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REFLEXIONS SUR LE BIEN-VIVRE ET LE FUTUR

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Présentation du projet "MesInfos" Le projet MesInfos vise à rassembler un noyau d’entreprises et d’administrations partenaires, dans le but d’explorer de manière concrète ce qui pourrait transformer la relation entre les individus et les organisations (entreprises et administrations) : le partage des données personnelles que détiennent les organisations avec les individus qu’elles concernent, pour qu’ils en fassent… ce qu’ils veulent.

Présentation du projet "MesInfos"

Télécharger le dossier de présentation de MesInfos MesInfos : la piste de "l’outillage" des individus Depuis des décennies, les entreprises et les administrations se sont dotées de moyens sans cesse plus performants de capturer, retenir et exploiter les données relatives à leurs clients et usagers. Un véritable retournement de la relation client s’engage. Un marché entièrement nouveau s’ouvre. Un projet multi-partenaires Le projet s’organise en deux étapes successives : En 2013, l’expérimentation MesInfos Téléchargez le dossier de présentation de l’expérimentation en 2013 Contacts Partenaires. 2012, année plus humaine ? A travers son dispositif de veille internationale Trend Observer (France, Grande Bretagne, Suède, Italie, Etats-Unis et Japon), Ipsos Public Affairs a identifié l’émergence et le développement de six tendances clés autour de ce thème de la « réhumanisation ». 1.

2012, année plus humaine ?

La société de la connexion généralisée crée un besoin croissant de relation humaine La place grandissante de la technologie dans nos vies suscite, en réaction, le besoin d’expériences concrètes, le retour à la réalité « physique », et la valorisation du plaisir et de l’émotion. C’est qu’avec le développement des Smartphones et des tablettes de type Ipad, la connexion est désormais possible tout le temps. On se connecte partout. Conséquence de tous ces développements : le contact humain est de plus en plus « zappé », et l’impression augmente selon laquelle le digital se substitue à l’humain. Pour autant, on n’observe pas de montée d’un sentiment « anti-technologique ». D’où l’importance accordée aux lieux physiques. 2. 3. 4. 5. Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ?

Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe »

La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. C’est dans cette optique que se sont multipliées les communications, aussi bien économiques que sociales, et toutes sortes de techniques qui ont permis de créer des transports rapides.

Je pense notamment à la machine à vapeur, qui n’a pas été inventée pour des motivations de vitesse mais pour servir l’industrie des chemins de fer, lesquels sont eux-mêmes devenus de plus en plus rapides. Cela est-il donc si nouveau ? Dans les temps anciens, vous vous donniez rendez-vous quand le soleil se trouvait au zénith. Cette quête de vitesse n’est-elle pas une illusion ?

En quelque sorte si. Prenez l’exemple du déjeuner.