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Les politiques économiques

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Comment Thomas Herndon, 28 ans, a mis à jour les failles de l'étude Rogoff/Reinhart.

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Les politiques économiques vidéos. Le rôle économique de l'État  - Approfondissements Découverte des institutions. <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation. </p> Le rôle de l’État, c’est-à-dire l’ensemble des collectivités publiques nationales, dans l’économie d’un pays fait depuis longtemps l’objet de controverses entre économistes, selon qu’ils sont plutôt favorables à un État neutre ou, au contraire, à un État interventionniste, fortement impliqué dans les sphères économique et sociale.

Au début du XIXe siècle, en réaction à l’absolutisme royal, les économistes libéraux dits "classiques", comme Adam Smith, ne prêtaient à l’État, pour l’essentiel, que des fonctions régaliennes (diplomatie, sécurité extérieure et intérieure, justice). Le marché tendant naturellement à s’autoréguler, le "laisser-faire, laisser-passer", sous l’égide d’un État protecteur de la libre concurrence, et donc la suppression des barrières aux échanges et à la libre concurrence, devaient conduire à une répartition optimale des ressources. Conjoncture : 25 milliards injectés dans les investissements d'avenir. L'emprunt national semble faire consensus, à droite comme à gauche.

Dans le contexte de la campagne présidentielle, alors que la droite et la gauche s'affrontent avec virulence, c'est une image qui ne manque pas de piquant: deux anciens premiers ministres de bords opposés, sur une même estrade, assurant en substance que pas une feuille de papier à cigarette ne sépare leur appréciation… sur le programme d'investissements d'avenir. «Nous nous réjouissons des résultats de cette initiative», ont assuré Alain Juppé et Michel Rocard, tous deux coprésidents du Conseil de surveillance des investissements d'avenir, le programme piloté par René Ricol. Deux ans après la décision de lancer un emprunt national de 35 milliards d'euros pour financer les priorités de la France de demain (enseignement supérieur et recherche, filières industrielles et PME, du développement durable, économie numérique), 894 projets sont déjà financés, selon le dernier bilan publié ce mardi.

Le radar de l’économie française. Grand emprunt : Laurent Wauquiez détaille l'appel à projets sur les formations innovantes. Une vingtaine (*) de projets pédagogiques innovants obtiendront ce label à l'issue du processus de sélection, en une seule vague. Les établissements, ou groupements d'établissements, lauréats se partageront une dotation de 150 millions € (en capital). Soit l’équivalent pour chacun de la somme obtenue pour un Labex, a indiqué le ministre. Un rattrapage pour les SHS La création de cet appel, annoncé en juin dernier par Nicolas Sarkozy , a été fortement demandée et appuyée par les présidents d’université et la CPU, notamment pour que les universités de sciences humaines et sociales ne restent pas les grandes perdantes du Grand emprunt, "où elles n’ont rien eu pour l’instant", indiquait Louis Vogel, président de la CPU. Une analyse toujours contredite par le ministre, qui a assuré que l’Idefi "n’est pas la voiture-balai pour les universités de SHS, qui ont toute leur place dans l’ensemble des appels à projets".

Une masse suffisante et une valeur d'exemplarité Aller plus loin. Politique budgétaire. Fondements, objectifs et instruments de la politique économique - Fiches de révision - Économie - Terminale STG. Politique monétaire. Laurence Parisot : où est la stratégie économique du gouvernement ? Quel est le sentiment des chefs d'entreprise français dans une Europe qui semble promise à la récession ? Que pour surmonter les difficultés que l'on redoute, le projet d'une Europe fédérale aurait de grandes vertus. Paradoxalement, à travers les difficultés, nos générations auront eu cette chance inouïe de pouvoir transformer le Vieux Continent en nouveau "Nouveau Monde".

Tous les décideurs doivent être à la hauteur de cet enjeu. On ne doit pas se poser la question de la ratification du traité européen : il faut le signer des deux mains. La croissance en France est au point mort. Nous en sommes au troisième trimestre d'affilée de croissance zéro. Presque toute la zone euro semble à la peine. Ce ne serait pas sans graves conséquences économiques car le ralentissement mondial est déjà largement lié aux incertitudes sur la zone euro. Ce qui veut dire quoi pour le budget de 2013 ? Les objectifs fixés par le gouvernement en matière de dépense publique vous semblent-ils insuffisants ?