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Web 2.0. 1La réputation est considérée comme une valeur du capital de l’entreprise (Gibson, Gonzales et Castanon, 2006) puisqu’un lien avec la performance de l’entreprise a été établi (Deephouse, 2000). La réputation représente 63 % de la valeur de l’entreprise (Weber Shandwick/KRC Research, 2011) et correspond à la priorité de 29 % des responsables des communications de Fortune 500 (Weber Shandwick/KRC Research, 2009), ce qui est logique dans la mesure où les effets à long terme dépassent les coûts à court terme engendrés par la création d’une excellente réputation (Fang, 2005). 2De ce fait, le risque de réputation est considéré comme plus problématique que tous les autres, que ce soit le terrorisme, le risque de change, le risque politique (Sims, 2009). 3N’existe-t-il pas un paradoxe dans la volonté de gérer son e-réputation puisque la majorité des conversations sont lancées par des personnes extérieures à l’entreprise sans aucun contrôle de l’organisation ?

Tableau 1. L’analyse des cas Acadomia. Réseaux sociaux conversationnels en 2017 : 28 types d’utilisation centrés client | Jean-Luc Raymond □ C’est un événement pour la communication numérique, le marketing digital et la vente en ligne sur le web social, bref là où les socionautes s’expriment et partagent en ligne. L’expert Brian Solis (analyste pour Altimeter Group) avec l’agence JESS3 proposent aujourd’hui une nouvelle version d’une infographie très riche et de référence : The Conversation Prism 5.0 (le prisme de conversation), une cartographie exhaustive d’outils et de solutions en ligne de communication et d’échanges, un mapping lancé en 2008 et dont la dernière version datait de 2013.

Panorama des réseaux conversationnels Objectif de cette visualisation en 2017 : proposer un panorama des réseaux conversationnels qui couvrent l’ensemble de besoins potentiel et ceci en une image. Un véritable outil professionnel pour comprendre, appréhender le rôle des conversations dans nos échanges aujourd’hui et pour l’avenir afin de mettre en place des stratégies de présence en ligne orientées business. Au centre du prisme : VOUS. Les médias sociaux c'est quoi et pourquoi les utiliser ? | SLN Web. 17 octobre 2022 Les médias sociaux sont devenus indispensables à une bonne stratégie marketing. Cependant, pour les utiliser de façon efficace, il est nécessaire de comprendre parfaitement leur nature et leurs utilités.

Alors, les médias sociaux, c’est quoi exactement ? Pourquoi devez-vous les utiliser ? Les médias sociaux, c’est quoi exactement ? Fred Cavazza, blogueur reconnu dans le domaine des médias sociaux, a publié une définition des médias sociaux très précise : « Les médias sociaux désignent l’ensemble des services permettant de développer des conversations et des interactions sociales sur internet ou en situation de mobilité ». Ce qui est intéressant avec cette définition des médias sociaux, c’est qu’elle présente bien leurs 3 intérêts majeurs : Les médias sociaux, les réseaux sociaux, c’est pareil ou pas ? Il existe une certaine subtilité entre les deux et beaucoup de personnes, même averties, continuent de confondre les deux notions.

Le concept (fondamental !) Je me trompe ? 1. 2. État des lieux du digital en 2017 : mobile, réseaux sociaux, publicité, e-commerce... Réseaux sociaux : les statistiques 2017 en vidéo. Selon l’étude comScore 2017, l’accès aux réseaux sociaux est l’activité N°1 sur Internet. Pour mieux cerner les statistiques associées à l’usage des réseaux sociaux, l’agence 2Factory réalise chaque année une vidéo d’excellente qualité. On apprend que plus de deux internautes sur trois sont des utilisateurs actifs de ces plateformes. Ils y passent en moyenne 2 heures par jour. Facebook est encore et toujours le réseau social N°1, avec 1,79 milliard d’utilisateurs. Instagram est également bien placé, puisque 600 millions de personnes s’y rendent chaque mois. Cette année, la percée de Snapchat n’est pas passé inaperçue : l’application accueille désormais 150 millions de personnes chaque jour. 71% ont moins de 25 ans. À lire également Chiffres réseaux sociaux – 2017 Après avoir consulté les chiffres clés des réseaux sociaux, vous découvrirez l’interview de Grégory Pouy, fondateur de LaMercatique.

Recevez nos meilleurs articles. 2016 sera l’année du web 3.0 – FredCavazza.net. Qui se souvient du web 2.0 ? Cette appellation peut vous sembler terriblement ringarde, mais à une époque pas si lointaine, le débat faisait rage entre ceux qui pensaient qu’un jalon majeur du web avait été atteint et ceux qui s’en foutaient (cf. Web 2.0 : une première définition ?). C’était à la grande époque de la blogosphère, une époque où l’on prenait le temps de se poser des questions et d’ouvrir le dialogue avec les internautes. Depuis, nous avons assisté à la double révolution sociale et mobile. À peine avons-nous eu le temps de nous accoutumer aux micro-vidéos et autres snapchat streaks, que l’on nous explique qu’il faut passer à la réalité virtuelle / augmentée.

Le temps se contracte à mesure que l’innovation s’accélère. Du web 1.0 au web² À l’origine, internet était un réseau utilisé par des scientifiques qui cherchaient à partager leurs travaux. Du web sémantique aux agents intelligents Si l’on résume, les différents stades d’évolution du web nous ont permis de cataloguer : Guille phd. 7 raisons d’adopter la gouvernance de l’information. Chaque département de votre organisation crée de l’information, la collecte, la stocke et a parfois besoin d’y avoir accès, souvent sous des délais courts.

L’utilisation efficace de vos informations constitue un facteur clé de différenciation. 1- Trop d’information tue l’information... Chaque service de l’entreprise crée des données ou des documents qui leurs sont propres. Ressources humaines, Comptabilité, Administration, IT,R&D, tous sont soumis à des réglementations, qui parfois leurs sont propres, et ont des besoins différents tant pour accéder à l’information que pour la stocker. Avec l’explosion des volumes de données et de documents, adopter une approche stratégique claire devient alors une nécessité. Il est donc important de définir une politique de gouvernance de l’information adapté orienté “flux” et appréhendant ces flux à venir en fonction de leur nature (données, documents), support (électronique, papier), valeur (engageante, confidentielle, patrimoniale,...). La société de l’information au XXIe siècle : Enjeux, promesses et défis - Site Officiel de Joël de Rosnay.

La société de l’information est en train de naître et avec elle de nouveaux pouvoirs, de nouveaux enjeux et de nouveaux défis. Fondées sur l’exploitation et la distribution de l’énergie, les sociétés industrielles sont des " sociétés de croissance ". Avec l’avènement de l’imprimerie, du téléphone et de la télévision, puis récemment des réseaux comme Internet, naissent les " sociétés d’intelligence ". Il ne s’agit plus seulement de conquérir, de stocker et de distribuer l’énergie, mais surtout de conquérir, de stocker et de distribuer de l’information.

Sur quoi se fonde l’entrée dans la société de l’information et quels en sont les enjeux économiques, politiques et culturels ? 1. De la société de l’énergie à la société de l’information Il est intéressant de mettre en parallèle le développement des sociétés fondées sur l’énergie et celui de la société de l’information. Il existe cependant une différence fondamentale entre les deux. Les bouleversements de la société de l’information 2. 2. .

Le marché du management de l’information décortiqué : #veille, #data et #réseaux sociaux en hausse… | Doré Conseil. L’étude publiée par SerdaLab m’aurait été fort utile lorsque je me suis attelé à la réalisation de ma propre étude de marché. Avec les moyens humains et financiers et suffisamment de temps, il semble logique de pouvoir produire ces chiffres qui confirmeront sans doute le sentiment de beaucoup de professionnels du secteur. L’aspect le plus remarquable est pour moi celui qui montre le ralentissement de la dynamique économique de la production de contenus (baisse des CA attendus dans l’audiovisuel, la bibliothèque et la documentation) et que c’est l’hébergement et le traitement de l’information qui seraient désormais les marchés les plus porteurs (hausse des CA attendus pour les spécialités veille, data, réseaux sociaux, dématérialisation).

Peut-on en conclure qu’on y observe l’effet de l’avènement des médias sociaux et des technologies permettant à chacun de produire des contenus rédactionnels et audiovisuels pour un coût marginal proche de zéro ? Si non, quelle conclusion en tirer ?