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Oradour en images : Camille Senon, militante de la mémoire. Verdun, il y a cent ans : « C’était une boucherie inouïe » C’est un petit paquet de feuilles jaunies par le temps, qui sommeille aujourd’hui dans le tiroir d’une vieille commode.

Verdun, il y a cent ans : « C’était une boucherie inouïe »

Une vingtaine de pages noircies d’une écriture fine, qui racontent l’une des semaines les plus sanglantes de l’histoire de France. Un récit clinique, celui des tout premiers jours de la bataille de Verdun, tels que les a vécu un jeune homme de 23 ans que rien ne prédestinait à ce rôle de chroniqueur. Il s’appelait René Prieur. Né le 10 août 1891, ce fils d’un professeur d’histoire enseignant au lycée Charlemagne, à Paris, fait partie des quelque trois millions et demi de jeunes Français qui ont répondu à l’ordre de mobilisation générale en août 1914. Etudiant en médecine au moment de la déclaration de guerre, cela fait maintenant huit mois qu’il se trouve dans le secteur de Verdun quand, à l’aube du lundi 21 février 1916, les Allemands déclenchent l’opération Gericht, début de ce qu’on appellera plus tard la bataille de Verdun. – Environ 25.

Louvemont (Meuse), 1915 (...) Lug : quand les super-héros affrontaient la censure en France. Spécialisé dans les « petits formats », l’ancien éditeur lyonnais fut le premier à publier des récits produits par Marvel Comics à la fin des années 1960.

Lug : quand les super-héros affrontaient la censure en France

Au festival Lyon BD (4-5 juin), une exposition revient sur son âge d’or et sur ses démêlés avec la commission chargée de censurer les publications pour la jeunesse. Les nostalgiques de la bande dessinée « petit format », également appelée « BD de gare » ou « BD du pauvre », ont rendez-vous ce week-end à Lyon. Une exposition consacrée à l’ancienne maison d’édition Lug y est présentée, à l’occasion du festival Lyon BD. Ces trois petites lettres – contraction de Lugdunum, le nom gallo-romain de la ville – sont synonymes d’un épisode marquant de l’histoire de la bande dessinée dans son expression la plus populaire.

Stimulé par le lancement de nouvelles séries, le succès en kiosque de ces fascicules à bas prix et au format pocket (13 x 18 cm) s’essoufflera au milieu des années 1960. . « Des visions cauchemardesques » Un crève-coeur. « Le Voleur d’Estampes », romance japoniste. Un dessinateur résolument moderne Techniquement, le projet étant destiné à être animé, tout a été composé dans cette perspective, en travaillant des fichiers prévus en amont pour servir de base à l’animation.

« Le Voleur d’Estampes », romance japoniste

L’exercice est assez proche de la technique du stop motion manuel (du type Wallace et Gromit par exemple), sauf que tout est numérique. Une fois que les personnages et les fonds sont dessinés, il est possible de passer aux phases de scénarisation et d’animation. Le dessin se fait à la palette graphique, après une étape préliminaire de brouillon sur papier pour poser le storyboard. L’avantage fondamental de cette technique, en comparaison d’un dessin manuel, où tout est « aplati », réside dans la facilité avec laquelle il est possible ultérieurement de faire des retouches. Accueil (André Breton) Paula Modersohn-Becker à Paris. Paula Modersohn-Becker (1876-1907) est une peintre allemande dont l'oeuvre prolifique (750 toiles, un millier de dessins) annonce l'expressionnisme.

Paula Modersohn-Becker à Paris

Les féministes de son pays l'ont popularisée, appréciant, entre autres, la vision naturelle qu'elle avait des femmes : des visages et des corps ordinaires, ancrés dans la vie, sans allusions symboliques ou érotiques. Entre 1900 et 1906, elle a séjourné régulièrement à Paris et s'y imprègne de tous les courants de l'époque : impressionnisme, fauvisme, cubisme, japonisme...Corinna Belz fait la chronique de sa vie parisienne à partir de la correspondance détaillée et pleine d'humour qu'elle a entretenue avec ses proches et ses amis en Allemagne, notamment Rainer Maria Rilke.