Conférences organisées par Écosociété et la fondation Coule pas chez nous! RVHQ | Comités citoyens opposés au développements de l'exploitation et du transport des hydrocarbures conventionnels. Le pipeline de la discorde. À qui la faute? Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, et le maire de Montréal, Denis Coderre.

(Photo: La Presse canadienne) Du pétrole; un pipeline; une entreprise maladroite et arrogante; un chèque de 10 milliards de dollars en péréquation versé annuellement au Québec; le coloré maire Denis Coderre; un premier ministre de la Saskatchewan fort en gueule, Brad Wall, qui se dirige vers des élections; le Parti conservateur fédéral à la recherche de sujets croustillants pour attaquer un gouvernement libéral en pleine lune de miel… Tous les ingrédients d’un affrontement entre l’est et l’ouest du pays étaient réunis cette semaine autour du projet d’oléoduc Énergie Est de TransCanada.

Et la marmite a débordé. Comme le disait l’ancien président français Jacques Chirac: «Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille.» Est-ce que cela signifie la mort du projet Énergie Est? Les États-Unis ont dit non au projet Keystone XL, également piloté par TransCanada. Et voilà qu’il est sérieusement compromis. Partout au Canada: coule pas chez nous! NDLR: la version originale de cette lettre ouverte est parue dans l'édition anglophone de Ricochet. Elle a été traduite par Gabriel Marquis, coordonateur Front commun pour la transition énergétique.

Un reportage récent paru dans Bloomberg business est venu confirmer par ailleurs une rumeur qui circulait depuis des mois dans les cercles militants : le premier ministre Justin Trudeau veut absolument approuver au moins un projet d’oléoduc dans son premier mandant. Peu importe lequel, il lui en faut un! Pour ceux parmi nous qui essaient de bloquer l’autre mégaprojet d’oléoduc au pays, le projet Trans Mountain de Kinder Morgan dans l’Ouest canadien, c’est une bien mauvaise nouvelle. Rappelons que cet oléoduc doit transporter une grande quantité de pétrole des sables bitumineux de l’Alberta jusqu’à l’Océan Pacifique, où il sera chargé dans d’immenses pétroliers au large des côtes de Vancouver et de la Colombie-Britannique. Puis, quelque chose est arrivé. Treaty Alliance Against Tar Sands Expansion Treaty. A year and a half in the making—a product of thousands of years of tradition. The Beginning The seed of the Treaty was planted on April 10, 2015, when, the day before leading the 25,000 people climate march in Quebec City, a number of Indigenous leaders and Indigenous representatives from across Canada, including a number of leading activists from our thriving Indigenous grassroots movements, met to strategize about the climate change crisis, including the threat of Tar Sands expansion.

West Meets East In 2015, Yinka Dene Alliance (YDA) representatives from central BC embarked on a month-long tour of First Nation communities along the Energy East pipeline route dubbed the West Meets East Tour. They explained to communities how 130 First Nations signing onto the Save the Fraser Declaration (a pipeline ban under Indigenous Law) played a major role in beating back the project.

Coast to Coast Alliance Only a First Step… Action?ea.client.id=1847&ea.campaign. La récente suspension des audiences de l'Office national de l'énergie (ONÉ) pour l'évaluation du projet de pipeline Énergie Est de TransCanada, ainsi que la récusation de trois de ses commissaires, de son président et de son vice-président, à la suite de la rencontre secrète entre des membres de l’ONÉ et l’ancien Premier ministre du Québec Jean Charest, alors qu’il était rémunéré par TransCanada, sont les derniers signes que les processus d’évaluation des oléoducs au Canada sont biaisés, dysfonctionnels et antidémocratiques.

Ils ont perdu toute légitimité. Nous demandons : 1. La réforme de l’ONÉ et une enquête indépendante afin de faire la lumière sur ses nombreuses lacunes, y compris celles qui entourent « l’Affaire Charest ». 2. 3. Monsieur le Premier Ministre Trudeau, arrêtez cette mascarade. Du pétrole d’un déversement survenu en 1999 découvert en Montérégie. Un déversement de pétrole provoqué par le pipeline Montreal-Portland en 1999 a laissé un héritage toxique dans le sol pendant 17 ans. Le ministère de l’Environnement du Québec vient en effet d’intervenir pour nettoyer un fossé de Saint-Césaire, après la découverte de pétrole brut laissé sur place malgré les travaux de décontamination de l’époque.

Selon les informations obtenues auprès du porte-parole du ministère de l’Environnement Daniel Messier, le ministère des Transports a découvert récemment des « mares » de pétrole « par hasard », dans le cadre de travaux de réfection d’un ponceau. Les équipes du ministère de l’Environnement dépêchées sur place ont par la suite pompé plus de 2500 litres d’« eaux huileuses » chargées de pétrole brut, en plus d’excaver 30 tonnes de « sols contaminés ». Les opérations ont eu lieu dans un fossé du rang du Pipeline, soit la route 233, à Saint-Césaire, en Montérégie. Deux pipelines Inhabituel Expulsion. Pétrolia souhaite «stimuler» ses puits de pétrole. Après avoir répété à plusieurs reprises que son projet pétrolier sur le territoire de Gaspé ne nécessiterait pas de fracturation, Pétrolia compte maintenant élaborer un « programme de stimulation » pour ses puits situés près de zones habitées.

La Ville de Gaspé s’oppose à ces opérations jugées similaires à la fracturation et réclame une évaluation environnementale du projet. Mais le gouvernement Couillard fait la sourde oreille. Par la voie d’un simple communiqué, Pétrolia a fait valoir vendredi dernier que son test de production mené sur le puits Haldimand 4 depuis le mois de mai a permis de confirmer « l’existence d’un réservoir pétrolier fonctionnel », donc potentiellement exploitable. L’entreprise a d’ailleurs pu extraire 1200 barils de pétrole léger de ce puits, foré à 300 mètres d’un secteur résidentiel. Pétrolia a donc franchi une étape importante en vue de ce qui pourrait devenir la première exploitation commerciale de pétrole de l’histoire du Québec.

Gaspé s’oppose. D’anciens liens étroits avec l’industrie de l’énergie. Les commissaires de l’Office national de l’énergie Jacques Gauthier et Lyne Mercier, visés par des demandes de récusation dans le cadre de l’évaluation du projet de pipeline Énergie Est, ont tous deux connu des parcours professionnels étroitement liés à l’industrie pétrolière et gazière avant leur nomination comme membres de l’organisme fédéral, a constaté Le Devoir. Jacques Gauthier, un des deux commissaires qui a rencontré Jean Charest en 2015 alors qu’il était consultant pour TransCanada, a été nommé à l’Office national de l’énergie (ONE) à la fin de 2012. Mais juste avant sa nomination, il dirigeait une entreprise qui commanditait une association de promotion des pipelines. Il occupait en fait depuis décembre 2010 les postes de vice-président principal chez Dessau et président et chef de la direction chez LVM, une filiale de Dessau. Méconnue, l’Association Pipeline existe néanmoins depuis 1972.

Sa mission ? Pas de commentaires Gaz Métro. Le béluga est officiellement désigné «en voie de disparition» C’est maintenant officiel. Le béluga, espèce emblématique du Saint-Laurent, sera désormais classé « en voie de disparition » en vertu de la Loi sur les espèces en péril du gouvernement fédéral. Un signe de plus de la situation critique de ces mammifères marins, dans un contexte où de nouveaux projets risquent d’avoir des impacts sur leur habitat essentiel. En acceptant de faire passer le statut du béluga de « menacé » à « en voie de disparition », le ministre de Pêches et Océans, Dominic LeBlanc, donne suite aux recommandations des scientifiques, qui ont constaté un déclin dans cette petite population de cétacés. Les bélugas du Saint-Laurent étaient environ 1000 individus au début des années 80. Mais alors qu’une telle population protégée par la loi aurait dû doubler au fil des ans, leur nombre a plutôt connu un déclin, au point où ils ne sont plus qu’environ 880 aujourd’hui.

Habitat perturbé Un tel statut légal pourrait donc entrer en conflit avec des projets économiques majeurs. L’ONE élude les accusations de partialité. L’Office national de l’énergie refuse de récuser les deux commissaires qui sont chargés d’étudier le pipeline Énergie Est et qui ont rencontré Jean Charest alors qu’il était consultant pour TransCanada dans le cadre de ce projet. L’organisme fédéral maintient donc la tenue des audiences prévues la semaine prochaine à Montréal. Il ne sera pas permis d’y aborder la question des rencontres avec l’ex-premier ministre libéral. Lundi, les avocats du groupe Ecojustice ont fait parvenir une requête formelle à l’Office national de l’énergie (ONE) exigeant la récusation de deux des trois commissaires chargés de l’examen du projet Énergie Est, soit Jacques Gauthier et Lyne Mercier. Il s’agissait d’une demande similaire à celle envoyée quelques jours plus tôt par un avocat mandaté par l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA).

Le groupe écologiste exigeait du même souffle la suspension des audiences sur ce pipeline destiné à l’exportation de pétrole albertain. 960forages. Cette base de données sur Google Fusion tables, créée par Jean-Hugues Roy, dresse la liste des 960 puits. On peut y faire une recherche à partir de certains filtres, par compagnie, par année, et ainsi de suite. Cette gravure de Thomas Pye montre la tour de forage du puits Conant ou Adams installé sur les hauteurs de Sandy-Beach, à Gaspé, par la Gaspé Petrolum Company en 1860.

Image : gravure tirée de Thomas Pye, Canadian Scenery, District of Gaspé, 1866. Musée de la Gaspésie. Cette carte réalisée par Jean-Hugues Roy présente les 960 forages qui ont été faits au Québec depuis 1860. Les baies de Gaspé et des Chaleurs dans une zone grise. Dans sa forme actuelle, le projet de loi sur les hydrocarbures du gouvernement Couillard pourrait ouvrir la porte à l’exploitation pétrolière dans des milieux marins comme la baie de Gaspé et la baie des Chaleurs. L’entreprise Pétrolia détient d’ailleurs des permis d’exploration dans ces deux régions maritimes, a constaté Le Devoir. Le projet de loi 106 « concernant la mise en oeuvre de la Politique énergétique 2030 et modifiant diverses dispositions législatives » doit permettre de mettre en place la première législation sur l’exploitation du pétrole et du gaz de l’histoire du Québec.

Cette loi s’appliquera à l’ensemble du territoire de la province, dont près de 60 000 km2sont présentement sous permis d’exploration détenus par des entreprises du secteur des énergies fossiles. Ce territoire comprend d’ailleurs les portions québécoises du fleuve et du golfe du Saint-Laurent, en vertu de la Loi sur les terres du domaine de l’État. Permis d’exploration Milieu marin. La FTQ s’oppose malgré les dissensions.

Énergie Est à l’ONE: des inquiétudes restent sans réponses. Une autre fuite. TransCanada dépose l’étude d’impact du pipeline Énergie Est. Une marche de 42 jours en Gaspésie contre les hydrocarbures. Forum citoyen sur Énergie Est - STOP oléoduc Île d'Orléans. Doit-on reconstruire Fort McMurray? En Alberta, « l’avènement d’une humanité... inhumaine » Fort McMurray : Armageddon-sur-Oil. » Fort McMurray et changements climatiques : quelques données|Sciences dessus dessous. Le projet de la controverse.