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Brexit : Boris Johnson convoqué par la justice pour "mensonge" durant la campagne du référendum. Dominic Cummings, l'homme qui veut le Brexit à tout prix. (1) «Sans Cambridge Analytica, il n'y aurait pas eu de Brexit» Sa crinière rose, ses lunettes bordées de noir et son sweat-shirt orange vif barré d’un grand «Warzaw» hantent depuis un peu plus d’une semaine les médias du monde entier.

(1) «Sans Cambridge Analytica, il n'y aurait pas eu de Brexit»

Christopher Wylie, 28 ans, a étudié le droit à la London School of Economics avant de se tourner vers la mode puis de devenir directeur de recherche chez Cambridge Analytica. Cette société technologique basée à Londres est au cœur du scandale de l’appropriation des données personnelles de 50 millions d’utilisateurs de Facebook, mais aussi du financement de la campagne du «Leave» pour le Brexit. L’affaire a été révélée par le Guardian, le New York Times et Channel Four. Données détournées par les pro-Brexit: l'édifiant rapport de la Cnil britannique. Dans son ambitieuse tentative de cartographier les manipulations d'opinion autour du Brexit, l'autorité de protection des données personnelles britannique (ICO) est en train de parvenir à un résultat de plus en plus précis.

Données détournées par les pro-Brexit: l'édifiant rapport de la Cnil britannique

Et l'étau se resserre autour d‘acteurs critiques du scandale Cambridge Analytica. La présidente de l'ICO Elizabeth Denham était invitée le 6 novembre à présenter devant le parlement britannique les avancées de son enquête sur l'utilisation de données à des fins politiques. Elle a, à cette occasion, révélé que l'homme d'affaires britannique Arron Banks venait d'écoper d'une amende de 135.000 livres, soit 155.000 euros. Le milliardaire a été l'un des artisans du Brexit. Proche de Nigel Farage -ancien leader du parti pour l'indépendance du Royaume Uni- et de Donald Trump, il a investi des sommes considérables en faveur du «Leave». Royaume Uni : la fiction qui dévoile la manipulation de l'opinion publique britannique.

Au Royaume Uni, alors que le Parlement s’apprête à rouvrir le débat sur le Brexit, la chaîne télé Channel 4 diffuse ce lundi soir un film choc.

Royaume Uni : la fiction qui dévoile la manipulation de l'opinion publique britannique

"Brexit, the uncivil war" promet de révéler les coulisses de la campagne de 2016, en montrant comment l’opinion britannique a été manipulée, notamment grâce aux réseaux sociaux. Mark Zuckerberg défend la liberté d’expression et se fait critiquer pour son double discours. Mark Zuckerberg avait promis que son défi personnel de 2019 serait de susciter des « discussions publiques sur l’avenir des technologies », et en premier lieu de son réseau social.

Mark Zuckerberg défend la liberté d’expression et se fait critiquer pour son double discours

Son discours, prononcé jeudi 17 octobre à l’université Georgetown (Washington, D.C.), faisait visiblement partie de cet effort. Le thème de son intervention : la liberté d’expression, notamment sur ses applications (Facebook, Instagram, WhatsApp, Messenger), utilisées en tout par 2,4 milliards de personnes dans le monde. Sa ligne : Facebook doit accueillir et diffuser une variété de points de vue différents pour assurer le débat démocratique, même si cela doit générer des « tensions » et un renouvellement des définitions de ce qu’il est acceptable de dire, ou non.

Une audition parlementaire en vue Le dirigeant de Facebook a, une nouvelle fois, présenté son réseau comme un espace de liberté d’expression. Dominic Cummings's Blog. Why Vote Leave. Brexit : ce qu'il faut retenir des Mémoires de David Cameron, le Premier ministre à l'origine du référendum de 2016. L'ex-chef du gouvernement britannique sort jeudi "For the Record".

Brexit : ce qu'il faut retenir des Mémoires de David Cameron, le Premier ministre à l'origine du référendum de 2016

Un livre dans lequel il revient notamment sur le référendum qui a déclenché le Brexit et qui défraie déjà la chronique outre-Manche. Riche actualité éditoriale anglo-saxonne cette semaine. Après les Mémoires du lanceur d'alerte américain Edward Snowden, qui seront publiées mardi 17 septembre aux Etats-Unis, ce sont celles de l'ancien Premier ministre britannique David Cameron qui défraient la chronique.

Intitulé For the Record, l'ouvrage sort jeudi 19 septembre au Royaume-Uni. Pour la première fois, l'ancien dirigeant conservateur revient sur les conséquences du référendum qu'il avait organisé en juin 2016 sur le maintien ou non du Royaume-Uni dans l'Union européenne, et qui avait été remporté à 52% par les partisans du Brexit. “The Great Hack”, sur Netflix : sur l’affaire Cambridge Analytica, beaucoup de bruit pour pas grand-chose - Télévision. Cette nouvelle grosse production documentaire sur l’affaire qui a ébranlé Facebook déçoit par son sensationnalisme et sa dramatisation des faits.

“The Great Hack”, sur Netflix : sur l’affaire Cambridge Analytica, beaucoup de bruit pour pas grand-chose - Télévision

Si quelques éléments valent le coup d’œil, ils se noient dans un film bien trop long. « J’ai l’impression que nos esprits ont été piratés », « Nous ne pouvons plus avoir d’élections libres. » Il n’y a pas à dire, ils sont doués ces Américains, surtout quand il s’agit de faire peur… très, très peur. REPLAY. "Brexit : référendum, mensonges et réseaux sociaux" : regardez "La Fabrique du mensonge", la série documentaire sur les fake news. "Fake news" : c'est un mot qui a envahi notre quotidien et une réalité qui concerne tous les domaines, de la politique aux faits-divers en passant par la santé.

REPLAY. "Brexit : référendum, mensonges et réseaux sociaux" : regardez "La Fabrique du mensonge", la série documentaire sur les fake news

Les motivations de ceux qui fabriquent ces fausses informations sont multiples : influencer l’opinion, changer le cours d’une élection ou tout simplement gagner de l’argent, comme le montre La Fabrique du mensonge, une série de six documentaires initiée par Félix Suffert Lopez, et réalisée par Arnaud Lievin et Elsa Guiol. Franceinfo.fr vous propose de revoir le premier volet, intitulé Brexit : référendum, mensonges et réseaux sociaux. Cet épisode explique comment, au Royaume-Uni, les dirigeants de la campagne pro-Brexit ont fabriqué de toutes pièces un mensonge : en quittant l’Union européenne, le pays pourrait économiser 350 millions de livres par semaine et les affecter à la Sécurité sociale.

Un mensonge diffusé de manière industrielle sur les réseaux sociaux, pour toucher les citoyens.