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Traducteur

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Marina Skalova

Amandine Py - Mirobole Éditions. Bernard Hœpffner, virtuose - En attendant Nadeau. Au moment où nous apprenons sa disparition, en mer, près de la Pointe de St David’s Head, au Pays de Galles, nous voulons rappeler quel homme était Bernard Hœpffner, quel puissant passeur.

Bernard Hœpffner, virtuose - En attendant Nadeau

Ce virtuose des mots, cet autodidacte génial a, traduction après traduction, bousculé les langues et les cultures au service d’une passion : la littérature. L’homme est grand, chaleureux, le sourire facile, avec dans le regard une lueur complice, une curiosité qu’on devine insatiable, une verve que soulignent les mouvements de ses mains, l’inclinaison du buste lorsqu’il veut convaincre ou la façon dont il lève la tête quand il cherche un mot, le mot précis, celui qui exprime exactement ce qu’il pense.

La voix ? Sylvie GENTIL Traductrice littéraire. Immédiatement les caractères m’ont happée, absorbée à l’intérieur de leur magie.

Sylvie GENTIL Traductrice littéraire

Sylvie GENTIL Traductrice littéraire est traductrice professionnelle. Elle connait très bien la Chine, elle y vit et son premier séjour à Pékin date de 1980. Elle a traduit au moins une douzaine de romans chinois dont le Clan du Sorgho de Mo Yan, prix Nobel de littérature, excusez du peu. Et les sous titrages de Terre Jaune, de Chen Kaige, c’est elle aussi. Portrait Interview.

Eric Boury

La tâche poétique du traducteur - Institut d'études avancées de Paris. Colloque organisé dans le cadre d’un partenariat entre l’Institut des études avancées, le CERILAC de l’Université Paris-Diderot, le centre TELEM de l’université de Bordeaux-Montaigne, l’Institut français (Bureau du Livre) de Londres, le CERC de l’Université Paris 3, le TARMAC, Scène internationale francophone.

La tâche poétique du traducteur - Institut d'études avancées de Paris

Ce colloque entend créer un échange entre praticiens de la traduction littéraire, qu’on a trop peu l’occasion d’écouter, alors même que les propositions nouvelles sur la traduction abondent dans différents domaines (théorie, histoire culturelle, sciences politiques et, en lien avec les migrations, anthropologie et psychanalyse clinique). La « tâche du traducteur », que Walter Benjamin avait voulu émanciper du lecteur, en quoi relève-t-elle du « poétique » ? Quelles sont ses implications politiques ? N’en va-t-il pas dans la traduction de l’existence d’un « monde » commun, fait de mondes disparates qu’elle travaille à relier ? 9h15. 9h30. 10h40 - Pause. 13h - Déjeuner 14h. 16h. 14h.

Carine Chichereau : « La traduction est un travail de création » – DIACRITIK. A l’automne 2016, la revue TransLittérature proposait un numéro consacré à des portraits de traducteurs, une manière de mettre à l’honneur ces acteurs essentiels du monde du livre, cependant trop souvent ignorés dans la presse qui parle souvent des livres étrangers comme s’ils s’étaient miraculeusement traduits tout seuls.

Carine Chichereau : « La traduction est un travail de création » – DIACRITIK

Sans les traducteurs, pourtant, qui pourrait avoir un accès aussi large aux littératures du monde ? Chez Diacritik, pas de numéro spécial mais la mention systématique (et naturelle) de leurs noms et des articles réguliers sur le travail de plusieurs d’entre eux, Laurent Margantin, Danièle Robert, Julia Chardavoine pour ne citer que les derniers. Et aujourd’hui un long entretien avec Carine Chichereau, traductrice de l’anglais. Carine Chichereau est de ces traductrices dont tout lecteur admire le talent à rendre la chair et le rythme de la prose originale. Articles similaires Nos révolutions : Jane Smiley par sa traductrice, Carine Chichereau 22 mai 2018 Dans "Livres"

LES RESIDENTS 2017 - MEET. Janvier En partenariat avec l’Institut français d’Egypte Mahmoud Desouky (Egypte) Né au Caire en 1981, où il réside toujours, Mahmoud Desouky, après des études de journalisme, a commencé son parcours professionnel comme journaliste, spécialisé en critique d’art et critique cinéma.

LES RESIDENTS 2017 - MEET

Depuis quelques années, il se consacre à l’écriture de scénario, et a travaillé sur de nombreuses séries télévisées égyptiennes et régionales. Mahmoud Desouky a par ailleurs fondé la compagnie de production Abwab, dont la première production, le court métrage égyptien Sucre blanc dont il est le co-auteur, a été sélectionnée dans de nombreux festivals internationaux, et notamment présentée au Festival de Cannes en 2015, dans la section « courts-métrages ». Son premier ouvrage de fiction, le recueil de nouvelles « Min dakhil ghurfat za’ra » (« Dans une chambre bleue »), a été publié en 2015 par la maison d’édition égyptienne Al Kotob Khan. Septembre/octobre Mario Fortunato (Italie) MEET - Maison des Écrivains Étrangers et des Traducteurs.

Pierre Furlan