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L’histoire gréco-romaine en mode partage II

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POxy - Oxyrhynchus Online!: TOC engine. [lhistoirestuncombat] [1922] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part XV, n°1.778 à 1.828. [lhistoirestuncombat] [1920] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part XIV, n°1.625 à 1.777. [lhistoirestuncombat] [1919] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part XIII, n°1.594 à 1.624. [lhistoirestuncombat] [1916] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part XII, n°1.405 à 1.593. [lhistoirestuncombat] [1915] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part XI, n°1.351 à 1.404. [lhistoirestuncombat] [1914] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part X, n°1.224 à 1.350. [lhistoirestuncombat] [1912] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part IX, n°1.166 à 1.223.

[lhistoirestuncombat] [1911] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part VIII, n°1.073 à 1.165. [lhistoirestuncombat] [1910] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part VII, n°1.007 à 1.072. [lhistoirestuncombat] [1908] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part VI, n°845 à 1.006. [lhistoirestuncombat] [1908] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part V, n°840 à 844. [lhistoirestuncombat] [1904] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part IV, n°654 à 839. [lhistoirestuncombat] [1899] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part II, n°208 à 400. [lhistoirestuncombat] [1898] Grenfell B.P. et Hunt A.S., The Oxyrhynchus Papyri, part I, n°1 à 207. The Oxyrhynchus papyri.

University Library Historical Monographs Collection. Évangile selon Thomas. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’évangile selon Thomas est un écrit apocryphe chrétien qui figure dans la deuxième partie du codex II de Nag Hammadi. Il s'agit d'un recueil de sentences — des logia — qui, selon l’incipit du texte, auraient été prononcées par Jésus et transcrites par « Didyme Jude Thomas ». Au nombre de 114, les logia sont ainsi le plus souvent précédés de la mention « Jésus a dit ».

Bon nombre ont leur parallèle dans les évangiles selon Matthieu et selon Luc ainsi que, dans une moindre mesure, dans l’évangile selon Marc. Découverte[modifier | modifier le code] Avant cette découverte on ne connaissait que moins de dix logia de ce texte grâce à des fragments en grec datant de la fin du IIe ou du début du IIIe siècle, notamment ceux retrouvés dans des fouilles à Oxyrhynque[N 3],[N 4]. L’évangile de Thomas retrouvé à Nag-Hammadi figurait dans le même codex — le II — que d'autres textes chrétiens eux aussi dans leur version copte[N 5]. Sophocle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sophocle Buste de Sophocle Éléments biographiques[modifier | modifier le code] Les détails de la vie de Sophocle sont connus, bien qu'assez mal, grâce à une compilation anonyme[3], à la Souda[4] et aux mentions d'auteurs comme Plutarque ou Athénée[5]. Il est le fils d'un certain Sophilos et naît en 496 (selon la chronique de Paros[6]) ou en 495 av. La carrière d'auteur tragique de Sophocle débute au plus tôt en 468 av. Sophocle meurt en 407 ou 405 av. Les pièces[modifier | modifier le code] Sophocle est l'auteur de cent vingt-trois tragédies[4],[8], ainsi que des drames satyriques[9]. On peut remarquer que sur les pièces subsistantes, trois concernent directement le cycle thébain (Antigone, Œdipe roi et Œdipe à Colone), trois concernent le cycle troyen (Ajax, Électre et Philoctète), la dernière étant consacrée à Héraclès (Les Trachiniennes).

Ajax[modifier | modifier le code] Peut-être représentée vers 445 av. Électre[modifier | modifier le code] Euripide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Euripide (en grec ancien Εὐριπίδης / Euripídês), né à Salamine vers 480 av. J. -C., mort en Macédoine en 406 av. J. Biographie[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] La vie d'Euripide est mal connue, les sources anciennes étant tardives et reprenant sur son compte des éléments douteux, souvent colportés par les poètes comiques dont il fut la cible[4] : on possède ainsi une Vie, écrite par un auteur anonyme, mêlant de nombreuses légendes à des faits crédibles ; un chapitre des Nuits Attiques d’Aulu-Gelle[5] consacré à Euripide ; trois épigrammes funéraires de l’Anthologie palatine[6].

Pour Justina Gregory, les détails biographiques proviennent presque entièrement de trois sources invérifiables[7] : Débuts[modifier | modifier le code] Selon la tradition, Euripide naît à Salamine le jour même de la bataille, en -480, d'une famille athénienne réfugiée sur l'île pour échapper aux Perses. They sit at the feet of Socrates ↑ . Alcée de Mytilène. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Alcée. Alcée de Mytilène (en grec ancien Ἀλκαῖος / Alkaĩos, en latin Alcaeus) est un poète grec de l'époque archaïque né vers l’an 630 av. J. -C Représentant de la poésie lyrique monodique, le Canon alexandrin voit en Alcée le second des poètes lyriques grecs.

Contemporain de Sapphô, il en fut le rival tout en étant amoureux, il est mort vers 580 av. J. Biographie[modifier | modifier le code] Natif de Mytilène, la ville la plus importante de l’île de Lesbos, sa famille fut activement engagée dans la politique locale de sa ville natale. Œuvres[modifier | modifier le code] Ses poèmes ne nous sont transmis que partiellement : il s’agit d'hymnes, de chants politiques et belliqueux, de louanges du vin et de la bonne table, de chants d’amour. Un aperçu des hymnes est possible grâce à une paraphrase de son Hymne à Apollon par le sophiste Himérius (IVe siècle de l'ère chrétienne). Fragments[modifier | modifier le code] E. Sappho. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sapho. Sappho Sappho lisant un poème à ses amies, vase de Vari, vers 440-430 av. J. ‑C., Musée national archéologique d'Athènes.

Œuvres principales Hymne à AphroditePoème « L'égal des dieux » (fr. 31) Sappho (en grec ancien Σαπφώ) est une poétesse grecque de l'Antiquité qui a vécu aux VIIe siècle et VIe siècle av. Très célèbre dans l'Antiquité, son œuvre poétique ne subsiste plus qu'à l'état de fragments. Sappho et ses noms[modifier | modifier le code] Sapphô est connue comme étant « la Lesbienne », c'est-à-dire, au départ par antonomase, « la personne célèbre de Lesbos ». Le problème des sources[modifier | modifier le code] On possède peu de données sûres concernant Sapphô. Selon certaines sources historiques, ses œuvres, transmises jusqu'au XIe siècle, auraient été brûlées en 1073, en même temps que celles des autres poètes lyriques[3]. Interprétations contradictoires du personnage[modifier | modifier le code] Xénophon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Xénophon - Ξενοφῶν Xénophon Œuvres principales Xénophon (en grec ancien Ξενοφῶν / Xenophōn) est un philosophe, historien et chef militaire de la Grèce antique né à Erchia près d'Athènes [4] vers 445, mort vers 354 avant notre ère.

Esprit éclectique, il a beaucoup écrit. Biographie[modifier | modifier le code] Xénophon à 15 ans et Socrate par Raphaël Athènes[modifier | modifier le code] Appelé à la cour du jeune Cyrus par son général Proxène de Thèbes, il est engagé à son insu dans l’expédition de Cyrus le Jeune contre son frère Artaxerxès II (-400). La retraite des Dix Mille[modifier | modifier le code] Les Dix Mille dont l'arrière-garde était commandée par Xénophon aperçoivent la mer : Thalassa ! Athènes et Sparte[modifier | modifier le code] À son retour à Athènes, il est mal accueilli.

Scillonte (394-374)[modifier | modifier le code] Xenophon in Thomas Stanley History of Philosophy Les dernières années, Corinthe[modifier | modifier le code] Trad. Éphore de Cumes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Éphore. Éphore de Cymé ou Éphore de Cumes (en grec ancien, Ἔφορος), fut un célèbre orateur et historien de l'époque classique de la civilisation grecque (IVe siècle av.

J. -C.). Né vers 400 avant Jésus-Christ, il était de Cymé en Asie Mineure. Biographie[modifier | modifier le code] Éphore fut suffisamment célèbre à son époque, pour avoir - bien plus tardivement - été l'objet d'une notice dans la Souda. Selon le témoignage isolé de Clément d'Alexandrie, dans son ouvrage Hellenika il aurait poursuivi son récit jusqu'en 333 av. En tout état de cause, la période décrite dans son œuvre est précieuse pour préciser l'époque d'activité de cet historien. Éphore fut un disciple du célèbre rhéteur Isocrate, et sans doute un condisciple d'un autre historien fort connu à l'époque Théopompe. Son œuvre[modifier | modifier le code] Son œuvre majeure s'intitule Helléniques en 30 livres.

Source[modifier | modifier le code] Hellenica Oxyrhynchia. Hellenica Oxyrhynchia is the name given to a history of the late 5th and early 4th centuries BC in ancient Greece, of which papyrus fragments were unearthed at Oxyrhynchus, in Egypt. One of the two major fragments, the so-called London papyrus, found in 1906, deals with battles in the late Peloponnesian War, particularly the Battle of Notium. The other, the Florentine papyrus, found in 1942, deals with events in the early 4th century.

The entire history seems to have been a continuation of Thucydides covering events from 411 BC to 394 BC, much like Xenophon's Hellenica. The discovery of the first papyrus in 1906 led to a shift in the degree of credence which historians assigned to the ancient sources of the period. In the 19th century, Xenophon, a contemporary of the events he described, was presumed to be universally preferable to the much later Diodorus Siculus. Modern scholars have debated extensively over P's identity.

See also[edit] References[edit] Further reading[edit] Bruce, I. Oxyrhynque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Depuis plus d'un siècle, la zone d'Oxyrhynque a été l'objet de fouilles continues, fournissant une grande quantité de papyrus des périodes grecques et romaines de l'histoire égyptienne. Parmi les textes découverts figurent une pièce de Ménandre et l'Évangile de Thomas, un important document gnostique précoce. Étymologie[modifier | modifier le code] La ville fut nommée d'après le poisson Oxyrhynque du Nil, très important dans la mythologie égyptienne car il était réputé avoir avalé le pénis du dieu Osiris.

Histoire[modifier | modifier le code] Statue funéraire d'un prêtre de Sarapis trouvée dans la nécropole d'Oxyrhynque Oxyrhynque est située à cent soixante kilomètres environ au sud-sud-est du Caire, à l'ouest du bras principal du Nil, le long du Bahr Youssouf (Canal Joseph), une branche du Nil se jetant dans le lac Moéris et l'oasis du Fayoum. Quand Flinders Petrie visita le site en 1922, il y découvrit des restes de colonnades et du théâtre.

The History of Zonaras: From Alexander Severus to the Death of Theodosius the Great (Routledge Classical Translations) (9780415299091): Thomas Banchich, Eugene Lane: Books. Théodose Ier. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Théodose. Théodose Ier, en latin Flavius Theodosius, Augustus, aussi nommé Théodose le Grand (du grec ancien θεός, théos, "dieu" et δόσ- radical de δόσις, dosis, "don", plus patronymique -ιος), né en 347 et mort le 17 janvier 395, est empereur romain de 379 à 395, fêté le 17 janvier en tant que saint des Églises chrétiennes[1],[2]. Il est le fils de Théodose l'Ancien. Il est le dernier empereur à régner sur l'Empire romain unifié, période très brève : elle ne dure que de sa victoire sur Eugène le 6 septembre 394 à sa mort le 17 janvier 395[3]. Jeunesse[modifier | modifier le code] Les sources[modifier | modifier le code] Les sources antiques sur le règne de Théodose sont assez nombreuses et variées mais se contredisent fréquemment.

Dans les sources primaires nous disposons tout d'abord du code théodosien, recueil de lois publié en 438 sous le règne de son petit-fils Théodose II. Sévère Alexandre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sévère Alexandre (Imperator Caesar Marcus Aurelius Severus Alexander Pius Felix Augustus, Persicus Maximus (?)) Est un empereur romain qui régna de 222 à 235. Ses débuts[modifier | modifier le code] Orbiane femme de Septime Alexandre (musée du Louvre) Il épouse la fille de son cousin Varius Marcianus, Orbiane, déclarée Augusta et mal vue de Mammée.

Un pouvoir fragilisé[modifier | modifier le code] Portrait d'Alexandre Sévère. Sa figure a été grandie par l'Histoire Auguste. La dynastie des Sévères prend fin comme elle a commencé, par un coup d'État. Noms successifs[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] [lhistoirestuncombat] Dindorf L., Ioannis Zonarae Epitome Historiarum, vol. VI, Leipzig, 1875. [lhistoirestuncombat] Dindorf L., Ioannis Zonarae Epitome Historiarum, vol. V, Leipzig, 1874.

[lhistoirestuncombat] Dindorf L., Ioannis Zonarae Epitome Historiarum, vol. III-IV, Leipzig, 1870-1. [lhistoirestuncombat] Dindorf L., Ioannis Zonarae Epitome Historiarum, vol. I-II, Leipzig, 1868-9. [lhistoirestuncombat] [48] Pinderi M., Corpus Scriptorum Historiae Byzantinae. Ioannis Zonarae Annales, tomus II, Bonn, 1844. [lhistoirestuncombat] [47] Pinderi M., Corpus Scriptorum Historiae Byzantinae. Ioannis Zonarae Annales, tomus I, Bonn, 1841. August Immanuel Bekker.

August Immanuel Bekker. August Immanuel Bekker (21 May 1785 – 7 June 1871) was a German philologist and critic. Biography[edit] Born in Berlin, Bekker completed his classical education at the University of Halle under Friedrich August Wolf, who considered him as his most promising pupil. In 1810 he was appointed professor of philosophy in the University of Berlin.

For several years, between 1810 and 1821, he travelled in France, Italy, England and parts of Germany, examining classical manuscripts and gathering materials for his great editorial labours. Some of the fruits of his researches were published in the Anecdota Graeca (3 vols, 1814–1821),[1] but the major results are to be found in the enormous array of classical authors edited by him. Bekker confined himself entirely to manuscript investigations and textual criticism; he contributed little to the extension of other types of scholarship. References[edit] Notes and references[edit] Jump up ^ Vol. 1. Flavius Josèphe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Josèphe. Ce buste romain serait celui de Flavius Josèphe[1]. Joseph fils de Matthias le Prêtre (hébreu : יוסף בן מתתיהו הכהן, « Yossef ben Matityahou HaCohen »), plus connu sous son nom latin de Flavius Josèphe[2] (latin : Titus Flavius Iosephus ; grec ancien Ἰώσηπος, « Iốsêpos »), né à Jérusalem vers 37 et mort à Rome vers 100, est un historiographe judéen d'origine juive et de langue grecque du Ier siècle, considéré comme l'un des plus importants de l'Antiquité gréco-romaine.

Son œuvre est l'une des sources principales sur l'histoire des Judées du Ier siècle et concernant les événements et conflits de son temps entre Rome et Jérusalem, même si elle n'est pas sans poser de problèmes aux historiens actuels[3]. Biographie[modifier | modifier le code] Après la fin de la grande révolte judéenne, en 71, il s'établit auprès de son protecteur à Rome où il obtient la citoyenneté romaine. Contre Apion (95 ?) Dion Cassius. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dion. À ne pas confondre avec Dion de Pruse. Cassius Dion, en latin Lucius Claudius Cassius Dio (Cocceianus ?) (Nicée, Bithynie, v. 155-id., après 235) est un historien romain d'expression grecque. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Il suivit très probablement les leçons de sophistes, lui apprenant la rhétorique et la philosophie, puis partit vers Pergame pour continuer ses études et les finir à Rome où il apprit le droit romain ce qui lui permit de devenir avocat.

Cursus Honorum[modifier | modifier le code] Dion Cassius était un brillant haut fonctionnaire, discret mais efficace qui sut garder sa place dans une époque de fréquents changements de dynastie. Œuvres : Histoire Romaine[modifier | modifier le code] Prenant modèle sur Thucydide, Dion Cassius va pourtant s'en détacher en partie. Autres Œuvres[modifier | modifier le code] Les cinq suivants lui appartiennent : Alexis Ier Comnène. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alexis Ier Comnène (grec : Ἀλέξιος Α' Κομνηνός), (v. 1058[N 1]-1118), est empereur byzantin du 1er avril 1081 au . Il est le troisième fils du curopalate Jean Comnène et d’Anne Dalassène et le neveu de l’empereur Isaac Ier Comnène. Son règne de 37 ans est l’un des plus longs de l’empire byzantin et aussi l’un des plus agités.

Il révèle les qualités d’homme d’État d’Alexis dans des circonstances dramatiques où les menaces sur l’Empire s’amoncellent de toutes parts. Confronté à de nombreuses révoltes intérieures, l'empire est aussi la proie de convoitises étrangères, qu'il s'agisse des Turcs, des Normands ou des Petchenègues. Son règne est donc une lutte continuelle pour la survie de l'empire. Une carrière militaire[modifier | modifier le code] La bataille de Malazgirt La lutte contre Roussel de Bailleul[modifier | modifier le code] Au cours de la décennie de chaos qui suit la défaite de Manzikert, Alexis se montre un général capable. Jean Zonaras. [lhistoirestuncombat] Wellmann M., Pedanii Dioscuridis Anazarbei De Materia Medica libri quinque, volumen III quo continentur liber V, Berlin, 1914. [lhistoirestuncombat] Wellmann M., Pedanii Dioscuridis Anazarbei De Materia Medica libri quinque, volumen II quo continentur libri III et IV, Berlin, 1906.

[lhistoirestuncombat] Wellmann M., Pedanii Dioscuridis Anazarbei De Materia Medica libri quinque, volumen I quo continentur libri I et II, Berlin, 1907. Max Wellmann. [lhistoirestuncombat] Traduction seule Osbaldeston T.A., 2000. Néron. Claude (empereur romain) Cilicie. Anazarbe. Dioscoride. [lhistoirestuncombat] Gaisford T., Poetae Minores Graeci, vol. V, Scholia ad Theocritum, Leipzig, 1823. [lhistoirestuncombat] Gaisford T., Poetae Minores Graeci, vol. IV, Theocriti Bionis et Moschi, carmina Bucolica, Leipzig, 1823. [lhistoirestuncombat] Gaisford T., Poetae Minores Graeci, vol. III, Theognidis, Archilochi, Solonis, Simonidis, Tyrtaei, Empedoclis, Parmenidis, Sapphonis, Alcaei, Stesichori, Leipzig, 1823.

[lhistoirestuncombat] Gaisford T., Poetae Minores Graeci, vol. II, Scholia ad Hesiodum, Leipzig, 1823. [lhistoirestuncombat] Gaisford T., Poetae Minores Graeci, vol. I, Hesiodi carmina, Leipzig, 1823. Thomas Gaisford. Zénon d'Élée. Parménide. Pythagore. Thalès. [lhistoirestuncombat] Diels H., Die Fragmente der Vorsokratiker. Griechisch und Deutsch, volume III, Berlin, 1922. [lhistoirestuncombat] Diels H., Die Fragmente der Vorsokratiker. Griechisch und Deutsch, volume II, Berlin, 1922. [lhistoirestuncombat] Diels H., Die Fragmente der Vorsokratiker. Griechisch und Deutsch, volume I, Berlin, 1912. Hermann Diels. Doxographe. Lhistoirestuncombat.files.wordpress.com/2012/05/hup-catalog-2012-loeb-classical-library.pdf.