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Lionel2101

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Nuit debout : évacués, les manifestants reviendront ce soir. Nuit debout protesters occupy French cities in revolutionary call for change. As night fell over Paris, thousands of people sat cross-legged in the vast square at Place de la République, taking turns to pass round a microphone and denounce everything from the dominance of Google to tax evasion or inequality on housing estates. The debating continued into the early hours of the morning, with soup and sandwiches on hand in the canteen tent and a protest choir singing revolutionary songs. A handful of protesters in tents then bedded down to “occupy” the square for the night before being asked to move on by police just before dawn. But the next morning they returned to set up their protest camp again. For more than a week, these vast nocturnal protest gatherings – from parents with babies to students, workers, artists and pensioners – have spread across France, rising in number, and are beginning to panic the government.

“There were about 300 or 400 of us at a public meeting in February and we were wondering how can we really scare the government?. « Nuit debout s’inscrit dans le sillage de son aîné espagnol » Par Sélim Smaoui, doctorant à l’Institut d’études politiques de Paris, CERI-Sciences Po Se prononcer sur Nuit debout à un stade aussi embryonnaire de mobilisation est fort périlleux. Le champ de tous les possibles étant ouvert, la retenue reste donc de mise. Impérieuse est toutefois la nécessité de prendre cet événement au sérieux, et de ne pas se contenter d’y voir un ovni qui brouille nos catégories de l’entendement politique. Car si l’incertitude est partagée face à l’inconnu, elle est autant vivifiante que mauvaise conseillère. En mai 2011, pris de cours par le mouvement d’occupation des places qui essaimait dans tout le territoire, d’aucuns s’empressèrent en Espagne de céder à la tentative du repli, dépréciant ces milliers de citoyens qui osaient se soustraire aux formes canalisées de la protestation politique, tout en bravant l’effet de censure exercé par le monopole des professionnels de la politique sur la chose publique.

Les ressorts du précédent espagnol. Chez Aristote, la sagesse est la science des premiers principes et des premières causes[4]. C'est une définition sur laquelle s’appuieront les aristotéliciens à l'époque médiévale pour fonder la philosophie première. Au sens moderne et pour une partie des philosophes contemporains, la philosophie n’est pas un savoir, ni un ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs à disposition[5]. Elle est devenue une discipline des sciences humaines[6]. Le champ d'étude de la philosophie peut embrasser un ensemble de disciplines telles que les sciences humaines et sociales, les sciences formelles et les sciences naturelles, auxquelles elle est historiquement liée.

Étymologie[modifier | modifier le code] À noter que le mot φιλοσοφία fait effectivement partie du lexique du grec ancien, où l'on trouve des usages attestés dès l'Antiquité. Il s’agit donc d’une sémantique de construction, comme pour le terme utopie[9], néologisme couramment forgé dans la langue française. Futura-Sciences | Le savoir s'invite chez vous. Qwant. Evous France - Repérez, partagez, proposez, annoncez.