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Savoir / culture numérique

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Retrouvez tous les cours des spécialistes des pratiques et cultures numériques | MOOC Digital Paris. Patrimoine culturel. Patrimoine culturel Actu Web Créez votre tapisserie de Bayeux en ligne et gratuitement Vous avez envie de vous détendre ? Nous vous proposons une activité ludique et culturelle afin de récréer la tapisserie de Bayeux à votre sauce. Posted on 13 juillet 2020 Elizabeth Sutton Des livres de cuisine datant de plusieurs siècles en téléchargement gratuit Vous allez faire bonne chère, préparez-vous à faire un voyage culinaire dans le temps à la découverte de mets exotiques et délicieux ! Posted on 12 juin 2020 Elizabeth Sutton Outre-mer La 1ère un portail numérique riche en infos, couleurs et sons France Télévisions lance un portail numérique innovant dédié aux Outre-mer . Posted on 3 juin 2020 Elizabeth Sutton Culture Une visite virtuelle de l’église Saint-Germain-des-Prés restaurée L’église Saint-Germain-des-Prés est située dans le 6ème arrondissement de Paris et vous ne l’avez encore jamais vue comme ça.

Posted on 28 mai 2020 Frederic Danilewsky 5000 cartes anciennes en téléchargement gratuit. Le numérique n’est pas un médium. La question du médium numérique revient à intervalle régulier. C’est toujours la même question qui est posée, la même méthode qui est proposée et le même résultat qui en découle : il s’agirait de comprendre le fonctionnement sous-jacent et interne du médium numérique pour pouvoir analyser véritablement la nature des oeuvres numériques et les ranger dans une catégorie « l’art numérique ». Celles-ci auraient donc comme objectif d’exprimer le numérique en sa nature même la plus générale. Ceci a pour conséquence la construction d’un monde autonome se comprenant en son essence la plus propre : le ghetto numérique. On a de nombreuses raisons de douter de cette manière de chercher spontanément la souveraineté de l’art dit « numérique ». Cette double tradition hylémorphique, l’une étant d’ailleurs le produit de l’autre, est discutable à plus d’un titre.

Le numérique peut-il être défini comme un médium au sens artistique du terme ? Forum Vertigo | Manifeste 2018. The Forum Vertigo holds an annual series of international encounters of scientists and artists, engineers and intellectuals. Vertigo: a zoom in on the vertiginous present. The 2018 edition of the Forum takes an in-depth look at the uses of coding and algorithms in a variety of creative fields—visual arts, music, dance, literature, architecture. It questions the new modes of knowledge building effected through the impact of digital humanities. This reflection is particularly acute and topical due to the pervasiveness of artificial intelligence technologies, opening new procedures of automatic generation based on massive learning of collections of contents. For the arts and for learning processes, the use of big data raises the question of authorship. In connection with exhibitions "Coder le monde" and "Ryoji Ikeda" at the Centre Pompidou, as a part of Mutations/Créations 2.

L’emprise des algorithmes. L’affaire Cambridge Analytica/Facebook n’est qu’un épiphénomène d’un mouvement plus profond. Tel qu’il est actuellement pratiqué, le recours aux Big Data et aux algorithmes a un coût : celui du renoncement progressif à des principes et à des valeurs, comme la protection de la vie privée, l’exercice loyal de la concurrence ou l’accès aux informations permettant de se défendre lorsque des décisions nous affectent.

Cette face sombre de l’innovation technologique préoccupe en Europe (comme en témoignent les nombreux rapports récemment publiés, par exemple par l’OPECST ou la CNIL), mais semble produire ses effets les plus néfastes aux États-Unis. C’est ce qui ressort du livre de Frank Pasquale dénonçant les affres d’une « société boîte noire ». L’auteur y déploie la métaphore dans sa double dimension technique et conceptuelle (p. 3). En reliant les différents types de secrets (secret des affaires, secrets industriels, secrets d’État, etc.) à l’hermétisme des outils algorithmiques, F. Sign in / Sign up - Dailymotion. ZATAZ Hacker Citizen : un guide orginal et rebelle pour hacker la ville - ZATAZ. Vidéo surveillance, biométrie ou partage numérique : Hacker Citizen, le livre qui vous offre la possibilité de détourner la ville en cinquante idées à faire vous-même.

Je vous parlais, il y a quelques mois, d’un livre étonnant, original et rebelle. Son nom, Hacker Citizen. Geoffrey Dorne, derrière ce écrit, propose de détourner la ville en cinquante idées à faire vous-même. Du hacking souriant, idéologique et qui permet d’intellectualiser une démarche humaine et solidaire. Je m’explique, dans cet ouvrage vous allez par exemple découvrir ce qu’est une Dead Drops [Je vous en parlais en 2011]. Génial aussi, j’avoue m’y allouer, les QRcode poétiques. Une grande partie du bouquin se penche aussi et surtout sur le numérique, comme par exemple avec le Warchalking [partage du wifi dans la rue] ; ou encore la vidéo surveillance ; un maquillage ou un tee-shirt pour contrer la biométrie.

Bref, Hacker Citizen est le guide de survie citoyen en milieu urbain. Peut-on parler d’« art numérique » ? Lorsqu’une nouveauté technique émerge, le champ des arts s’en saisit comme moyen de création. À la suite de la photographie, le numérique exemplifie à son tour cette tendance. Toutefois, si l’on parle couramment d’« art numérique », il ne faut pas y voir la tentative d’en faire un mouvement, ni même de délimiter par cette appellation un médium comparable à la peinture, la performance ou la photographie. Et pour cause : il existe à la fois de la peinture numérique, des performances utilisant des outils numériques et bien sûr de la photo numérique. Aussi, l’art numérique recoupe abondamment d’autres étiquettes courantes en art contemporain par exemple l’art interactif et l’art participatif.

Si l’on considère qu’une œuvre relève de l’art numérique à partir du moment où sa réalisation ou sa présentation au public engage nécessairement du numérique, on tente alors de qualifier un art non pas par une technique, mais par un matériau. Des objets hybrides Des œuvres simili-numériques. L’Internet et le territoire. 1 Communications à l’Atelier Internet de l’ENS et au colloque Comprendre les usages de l’Internet, EN (...) 1Dès 1998, Henri Desbois évoquait l’idée qu’existent des territoires de l’Internet, ou qu’au moins le concept géographique du territoire puisse appliquer à l’Internet1. Et en 2007, son intuition s’avère juste : l’idée que l’Internet soit virtuel, au sens naïf de « coupé du réel », est en passe d’être abandonnée, et les tensions, conflits, relatifs à l’Internet, sont manifestes, qu’ils touchent à des formes concrètes du territoire (câbles, juridictions nationales) ou à des formes moins repérables (réseaux sociaux en construction...). 2 Nous sommes nombreux à penser que l’étude des liens entre idéologies et mythologies (Guichard, 2004 (...) 3 Je crois assez peu à l’idée d’un détournement massif et spectaculaire de l’Internet par ses utilisa (...) 5Le territoire est, pour moi, la « superposition d’un espace localisé et de pratiques sociales » (Guichard, 2006).

Le retour de Kim Dotcom: les enjeux du partage sur Internet | Thanh Nghiem. Thanh Nguiem est une des contributrice du réseau TEDxParis.TEDxParis est un événement sous licence TED et l'une des conférences éditées par l'agence Brightness. Retrouvez l'actualité des conférences sur brightness.fr. Kim Dotcom, partage ou esbroufe ? Le sulfureux Kim Dotcom revient sur le devant de la scène avec son nouveau site Mega, lancé le 19 janvier 2013. Son précédent site Megaupload avait été fermé le 19 janvier 2012 par le FBI au titre qu'il encourageait les utilisateurs à partager des contenus culturels (films, musiques) outrepassant les ayant-droits. Il était alors le 13e site le plus visité au monde. Son nouveau site permet la pratique du téléchargement de fichiers (légaux et illégaux) tout en restant dans un cadre légal par la mise en place d'un système de cryptage des données qu'il annonce comme inviolable, garantissant ainsi la confidentialité des échanges entre particuliers.

Le site a attiré 250 000 membres dans les 2 heures suivant son ouverture. La guerre du code - Medium. Hal.archives-ouvertes. Friendly Agence | Qu’est-ce que l’identité numérique ? C’est presque incontournable de nos jours, l’identité numérique à part entière chez les internautes, mais qu’est que l’identité numérique ?

Pour la définir simplement, l’identité numérique (ou IID : Internet Identity pour les fans de l’anglais) est la somme de nos information qu’on véhicule sur internet. Son impact par rapport au monde professionnel. Souriez, vous êtes surveillés ! Commentaires, opinions, les marques qu’on laisse sur la toile pourront forger une opinion des autres internautes sur nous y compris les employeurs, ça s’appelle l’E-Réputation. Et c’est la qu’intervient la googlisation, qui désigne le fait qu’on tape son nom et prénom sur Google, le résultat est souvent surprenant.

Près d’un employeur sur deux googlise un candidat avant de le recevoir en entretien histoire d’avoir déjà une idée sur lui. Comment protéger son identité virtuelle ? Deuxièmement, regardez souvent vos mails ! L’identité numérique d’entreprise Sources : Geek touristique : L'Eniac, monument de l'histoire de l'informatique sauvé de la rouille. Depuis l’automne 2014, ce que le monde considère comme le tout premier ordinateur en fonction de l’histoire, l’ENIAC (Electronic Numerical Integrator And Computer), est accessible au public. Une partie des 27 tonnes de métal, des milliers de diodes et 17468 tubes à vides qui composaient ce monstre sont désormais installés au sein de l’improbable musée de l’artillerie de Fort Sill, dans l’Ocklahoma (USA). Le magazine Wired raconte comment ce tout premier ordinateur s'est fait une place dans ce musée. En 2006, le milliardaire Ross Perot, ancien candidat à la présidentielle américaine et grand investisseur du numérique, souhaite décorer son quartier général de Ses employés se mettent donc en quête de la perle rare.

Et quoi de mieux que ce qui est considéré comme le premier ordinateur en fonction ? Après une véritable chasse au trésor électronique, Libby Craft, directrice des projets spéciaux, a récupéré près d’un quart de la machine d’origine. La circulation des images provenant de Facebook | Déjà Vu. Une image envoyée sur Facebook peut ensuite être “likée”, commentée, ou partagée par vos amis. Lorsqu’une image est partagée, le réseau social connaît alors parfaitement sa circulation et sa diffusion, les analystes de la plate-forme peuvent étudier sa viralité à l’intérieur du site, construire des graphes de propagation, etc. Mais qu’en est-il lorsque l’image est récupérée depuis Facebook et qu’elle quitte le site pour être utilisée ailleurs ? Il semble bien que les ingénieux ingénieurs de Facebook aient récemment développé une fonctionnalité permettant d’apporter un début de réponse à cette question. En effet, lorsque l’on télécharge une image sur Facebook, des informations sont presque systématiquement ajoutées à l’intérieur du fichier image en ligne.

Quelques précisions techniques Une image téléchargée sur Facebook se retrouve automatiquement dotée de deux champs de métadonnées IPTC/IIM bien spécifiques: Le logiciel libre et ouvert est mort. Vivent les communs. "C’est dans la confusion entre ces deux notions, propriété commune et accès libre, que réside le drame de la tragédie des communs – un drame de la pensée. C’est également dans cette confusion que le succès de cette thèse trouve ses racines, dans la mesure où elle rejoint le prêt-à-penser néolibéral qui régnera sans partage sur les politiques de développement [à partir des années 1980]. " Robert Barbault et Jacques Weber, La vie, quelle entreprise ! (2010) Le logiciel « libre et ouvert » fut une belle utopie, née au début de l’épopée de l’ordinateur personnel, et qui mourra probablement avec la récupération quasi-totale de ce mouvement par quelques firmes oligopolistiques, dans le courant de cette décennie.

Pourquoi une vie si brève ? Une tragédie en trois actes Deuxième acte : les millénaires passent, arrive le 19e siècle et la révolution industrielle. Troisième acte : les décennies passent, arrive la fin du 20e siècle et le début de la crise écologique. Une gouvernance pour les communs. Une écologie du savoir. Pour les uns, l’esprit ne réfère qu’à lui-même, pour les autres, il faut chercher l’esprit dans le cerveau.

Cette opposition, ici un peu caricaturale, a au moins le mérite de donner toute sa place à la recherche qui a abouti à cet ouvrage. Ce dernier porte en effet sur les techniques intellectuelles, ou « technologies intellectuelles », ces outils employés par les savants pour repérer, traiter l’information, pour produire et transmettre le savoir, outils qui réfèrent aussi bien à l’écrit, à l’imprimé, à l’image, qu’au numérique par exemple. En un mot, l’esprit savant n’est ni pur, ni réductible au cerveau. Elle se restreint à une période précise afin d’être plus pertinente : la période moderne et contemporaine (XVIe-XXIe siècles).

Elle se centre sur les usages des techniques intellectuelles, excluant de dissoudre son propos dans une histoire générale des techniques scientifiques (instruments de laboratoire,...). Le point de départ : un regard jeté sur le bureau de quelques savants. Google+ : bienvenue dans la Matrice. La lecture de la semaine est un post du blog techno publié sur le site du Guardian, par Charles Arthur (@charlesarthur), journaliste. Son titre : "Google+ n'est pas un réseau social, c'est Matrix". "Presque tout le monde (moi inclus, dit Charles Arthur) a mal compris ce qu'était Google+. A cause de ressemblances superficielles avec des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter - on peut devenir "ami" avec des gens comme Facebook, on peut "suivre" des gens qui ne vous suivent pas, comme dans Twitter -, on a pensé que Google+ était un réseau social, et on l'a jugé sur ses bases, en concluant qu'il ne fonctionnait pas vraiment : un faible engagement et peu d'impact sur le monde extérieur.

Si Google+ était un réseau social, force serait de constater qu'avec ses 500 millions de membres - soit près de la moitié de Facebook ce qui est colossal - ce serait un échec : on entend rarement parler de ce qui se passe sur Google+, et on reçoit peu de lien nous invitant à aller y voir. Google+ : bienvenue dans la Matrice. La société ouverte par Elliot Lepers. Avant propos🔗 Le 3 octobre 2009, j’ai eu mon premier cours à l’EnsAD. «Métamorphose» nous demandait de nous emparer d’un objet et d’en imaginer sa transformation, à la manière d’Ovide.

J’avais alors décidé de métamorphoser l’EnsAD. Assez innocemment, j’ai défini ce jour-là les bases de la relation que j’allais entretenir pendant cinq ans avec cette École. Depuis, ce rapport a toujours été très conflictuel. Très attaché à la république, j’ai une attente forte de ses écoles, qui amène une déception aussi forte. C’est dans les écoles que naissent les citoyens. Particulièrement dans une école d’art, où l’on apprend à créer. Mais les Arts Déco sont avant tout une école de forme. Et puis il y eut une brisure. J’ai donc voulu profiter de temps du mémoire pour une mise à plat. Introduction🔗 Nos sociétés sont en crises. Mais ce qui me touche particulièrement, c’est notre incapacité à réagir. Au milieu du XXè siècle, les Écoles d’art étaient les foyers de l’insurrection. À l’Origine🔗 Petite Poucette, réflexions de Michel Serres. Marcher dans Google Maps. L'authenticité d'une oeuvre d'art à l'heure de la 3D | Jean-Jacques Neuer.

De la critique dans les arts numériques.... Une histoire de la communication en 1 image et 4 chiffres. L'image en réseau. Michel Serres : «La question est de savoir qui sera le dépositaire de nos données» Entre « data librarians  et médiateurs du savoir | «Bertrand Calenge : carnet de notes. IN LIMBO - voyage dans notre mémoire connectée. IN LIMBO, Teaser 1 — ARTE. 10 000 Gigas en pleine rue. 15 mots que vous devrez connaître en 2015.