Internet : calculez vous-même la valeur de vos données personnelles. Le Financial Times a eu la bonne idée de mettre en ligne un simulateur qui vous permet de savoir combien valent vos données personnelles -c'est-à-dire combien les professionnels du marketing en ligne seraient prêts à payer pour y avoir accès. Le simulateur comprend cinq rubriques à renseigner : profil démographique (profession, âge, etc...), famille & santé, patrimoine immobilier, loisirs et profil de consommation.
Si le profil ne comprend que les données de base (âge, sexe, code postal, niveau d'éducation et- le test est américain..;- "ethnicité"), il ne vaut que 0,007 dollar. Dès la case suivante, il peut faire un bond en valeur : si vous répondez "oui" à la question "êtes-vous millionnaire ? ", il passe à 0,123 dollar -un chiffre faible en valeur absolue, mais qui multiplie la valeur du profil de base par... 20!
La profession influe beaucoup sur la valeur de votre profil. Les enfants renchérissent votre profil Encore plus drôle : vous êtes malade chronique ? Le mobile ? Un glossaire de la cyberculture - Schismatrice. Invisible web invisible. Des moteurs comme Google, MSN/Live Search, Yahoo! Search ou des répertoires tels que Yahoo! Directory ne vous donnent accès qu'à une petite partie (inférieure à 10%) du web, le Web Visible. La technologie de ces moteurs conventionnels ne permet pas d'accéder à une zone immense du web, le Web Invisible, espace beaucoup plus important que le web visible. Lors d'une navigation en Antarctique pour prélever des échantillons de glace sur des icebergs, si vous vous limitez à leur partie émergée, vous vous privez de la surface immergée, en moyenne 50 fois plus importante.
Sur le web, c'est la même chose ! Se contenter du web visible revient à ne pas explorer une zone invisible environ 500 fois plus volumineuse, comportant des centaines de milliers de ressources de grande valeur. Les ressources du Web Invisible sont en effet en moyenne de plus grande qualité, plus pertinentes que celles du web de surface. > Une partie du web est non accessible aux moteurs parce que : Invisible web invisible. Outils collaboratifs Web 2.0 | Participer, coopérer, collaborer : ces trois termes sont abondamment utilisés mais les idées qu'ils recouvrent, quoique proches, divergent.
Dans tous les cas, l'activité et l'intelligence collective sont au cœur du dispositif d'apprentissage. > On doit se demander quels sont la place et le(s) rôle(s) de(s) l'enseignant(s) ? De(s) l'élève(s) dans ces nouvelles pratiques de classe ? (rapport aux autres, rapport au temps, rapport à l'espace, rapport à l'organisation) > Quelles formes de collaboration numérique ? Typologie des outils (communication interpersonnelle, reseautage social, publication web et e-learning) > Pratique d'activités collaboratives et pédagogie ? Après cette réflexion une sélection de sites collaboratifs : Aujourd’hui le web 2.0 permet le passage d’un web statique à un web dynamique, c’est-à-dire à une gestion de contenu plus dynamique, chaque acteur du web y étant en interaction.
Si vous souhaitez contribuer avec vos adresses web envoyez vos suggestions. < Mailtrace > NetPublic - Accompagner l'accès de tous à l'Internet. Mail-Temporaire : Créer une adresse email jetable, temporaire et anonyme. The Internet map.
La véritable histoire d'Internet - Le pouvoir aux utilisateurs. Quaero | Programme de recherche industrielle sur les technologies d'analyse, de classification et d'utilisation de documents. Questions Numériques 2013/ 2014 : les promesses du numérique. Big Brother Awards France - Qui surveillera les surveillants ? Free, la liberté de payer. Sévère mais juste, tel est ma devise. Je me suis souvent lâché sur Orange, Erdf et Grdf, et même une agence de pub dont je tairais le nom. Alors aujourd’hui c’est Free qui prend parce qu’il n’a rien compris. Ajout du 08/04/13 : le CM de Free m’a contacté (en privé) pour avoir les informations sur mon compte. Il a transféré le problème au Service Consommateur de Free qui a décidé de faire un geste à cause de mon ancienneté (chez eux depuis 2004) et parce que je suis un abonné encore fidèle (j’ai encore un compte chez eux – oui j’ai quelques comptes). C’est très gentil, mais j’espère qu’ils étendront ce geste à tous leurs abonnés et pas seulement ceux qui ont un blog.
Mathieu – le CM – me dit qu’ils essaient de régler le plus de problèmes possibles sur Internet, mais qu’avec 10 millions d’abonnés c’est dur. Ajout du 08/04/13 (2) : ah, et il paraîtrait que Free a ouvert plusieurs plateaux de Call Center en France l’année dernière. Free, un ami de plus de 10 ans Adieu, vieille Freebox. Paul Miller de The Verge : 1 an sans Internet. Un contributeur senior du blog « The Verge » l’a fait : rester un an sans accès à Internet, et retourner uniquement à la vie réelle. Et sa conclusion est l’inverse de ce à quoi il s’attendait : au lieu de socialiser plus à l’extérieur, de se redécouvrir, d’aller chercher plus de self-motivation pour créer des nouvelles choses, il s’est au contraire retranché de la vie sociale a vécu presque comme un hermite. D’ailleurs il est bien content de retrouver le WWW. Comme quoi, la technologie et la vie réelle en 2013 deviennent de plus en plus indissociables.
Un Vine de Paul (une technologie dont il n’aura pas vu la naissance) : Aujourd’hui 1er mai 2013, retour à la vie… numérique : Le départ de la vie en ligne le 1er mai 2012 : Megaupload et Megavideo fermés par le FBI, les fondateurs arrêtés. Ouch! La grosse nouvelle du jour nous vient des Etats-Unis et plus particulièrement du FBI qui vient de mettre un terme à l’histoire du site de téléchargement (direct download) MegaUpload et du site de streaming MegaVideo. Le motif invoqué ?
Une violation du droit d’auteur. 7 personnes ont déjà été arrêtées (elles risquent 60 ans de prison chacune), dont le créateur des sites Kim Schmitz alias Kim Dotcom, et ce même si la société est basée à Hong Kong. En tout ce sont 18 noms de domaines qui ont été saisis par la justice américaine, plus 50 millions de dollars sur des comptes bancaires. La plupart de ces personnes ont été arrêtées en dehors des Etats-Unis (ils ont le bras long).
La perte estimée par les ayant droits est de 500 millions de dollars, et l’argent gagné par les sites est estimée à 175 millions de dollars. Ce coup d’éclat du FBI me rappelle celui contre le site PokerStars aux USA. L’acte d’accusation est ici sur scribd: Technologie - Part 3.
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