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DIY - Do It Yourself

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Do it yourself. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Do it yourself (DIY) est une appellation, dont une traduction littérale en français serait « Faites-le vous-même », « Faites-le par vous-même », « Fais-le toi-même » ou encore « fait maison », ou « fait à la main » au Canada, qui désigne à la fois : certains musiciens ou mouvements culturels ;des activités visant à créer des objets de la vie courante, des objets technologiques ou des objets artistiques, généralement de façon artisanale. En 2007, la croissance des ressources de DIY en ligne est en forte progression[1], et le nombre de propriétaires ayant un blog à propos de leur propre expérience ne cesse de croître de même que les sites web DIY d'organisations.

Philosophie Do it yourself[modifier | modifier le code] On peut associer la formule « Do it yourself » au bricolage ou à la débrouillardise mais cela ne s'arrête pas là. Dans la culture punk[modifier | modifier le code] Bijoux de fantaisie DIY[modifier | modifier le code] L'electronique accessible avec Arduino. Arduino - Exemple d'application permettant de faire clignoter une Led toutes les secondes. Arduino, et son synonyme Genuino[2], est une marque qui couvre des cartes électroniques matériellement libres sur lesquelles se trouve un microcontrôleur (d'architecture Atmel AVR comme l'Atmega328p, et d'architecture ARM comme le Cortex-M3 pour l'Arduino Due). Les schémas de ces cartes électroniques sont publiés en licence libre. Cependant, certaines composantes, comme le microcontrôleur par exemple, ne sont pas sous licence libre. Le microcontrôleur peut être programmé pour analyser et produire des signaux électriques, de manière à effectuer des tâches très diverses comme la domotique (le contrôle des appareils domestiques — éclairage, chauffage…), le pilotage d'un robot, de l'informatique embarquée, etc.

C'est une plateforme basée sur une interface entrée/sortie simple. Le projet Arduino a reçu un titre honorifique à l'Ars Electronica 2006[3], dans la catégorie Digital Communities. Atelier. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans l'industrie, l'atelier est, dans une usine, l'espace consacré à la fabrication. Au début de l'ère industrielle, les ateliers sont regroupés en manufactures puis en usines. En construction mécanique, les ateliers dédiés à un métier, sont parfois réimplantés en îlots de fabrication (préféré en français au mot « cellule »), regroupant des machines destinées à des usinages variés. (Voir: Technologie de groupe.) Dresser une liste des ateliers que l'on peut rencontrer dans l'industrie équivaudrait à dresser une liste des métiers de toutes les industries. Cette liste correspond également aux différents procédés de fabrication. Il vaut mieux établir et consulter ces listes par domaine d'activité, de la création intellectuelle à l'usinage des métaux, en passant par le génie logiciel.

Les ateliers ont créé un vocabulaire spécialisé[modifier | modifier le code] Certains ateliers ont des spécificités remarquables[modifier | modifier le code] Hackerspace. Activities[edit] Many hackerspaces participate in the use and development of free software, open hardware, and alternative media. They are often physically located in infoshops, social centers, adult education centers, public schools, public libraries or on university campuses, but may relocate to industrial or warehouse space when they need more room. Hackerspaces with open membership became common within Germany in the 90s in the orbit of the German Chaos Computer Club, with the C-base being probably the most impressive example. The concept however was limited to less than a dozen of spaces within Germany, and did not spread beyond borders at first. Most likely this was because initial founding costs were prohibitive for small groups without the support of a large organization like the CCC.

In 2006, Paul Bohm came up with a fundraising strategy based on the Street Performer Protocol to build Metalab in Vienna, Austria, and became its founding director. Facilities[edit] Organization[edit] L'usinage accessible avec les FabLab. Un fab lab ou fablab[1] (contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[2] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[3] en proposant un inventaire minimal[4] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[5], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[6].

Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[7] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[8]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[9]. Les couleurs du logo représentent[10] : le vert : modèle commercial et économique ;le bleu : impact social et durabilité ;le rouge : recherche et éducation.

Historique[modifier | modifier le code] Principes des fab labs[modifier | modifier le code] Fab City[modifier | modifier le code] L’impression 3D vend son âme. Le fabricant d'imprimante 3D grand public MakerBot incarnait la possibilité d'un business model basé sur l'open source. Mais la polémique enfle depuis le lancement ce mois-ci de leur nouveau modèle, qui est fermé. Certains l'accusent d'avoir renoncé à leur éthique sous la pression des investisseurs qui ont apporté 10 millions de dollars l'année dernière. Deux imprimantes 3B Replicator Makerbot Ce jeudi, Bre Pettis, co-fondateur de MakerBot Industries, fabricant à succès d’imprimantes 3D grand public MakerBot, doit donner un talk à l’Open Hardware Summit sur “les challenges des biens de consommation open source”.

Ce qui fait bien ricaner une partie de la communauté de l’open hardware, et en particulier ceux qui contribuent au développement desdites imprimantes. Car depuis le lancement ce mois-ci de la quatrième génération d’imprimante de l’entreprise américaine, la Replicator 2, la polémique enfle dans le petit milieu : ce nouveau modèle n’est pas open source. Louvoiement. Britta Riley : un jardin dans mon appartement. Home. Groups | France | Home. Windowfarms.