Archives des Myriam Loussif — Hors d'atteinte. Découvrir Georges Navel et "trouver du merveilleux dans tout geste" | France Culture. Début avril paraissait aux Editions Plein Chant un inédit de l’écrivain et ouvrier Georges Navel, Contact avec les guerriers, écrit dans les années 1940. Cette année plusieurs de ses œuvres ont revu le jour, de Passage, son récit autobiographique de 1982, aux éditions de l’Echappée, à Près des abeilles édité par Gallimard avec une préface de Jean Giono - lui qui, parlant des écrits de Georges Navel, les désignait comme “Les Travaux et les Jours d’un Hésiode syndicaliste”. Qui était Georges Navel, né en en 1904 et mort en 1993, et pourquoi ce nouvel engouement pour ses textes ? Nous en parlons avec Mattia Filice, conducteur de train et auteur de Mécano, paru chez P.O.L en 2023. Il a notamment écrit, ainsi que Sylvain Prudhomme, une préface à la réédition de Parcours de Georges Navel, initialement paru en 1950. Georges Navel était un ouvrier, un écrivain admiré par Colette ou encore Jean Giono avec qui il partageait l'amour de la nature.
À écouter. Georges Navel, les mots à mains nues (1904-1993) | France Culture. Mon but dans la vie est en somme impossible, c’était d’arriver à l’enchantement. J’appartiens à une couche sociale qui n’a rien dit, et mon rôle dans la vie sera de fleurir, de dire. Georges Navel Dernier-né d’une grande fratrie dans une famille d’ouvriers-paysans lorrains, Georges Navel rejoint à 12 ans les ateliers d’usine et fréquente très jeune les milieux libertaires et les causeries populaires à Lyon où sa famille est évacuée en 1915.
Autodidacte reste le maître-mot pour caractériser celui que rien ne prédisposait à écrire. La reconnaissance viendra de manière fulgurante après-guerre : son premier récit, Travaux, est en lice pour le prix Goncourt en 1945. Il fut porté très haut dans le panthéon littéraire de quelques écrivains, il fut aussi abondamment étudié par les sociologues et les historiens du mouvement ouvrier qui reconnurent en lui une grande voix de la littérature prolétarienne. Il y a une quête philosophique chez Georges Navel, une immédiateté qui est celle d’un poète. Gaza. La poésie au féminin contre l’anéantissement - Marina Da Silva.
Palestine en éclats vient ajouter une nouvelle tonalité aux voix, en poésie ou en prose, qui parviennent jusqu’à nous malgré le génocide en cours à Gaza et l’écrasement de la Cisjordanie. Après, entre autres, Que ma mort apporte l’espoir (Libertalia, collection Orient XXI) de bouleversants poèmes de Gaza, sélectionnés et traduits par Nada Yafi, on découvrira avec saisissement cette nouvelle anthologie qui parcourt présent et passé. Dix-huit autrices palestiniennes, de Gaza, de Cisjordanie, de Jérusalem, vivant en Israël ou en exil, la plupart éditées, primées, à la fois artistes et activistes composent un paysage politique et intime où la distance et l’humour parviennent, parfois, à faire barrage à la dévastation. Leur rage se transmet comme la langue. « La langue dit ses dernières histoires » Cette fois, il n’y a ni schéma ni logique.
Tout est touché. Le nord, le sud, le centre : un bombardement aléatoire, dévastateur, total. J’ai accumulé assez de nouvelles pour en mourir. Contour des lacunes — Éric Pesty Éditeur. Invitant à nous rappeler que les mots « lac » et « lacune » sont liés étymologiquement, Dorothée Volut écrit à propos de Contour des lacunes : « À l’automne 2019, chaque matin après avoir amené mon fils à l’école, j’allais m’asseoir une heure à l’auberge du village, sur la place entre l’église et la fontaine. « À cette période, Électricité De France procédait au grand nettoyage du barrage de Fontaine-Lévêque qui se trouve en amont.
Jour après jour, par le jeu des barrages en aval, les fonds de la gorge ressurgissaient. Un jour que j’étais en train d’écrire à la terrasse, une amie a déposé ce livre sur ma table : L’eau se mêle à la boue dans un bassin à ciel ouvert (Zone Sensible, 2016). « L’anthropologue Keith Basso y relatait sa rencontre déterminante avec la culture apache en 1979 et la relation sacrée que ce peuple entretient avec les lieux : en bien des points, à chaque mot, je me sentais Apache. . « J’avais quitté Marseille pour le retrait, pour la survie. Livres – Zones Sensibles. Catalogue ZS#01 | Adrian Johns | La mort d’un pirate | 2011 ZS#02 | Tim Ingold | Une brève histoire des lignes | 2011 ZS#03 | Stéphane Malfettes | American Rock Trip | 2012 ZS#04 | John D’Agata | Yucca Mountain | 2012 ZS#05 | Edwin A.
Abbott | Flatland | 2012 ZS#06/09 | Alexandre Laumonier | 6/5 | 2013-2014 ZS#07 | Ben Kafka | Le démon de l’écriture | 2013 ZS#08 | Tim Ingold | Marcher avec les dragons | 2013 ZS#10 | Hanna Rose Shell | Ni vu ni connu | 2014 ZS#11 | Carl Zimmer | Et l’âme devint chair | 2014 ZS#12 | Paul Scheerbart | Perpetuum mobile | 2014 ZS#13 | Roy Wagner | L’invention de la culture | 2014 ZS#14 | Collectif | Quand la raison faillit perdre l’esprit | 2015 ZS#15 | Sophie Houdart | Les Incommensurables | 2015 ZS#16 | Sylvain Piron | Dialectique du monstre | 2015 ZS#17 | Vilém Flusser | Vampyrotheutis infernalis | 2015 ZS#18 | Keith Basso | L’eau se mêle à la boue… | 2016 ZS#19 | Pierre Bayle | Mahomet | 2016 ZS#21 | Alexis Zimmer | Brouillards toxiques | 2016 ZS#39 | Collectif | SNML.
Charlotte Marchina – Nomad’s land – Zones Sensibles. Charlotte MarchinaNomad’s land Éleveurs, animaux et paysage chez les peuples mongols224 p. ISBN 978 293 0601 39 7. 22 euros.21 cartes en couleur (réalisées par le Studio Joost Grootens). 18 photographies (de l’auteur) en noir et blanc. Juin 2019 Cet ouvrage est un essai sur les relations que les éleveurs nomades entretiennent avec leur environnement chez deux peuples mongols, en Mongolie et en Sibérie du Sud. Il est le fruit de plus de vingt mois d’enquête cumulés sur le terrain entre 2008 et 2019. Grâce à sa connaissance des langues (mongol, bouriate, russe) et à ses séjours prolongés, Charlotte Marchina entraîne le lecteur dans l’intimité et la vie quotidienne des éleveurs.
La grande originalité de l’ouvrage réside dans l’abondante cartographie, résultat de données GPS de première main collectées par l’auteur, qui donne à voir les itinéraires de nomadisation des éleveurs et les trajets quotidiens des différents troupeaux sur les pâturages. SommaireIntroduction1. Guillermo Bonfil Batalla – Mexique profond – Zones Sensibles.
Guillermo Bonfil BatallaMexique profond 248 p. ISBN 978 293 0601 27 4. 22 euros. Traduit de l’espagnol (Mexique) par Pierre Madelin Préface d’Alèssi Dell’Umbria. Septembre 2017 bla Mexique profond. Guillermo Bonfil Batalla (1935-1991) était anthropologue, fondateur du Museo Nacional de Culturas Populares et cofondateur du Centro de Investigación y Estudios Superiores en Antropología Social. Sommaire Préface IntroductionPremière partie. Extraits de la préface Ce livre de Guillermo Bonfil Batalla, ici disponible pour la première fois en français, est de ceux qui marquent leur temps. Les années 1980 furent une décennie de maturation. La thèse de Bonfil Batalla est simple : il existe deux pays au Mexique, le pays imaginaire et le pays profond. La rédaction de Mexique profond dura de mai 1985 à avril 1987.
L’auteur commence par établir clairement que la domination coloniale n’a pas cessé mais qu’elle a seulement évolué dans ses modalités. J’attendais, un soir, dans une gare des bus. Pierre Déléage – La folie arctique – Zones Sensibles. Pierre DéléageLa folie arctique 128 p. ISBN 978 293 0601 26 7. 14 euros.5 illustrations. Avril 2017 bla « “Quoi me reposer après vous avoir vu cette nuit tuer Jésus Christ et sa mère et les jeter en enfer, non ! L’œuvre ethnographique d’Emile Petitot (1838-1916) repose toute entière sur un long délire qui mêla persécutions imaginaires, interprétations historiques et culturelles invraisemblables et crises de fureur schizoïde. Pierre Déléage est anthropologue, chargé de recherche CNRS au Laboratoire d’Anthropologie Sociale, Collège de France, Paris. Eduardo Kohn – Comment pensent les forêts – Zones Sensibles. Eduardo KohnComment pensent les forêtsVers une anthropologie au-delà de l’humain 336 p. ISBN 978 293 0601 25 0. 23 euros.18 photographies, noir et blanc et couleur.
Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Grégory Delaplace Préface de Philippe DescolaFévrier 2017 bla Les forêts pensent-elles ? Les chiens rêvent-ils ? Sommaire Préface (Philippe Descola) Introduction. Eduardo Kohn est anthropologue. Keith Basso – L’eau se mêle à la boue dans un bassin à ciel ouvert – Zones Sensibles. 196 p. ISBN 978 293 0601 21 2. 20 euros. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean-François Caro.Préface de Carlo Severi. 8 illustrations.Sortie le 22 avril 2016.
[Suite à une erreur dans la production graphique de cet ouvrage, l’intérieur du livre comporte malheureusement un certain nombre de co(q)uilles. Zones sensibles tient à s’excuser auprès de ses lecteurs pour ces fautes inexcusables.] « Fabrications humaines par excellence, les lieux sont ce que l’on en fait – ils sont tout ce qu’on les tient pour être –, et leurs voix désincarnées, immanentes bien qu’inaudibles, ne sont que celles de ceux qui se parlent à eux-mêmes en silence.
Que font les peuples avec les lieux qu’ils habitent ? Préface (Carlo Severi) Guide de prononciation de l’apache occidental Introduction 1. 2. 3. 4. Épilogue Bibliographie Table des illustrations Keith Basso (1940-2013) était anthropologue et rancher, professeur émérite à l’université du Nouveau-Mexique. Dieu réside dans le détail.
Intérieur nuit | Éditions L'Ail des ours. > Intérieur nuit – Cathy Jurado / Anne Slacik > n°20 de la collection Grand ours >10,50 € frais de port compris > Règlement à envoyer avec vos coordonnées : Michel FiévetÉditions L’Ail des ours24 rue Marcel Gavelle02200 Mercin et Vaux ou achat via PayPal / CB en utilisant le bouton ci-dessous (n’oubliez pas de bien mettre votre nom et adresse de livraison en commentaire) : Intérieur nuit est un récit crépusculaire : celui d’une perte, qui est aussi une renaissance. Entre chien et loup, la langue y cherche le chemin d’une géographie fantôme, les contours de l’amour lorsqu’il nous quitte. J’ai mille ansje n’ai rien appris.et toujours le même fonden moide douleur immobilecomme une bouche ouverte sur un cri étouffémême lorsque tout s’agite autourle même fond de douleurrivière résurgente toujours le même silence figé en moi comme une petite tombe secrète une petite bombe intérieure.
DELEUZE MEMORIES - Phusis revue. Maison Télégraphe. L'Invention de la mer. Un conte poétique et futuriste (…) qui foisonne d’inventivité et de réjouissances.Eva Bester - La 20e heure sur France Inter à réécouter ici. Un choc esthétique à la fois littéraire, scientifique, poétique et politique, qui explore les profondeurs des abysses et la faune qui les habite.Marie Fouquet - Télérama Une réflexion sur l'écologie et la condition humaine, c'est drôle et très sérieux.
En tout cas, vous n'avez jamais lu ça! Nicolas Carreau - Europe 1 Laure Limongi signe un texte parfois mélancolique, souvent drôle. En tentant le pari audacieux de représenter l’hybridation dans le langage, Laure Limongi esquisse un rapport au monde prometteur qui, comme dans les autres romans cités, adopte la fluidité de l’eau.Sébastien Omont - En attendant Nadeau Je me coule avec allégresse (je mets un peu le frein pour pas le manger d'un seul coup) dans l'écriture de Laure Limongi. J’admire la capacité de Laure Limongi à aborder des genres aussi différents.Olivier – Librairie Alma – Bastia. Œuvre écrite et parlée - L'Arachnéen. Description Entre son premier court-métrage, Saute ma ville (1968), et No Home Movie (2015), Chantal Akerman (1950-2015) a réalisé plus de quarante films. Le retentissement de Jeanne Dielman, 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles, chef-d’œuvre de 3h20 qu’elle tourne à l’âge de 25 ans avec Delphine Seyrig, lui assure une notoriété immédiate.
Le rôle que les femmes occupent dans son œuvre lui vaut d’être identifiée comme une cinéaste féministe, adjectif qu’elle accueillait volontiers mais avec réserve, comme toute espèce d’assignation. Chantal Akerman est aussi la première cinéaste, dès les années 1990, à investir les lieux de l’art contemporain : ses installations sont régulièrement exposées depuis dans les galeries et musées en Europe, aux Etats-Unis, en Israël, en Amérique latine ou au Japon.
Son œuvre cinématographique se double d’une importante œuvre écrite, que nous publions dans sa quasi intégralité, et dont l’édition a été confiée à Cyril Béghin. Vol. 1 voir quelques doubles-pages. Doppelt : « Une forme de démasquage qui conserve l’énigme » (Un beau masque prend l’air) Après Rien à cette magie, Meta Donna, Et tout soudain en rien, Suzanne Doppelt fait paraître Un beau masque prend l’air construit par une mise en dialogue avec des œuvres picturales. Entretien avec Suzanne Doppelt. Un beau masque prend l’air se compose de textes poétiques écrits au regard de 17 œuvres picturales prélevées en particulier dans une histoire européenne de la peinture. Comment s’est constitué ce corpus d’images à partir desquelles s’est élaboré cet ensemble ? De façon très simple, j’ai mené une petite enquête picturale, mon but étant de trouver des tableaux dans lesquels figure un animal.
J’ai éliminé les œuvres qui montrent un simple portrait, pourtant très beau parfois comme La tête de lionne de Géricault. Délogé de son lieu naturel, devenu une image, sa présence la transforme, cette image, comme elle le fait pour n’importe quel lieu naturel où il se trouve. Pour écrire, je l’avoue, j’ai besoin de me donner un cadre, relativement strict : longueur, forme, etc. Poèmes de pluie - Mélanie Godin | Maison CFC. Pendant deux ans, il a plu de la poésie sur Bruxelles. Une centaine de poèmes, écrits par des poètes reconnus ou des habitants de Bruxelles, ont été appliqués dans l'espace public à l'aide d'une peinture uniquement visible au contact de l'eau. Ces poèmes, indécelables par temps sec, apparaissaient comme par magie sous les gouttes, à même un trottoir, sur une marche, un mur, invitant chacun à (ré)introduire de la poésie dans son quotidien.
Ce livre retrace un voyage singulier dans la ville. À travers les photographies et les textes inédits qui jalonnet les pages, il est témoin d'une aventure collective , une race tangible de ces poèmes éphémères aujourd'hui disparus. Projet sous la direction de Mélanie Godin Avec les contributions de Nathan Becker, Virginie Cordier, Coline Cornélis, Aliette Griz, Arnaud Matagne, Serge Meurant & Anne Versailles. Anne Sexton, May Ayim, Natalie Diaz : trois poétesses à (re)découvrir, dont la langue transcende les oppressions. Robinson Jeffers - L'expérience poétique de la Terre. La chute des comètes et des cosmonautes - Marina Skalova - L'Arche. Silences d’exils. « Polo kouman Polo parle », une joute poétique bilingue d’Henri Michel Yéré pour sortir le nouchi de la rue. Moondog : 50 couplets. Annie Le Brun, rebelle et révoltée, a trépassé.
Nantes : MidiMinuitPoésie révèle son programme 2024. La Voix, le Loin | Librairie Corsaire - Librairie francophone en ligne. Arabat - Éditions isabelle sauvage - Poésie, littérature, livres d'artiste, atelier de typographie. Carles Diaz invité de Souffle inédit - Souffle inédit. Galina Rymbu, un événement poétique (Tu es l’avenir) Jackqueline Frost, la langue maudite. Danse des falaises de Marin Fouqué – Maison de la Poésie de Nantes. Notes sur Histoires de vent d’Adelheid Duvanel | Pascal Gibourg. Verdicts - Lida Youssoupova - Zoeme - Grand format - Librairie des femmes PARIS. Eliott editions – Eliott. D'ombe et d'utopie, Poésie - Jannys Kombila - Le Carnet à spirales.
Contre-mesures [#9] – Les Imposteurs. La fabrique éditions | Rester barbare. Publishing - Victorian Literature. Damien Paisant. À l’ouest les poétesses - Editions ex-maudits. Sylvain Pattieu : « On ne peut déconnecter les questions de classe de celles de race ou de genre car elles sont imbriquées dans la vie des individus» Verticales [Ouvrage] Charles Lloyd | “The Sky Will Still Be There Tomorrow” Éditions de l’Olivier. Laurène Marx, l'écriture de l'intensité - Sceneweb. Ancient Light | UAPress. Le long des fissures - accrocstich.es. Je suis la maison des étoiles,Singh Collection Traverses - Editions Phloème.
Boue à nu, Hugo Mujica Collection Traverses - Editions Phloème. Drive d’Hettie Jones et La Licorne noire d’Audre Lorde – Les Imposteurs. Au Monomotapa : Notes de lecture. Carnet sans bord (Lili Frikh) - la rumeur libre EDITIONS. Ivar ChVavar, “Échafaudages dans les bois”, lu par Mathieu Jung – Poesibao. João César Monteiro | Une semaine dans une autre ville | La Barque. L'Archibras (à paraître) - Quiero éditions. Ceci n'est pas de la poésie? 20 ouvrages à découvrir. L'intimité nomade - Joël Pourbaix - 2021 - Le Noroît. Aux héros de la poésie. DIAMANKA Souleymane. 56 Descentes dans le maelstrÖm. En lieu et place. Olivier Domerg - Éditions L'Atelier Contemporain. Yves di Manno, “Lavis”, lu par Ornel Colomb – Poesibao. Emmanuel Godo : Une seule vague. Images d’archives – Éditions du Petit Pavé.
Entre concerté et spontané. D'une seule vague (Quillier Patrick) - la rumeur libre EDITIONS. Christophe Macquet, “Dâh, dans la nuit khmère”, lu par Yves di Manno – Poesibao. “Shimakage”, photographie onirique / Pen ペン. Oyats, le premier recueil poétique de Marik Froidefond. □ Rentrée poésie | Rencontres littéraires. Simon Johannin : « J’écris depuis le bord de la mort des choses afin de se dresser quand même » (La Dernière saison du monde) Grisélidis Réal, Louise Glück… Cinq recueils de poésie pour illuminer le printemps. Profondeur du champ de vol - Cadex Editions. Kasala pour mon Kaku - Maison de la poésie d'Amay. (Note de lecture), François Jacqmin, Traité de la poussière, par Joël Gayraud. Feuilles d'Herbe. Solo ma non troppo. La poésie d’ici en cinq recueils. Les nouvelles voix de la poésie.