background preloader

Archéologie

Facebook Twitter

L'homme de Néandertal inhumait bien ses morts. DEBAT.

L'homme de Néandertal inhumait bien ses morts

Avec la découverte de sépultures néandertaliennes sur le site de La Chapelle-aux-Saints, il y a plus d'un siècle, un débat autour des pratiques funéraires et notamment celle de l'inhumation chez les Néandertaliens faisait rage au sein de la communauté scientifique. De nouvelles fouilles archéologiques sur ce site d'Europe occidentale et un réexamen des restes humains découverts au début du XXème siècle prouvent l'existence d'une sépulture néandertalienne et permettent de mettre fin au débat.

Un comportement moderne face à la mort De récents travaux avaient remis en question l’hypothèse selon laquelle l’homme de Néandertal pratiquait des inhumations. En cause : les techniques de fouille du début du 20ème siècle jugées inadaptées pour soutenir une telle interprétation. Ce que savaient les civilisations disparues. Les découvertes archéologiques. Structure sous-marine de Yonaguni. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Structure sous-marine de Yonaguni

Pour les articles homonymes, voir Yonaguni. Un plongeur visitant le monument immergé La structure est constituée d’immenses plate-formes interrompues par des failles formant de grandes marches angulaires séparées par des parois à l’apparence lisse (les failles sont géologiquement récentes). La structure mesure plus ou moins 75 mètres de long et 25 mètres de haut. En raison de son apparence lisse, peu érodée et peu colonisée par la vie marine, certains auteurs estiment qu’elle pourrait être artificielle et très ancienne, tandis que les archéologues estiment que si elle l’était, son état serait bien plus dégradé[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Autrefois[modifier | modifier le code] Selon le point de vue qu’il pourrait s’agir d’un monument préhistorique, le site de Yonaguni de 28 km2 aurait été délibérément construit ou modifié au cours de la dernière glaciation, lorsque le niveau de la mer était beaucoup plus bas qu’aujourd’hui.

Civilisation de la vallée de l'Indus. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Civilisation de la vallée de l'Indus

Harappa. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Harappa

Le site couvre les ruines d'une ville fortifiée de l'âge du bronze importante [1], faisant partie de la culture des cimetières H (en) de la civilisation de la vallée de l'Indus[2]. La cité aurait compté jusqu'à 40 000 habitants[3] et occupé une surface de 100 ha à son apogée (vers 2600–1900 avant J.C), ce qui en aurait fait une des plus grande de l'époque[4],[5]. Par convention archéologique qui consiste à donner à une civilisation inconnue le nom du premier site de fouilles, la civilisation de la vallée de l'Indus est aussi appelée civilisation harappéenne.

Mohenjo-daro. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mohenjo-daro

Mohenjo-daro — littéralement le Mont des morts, un nom qu'il partage avec Lothal — est un site important de la civilisation de la vallée de l'Indus, on y trouve les vestiges d'une des plus grandes cités de l'âge du bronze Indien. Il est situé au Pakistan à 300 km au nord-nord-est de Karâchi. Ayant subi peu de dégradations modernes, son état de conservation est meilleur que celui d'Harappâ, et par suite, c'est une importante source d'informations sur la civilisation à laquelle la ville appartenait.

Elle a été construite durant le IIIe millénaire avant J. -C. et a été abandonnée à la fin du XVIIIe siècle av. Documentaire : Dernières nouvelles de l'Atlantide. Héracléion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Héracléion

Photos[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Héracléion, sur Wikimedia Commons. Stonehenge. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Stonehenge

L'ensemble du site de Stonehenge et le cromlech d'Avebury, à une quarantaine de kilomètres au nord, sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco dans un ensemble intitulé « Stonehenge, Avebury et sites associés ». Aujourd'hui, le site attire près d'un million de visiteurs par an[2]. Histoire et description[modifier | modifier le code] Plan du site de Stonehenge.1. la pierre d'autel ; 2 et 3. tumuli ; 4. la pierre de sacrifice ; 5. la « Heel Stone » (pierre talon) ; 6. deux des quatre « stations » ; 7, 8, 9. fossés, talus ; 10. l'« avenue » monumentale, qui mène à la rivière Avon, à trois kilomètres à l'est ; 11 et 12. les deux cercles de 30 trous « Y » et « Z » ; 13. les 56 trous d'Aubrey ; 14. entrée secondaire.

Le monument (cromlech) est situé à l'intérieur du cercle 12 : les mégalithes de grès « sarsen » sont en gris, et les « pierres bleues » en bleu. Chronologie, datation[modifier | modifier le code]