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Cornelius Castoriadis 1922 -1997

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Politique: Cornelius Castoriadis p2 - une vidéo Actu et Politique. Acheminement vers Cornelius Castoriadis et après : autonomie et communisation par Insurrection vive. Provenant de l’héritage marxiste et nationaliste, il y a toujours eu chez moi un double intérêt pour le politique et le social : le point de vue pratique et le point de vue théorique, la praxis qui les concilie comme dirait Marx.

Voulant agir pour transformer la vie et le monde, je comprenais que je devais pour ce faire comprendre la situation historique de mon actualité, la synthèse de l’histoire dans un sens assez hégélien et puis assez marxiste aussi, là-dessus Marx poursuivait l’œuvre de Hegel. Dans un sens tout aussi historique, je me devais de me saisir en tant que québécois de situations géographique, géopolitique et culturelle.

J’ai ainsi fait parallèlement à des recherches en histoire et en philosophie de l’histoire, des recherches sur les origines du Québec contemporain. Dans mes jeunes années de politisation, on pourrait dire que le Manifeste du parti communiste de Marx et Engels côtoyait Nègres blancs d’Amérique de Pierre Vallières. . - Roland Simon Prendre parti en son sein. Castoriadis, le rebelle ! Origine : Archives Alternative libertaire Belgique Les archives d'Alternative Libertaire Castoriadis, le rebelle !

Une société autonome implique des individus autonomes. Les individus deviennent ce qu'ils sont en absorbant et intériorisant les institutions ; en un sens, ils sont l'incarnation principale de ces institutions [...] Nous pouvons formuler l'objet premier d'une politique de l'autonomie, à savoir démocratique : aider la collectivité à créer les institutions dont l'intériorisation par les individus ne limite pas, mais élargit leur capacité de devenir autonomes » (Cornélius Castoriadis, Le monde morcelé, Les carrefours du labyrinthe III, Paris, Seuil, 1990, p.150-151). Cornélius Castoriadis intellectuel révolutionnaire (philosophe et psychanalyste) penseur de la liberté sans étiquette (sinon celle de "critique radicaliste de gauche du marxisme") est mort à 75 ans d'une crise cardiaque fin décembre 1997. .

Actualité d’un philosophe indigné : Castoriadis (1922-1997) Philippe Caumières, spécialiste de Cornelius Castoriadis, propose une exploration pédagogique de l'œuvre de ce philosophe, économiste et psychanalyste trop méconnu dans Castoriadis : critique sociale et émancipation. Un nouveau titre de la collection « Petite Encyclopédie Critique » des éditions Textuel...

L'actualité récente l'atteste clairement : la crise des sociétés occidentales modernes tient moins de questions qui ressortissent de l'économie en tant que telle, que de la place proprement déterminante que celle-ci a prise depuis plusieurs décennies, relativisant à l'excès l'action politique. Tout se passe comme s'il n'y avait vraiment aucune alternative au néolibéralisme dominant, ainsi que l'affirmait Madame Thatcher du temps où elle était Premier Ministre. Depuis, la crise s'est pourtant accentuée, des voix indignées se sont fait entendre, et des propositions alternatives ont été avancées. Cornelius Castoriadis. Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie.

Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]

Socialisme ou barbarie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Quelques numéros de la revue Socialisme ou barbarie, publiée par l'organisation du même nom. Socialisme ou barbarie (S ou B) est une organisation révolutionnaire française, créée en 1948 par Cornelius Castoriadis et Claude Lefort, d'orientation marxiste anti-stalinienne et proche du communisme de conseils ; incarnée dans une revue du même nom à partir de 1949, elle est restée active jusqu'à son autodissolution en 1967.

L'expression « Socialisme ou barbarie » est reprise de Rosa Luxemburg, qui l'a utilisée pour la première fois en 1916. Historique[modifier | modifier le code] Les débuts En 1946, se constitue dans le cadre du Parti communiste internationaliste (PCI) la « tendance Chaulieu-Montal » qui prend le nom de « Socialisme ou barbarie ». Ses principaux représentants sont Cornelius Castoriadis (« Chaulieu ») et Claude Lefort (« Montal »). Les idées principales Des divergences finissent par se cristalliser. La scission de 1951. Catégorie:Personnalité de Socialisme ou barbarie.