La Force du 13. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La Force du 13 (abrégé en LFD13) est un parti politique français actif dans les Bouches-du-Rhône fondé le 13 novembre 2014 autour de Jean-Noël Guérini. Histoire[modifier | modifier le code] Jean-Noël Guérini choisit toutefois de quitter le Parti socialiste avant que la procédure d'exclusion soit examinée[2] et se présente en tête d'une liste « La force du 13 » lors des élections sénatoriales de septembre 2014 qui arrive en seconde position avec 30 % des voix des grands électeurs et trois sièges[4]. Génération.s. Nommé Mouvement du 1er Juillet lors de sa fondation, il fait suite aux scores historiquement bas du Parti socialiste en 2017, lors de l'élection présidentielle — où Benoît Hamon était le candidat du PS — et des élections législatives.
Il porte son nom actuel depuis le 2 décembre 2017. Mouvement des citoyens (France) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour la présidentielle de 2002, le parti est englobé au sein du rassemblement baptisé Pôle républicain ; il se fond officiellement au sein de ce dernier après le scrutin présidentiel. En janvier 2003, Jean-Pierre Chevènement fonde un nouveau parti, le Mouvement républicain et citoyen (MRC). Fin 2018, le Mouvement des citoyens est relancé par des délégués défavorables au rapprochement du MRC avec La France insoumise. Aux élections européennes de 1994, la liste « L'autre politique » conduite par Jean-Pierre Chevènement obtient 2,54 % (494 986 voix). Elle se réclame de l'opposition de gauche au traité de Maastricht et réunit des candidats socialistes (MDC), communistes (Anicet Le Pors, ex-PCF), féministes (Gisèle Halimi, Béatrice Patrie), radicaux (Claude Nicolet, Henri Caillavet) et gaullistes (Pierre Marie Gallois, Pierre Dabezies)[1]. Liste des présidents du MDC 1992-1993 : Max Gallo 1993-2001 : Jean-Pierre Chevènement 2001-2003 : Georges Sarre.
Mouvement des progressistes. Pour les articles homonymes, voir MDP.
Le Mouvement des progressistes (MDP) est un parti politique français créé en 2009 sous le nom du Mouvement unitaire progressiste (MUP) autour de l'ancien secrétaire national du Parti communiste français (PCF) et sénateur Robert Hue. Son orientation à gauche se veut « démocratique, unitaire, progressiste, écologiste et humaniste »[1]. Nouvelle Action royaliste. La Nouvelle Action royaliste (NAR) est un mouvement politique français marqué par la volonté d'instaurer une monarchie constitutionnelle en France.
Objectif et fondements idéologiques[modifier | modifier le code] La NAR souhaite l'instauration d'une monarchie constitutionnelle en France sur le modèle des monarchies européennes actuelles. En effet, les rois incarneraient la continuité, l’arbitrage et l'unité dont les nations démocratiques ont besoin. Ses membres disent réfuter la distinction traditionnelle entre monarchie et république.
Nouvelle Donne (parti politique) Le 28 novembre 2013, Pierre Larrouturou annonce la création du parti Nouvelle Donne[10].
Le parti est baptisé ainsi en référence au New Deal[11], le programme politique dont la traduction française est Nouvelle Donne, lancé par Franklin D. Roosevelt dans les années 1930 pour sortir les États-Unis de la Grande Dépression. Le parti affirme faire sien le constat d'une croissance économique très faible et soutient que la crise économique actuelle provient essentiellement d'un problème de redistribution, que ce soit en termes de partage des revenus ou du travail. D'où une série de propositions construites autour d'une révision de la fiscalité et d'une réduction du temps de travail individuel. Cette politique serait soutenue par une démarche d'inspiration keynésienne de relance centrée entre autres sur la transition énergétique. Parti socialiste (France) Lancé en 1969, il trouve son origine dans le courant de pensée du socialisme, prenant la suite de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), fondée en 1905 sous l'impulsion de Jean Jaurès.
Au congrès d'Épinay, en 1971, il s'élargit en intégrant d'autres forces politiques socialistes. Le parti désigne alors comme premier secrétaire François Mitterrand, et fonde son action sur l'union de la gauche et l'élaboration d'un programme commun de gouvernement avec le Parti communiste français. La déclaration de principes est le texte qui fixe les valeurs fondamentales du PS. La première a été adoptée en 1905 par la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO). Elle déclarait dans son premier article[10] : Une nouvelle déclaration de principe est adoptée en 1969, au moment du regroupement de la « gauche non communiste » et de la création du Parti socialiste moderne. La quatrième déclaration de principe est adoptée en 1990. François Mitterrand en 1988. Place publique (parti politique) Le parti obtient deux sièges aux élections européenes de 2019, mais voit le départ de la moitié de ses confondateurs, dont Thomas Porcher et Claire Nouvian.
Le mouvement est déclaré le 10 août 2018[5]. Les fondateurs du mouvement sont : Judith Aquien, Nayla Ajaltouni, Farid Benlagha, Saïd Benmouffok, Charles Braine, Pierre-Natnaël Bussière, Lucas Chancel, Vincent Carry, Olivier Dubuquoy (en), Diana Filippova, Raphaël Glucksmann, Aziliz Gouez, Caroline Kamal, Jérôme Karsenti, Thierry Kuhn, Dan Lert, Claire Nouvian, Thomas Porcher, Jo Spiegel, Rui Wang et André Zajid[1]. Les Radicaux de gauche. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Historique[modifier | modifier le code] Contexte de la création[modifier | modifier le code] Le 15 mai 2017, Annick Girardin et Jacques Mézard font leur entrée dans le gouvernement Édouard Philippe I. Le Parti radical de gauche avait par ailleurs proposé au candidat d'En marche de « bâtir avec lui une coalition large de gouvernement, capable de lui assurer une majorité présidentielle pour agir utilement dans l'intérêt de la France et des Français »[2]. Les 15 et 16 septembre 2017, les deux partis se rassemblent lors d'universités d'été communes à Montpellier[5], ville de la circonscription électorale de la députée européenne PRG Virginie Rozière[6],[7].
Le Rassemblement citoyen - Cap21. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Union des démocrates musulmans français. L'Union des démocrates musulmans français (UDMF) est un parti politique français fondé en 2012.
Souhaitant rassembler les musulmans de France, il participe à plusieurs élections locales et nationales depuis 2014. Programme L'UDMF souhaite le développement du halal dans une vision de création d'emplois, l'instauration de cours d'éducation civique et de philosophie permettant de « faire réfléchir et débattre les jeunes » ainsi que le droit au port du voile à l'école[5],[6]. Il veut lutter contre l'islamophobie, notamment par l'instauration d'une directive européenne qui permettrait de dissoudre tout groupe ou média raciste.
Communisme. Socialisme.