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Ethnologie des gens heureux - « Autres aptitudes et habitudes diverses » : éducation sentimentale et disposition au bonheur - Éditions de la Maison des sciences de l’homme. Traduit de l’anglais par Christine Langlois«Culture or civilization, taken in its wide ethnographic sense, is that complex whole which includes knowledge, belief, art, morals, law, custom and any other capabilities and habits acquired by man as a member of society.»

Ethnologie des gens heureux - « Autres aptitudes et habitudes diverses » : éducation sentimentale et disposition au bonheur - Éditions de la Maison des sciences de l’homme

(Edward B. Tylor, 1871.) 1Que nous faut-il apprendre pour devenir des membres compétents d’une société ? Cette question peut sembler rudimentaire. Pourtant, la citation fondatrice de Tylor nous rappelle que l’anthropologie s’est surtout focalisée sur l’apprentissage formel et conscient. C’est quoi le bonheur ? : 9. Le bonheur souffre de la comparaison. © Jupiter Sommaire Pourquoi, dès lors, continuons-nous à penser en premier à l’argent comme pouvant nous rendre plus heureux, alors que nous le sommes grâce à d’autres facteurs ?

C’est quoi le bonheur ? : 9. Le bonheur souffre de la comparaison

Parce que nous sommes prisonniers d’un système de valeurs dépassé, plaide sir Richard Layard, lord anglais et professeur à la London School of Economics, dans un autre livre décapant, largement nourri d’études scientifiques. Selon ce mode de pensée, qui fonde nos politiques économiques, le bonheur ne peut venir que de l’élévation de notre niveau de vie. Qui propage cette idée reçue ? Conséquences : notre niveau de vie paraît moins reluisant, et notre conjoint moins séduisant. « En diminuant le plaisir que nous tirons de ce que nous avons, la télévision a un impact négatif sur la perception de notre situation et nuit donc à notre bonheur », écrit en conclusion le lord anglais.

STRATEGIES. PSYCHOLOGIE. C'est officiel : le bonheur ne s'achète pas. Le professeur de bonheur, actualité Société. La dimension culturelle du bonheur… et du malheur français. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Claudia Senik, professeur à l'université Paris-Sorbonne et à l'Ecole d'économie de Paris A l'heure où de nombreux pays se mettent en ordre de marche pour mesurer le bien-être "au-delà du produit national brut (PNB)", suivant les recommandations du rapport Stiglitz-Sen (2009), l'Insee vient de rendre public le résultat d'une enquête auprès des Français, confirmant les leçons des enquêtes internationales : sur une échelle de bonheur graduée de 0 à 10, les Français se placent en moyenne à 7,2.

La dimension culturelle du bonheur… et du malheur français

Il s'agit d'une très mauvaise note. Ainsi, parmi les treize pays européens qui ont participé à l'enquête European Social Survey depuis 2002, seul le Portugal obtient un score de bonheur moyen plus faible (6,8), avec des conditions de vie matérielles beaucoup plus défavorables. Travailler pour être heureux ? Le bonheur et le travail en France. Le travail a fait l'objet au cours de ces dernières années de nombreux débats, notamment sur la question de savoir s'il demeure une valeur centrale dans la société contemporaine.

Travailler pour être heureux ? Le bonheur et le travail en France

Cet ouvrage apporte une pierre dans le jardin de ces discussions. Fondé sur une enquête extensive et agrémenté de multiples témoignages, il explore par le menu les facettes multiples et contradictoires du travail tel qu'il est vécu par les acteurs. Lorsqu'on lui demande ce qui lui importe le plus pour être heureux, un Français sur quatre évoque le travail de façon directe ou indirecte. Les auteurs montrent cependant que d'un groupe social à l'autre, les rapports au travail sont fort différents. Pour les uns, les mieux dotés en revenus et en capital culturel, le travail est une composante parmi d'autres (la famille, l'amitié...) d'un ensemble de facteurs qui contribuent à l'épanouissement personnel.

Le bonheur au travail n'est pas l'apanage d'un groupe social. Le bonheur, c'est rentable. Donnez à vos employés l’occasion d’apprendre et de grandir, ils se sentiront plus heureux et plus engagés dans la réussite de l’entreprise.

Le bonheur, c'est rentable

Auteurs : Gretchen Spreitzer et Christine Porath, Havard Business Review QU’ENTEND-ON PAR « BONHEUR AU TRAVAIL » ? Il ne s’agit pas simplement de satisfaction. Bonheur et entreprise - Economiedubonheur.com, le site francophone de référence sur l'économie du bonheur. Trois sortes de déterminants du bonheur au travail peuvent être distingués : les déterminants environnementaux, sociodémographiques et individuels.

Bonheur et entreprise - Economiedubonheur.com, le site francophone de référence sur l'économie du bonheur.

Les déterminants environnementaux qui influent sur le bonheur au travail sont l’autonomie, la possibilité d’utiliser ses compétences, la clarté des objectifs, la variété des tâches, la clarté des feedback et des informations sur l’avenir, la paye, la sécurité physique, la considération et le soutien du manager, les relations sociales, la valeur sociale du travail et la valeur que le travailleur lui accorde.

Certaines de ces déterminants agissent de manière curvilinéaire, comme la sécurité physique. Pour d’autres, il y a un point optimal après lequel il y a une chute du bonheur, c’est le cas de l’autonomie ou de la variété des tâches. Les travailleurs plus âgés sont plus heureux. Nous avons des regards différents sur nos travaux respectifs. Les Français, le bonheur et l'harmonie personnelle. Du bonheur en boîte. Les humains détestent le travail, l’effort, les responsabilités.

Du bonheur en boîte

Ils consacrent l’essentiel de leur talent à déjouer les règlements ; leurs seules motivations sont le salaire et la sécurité de l’emploi. En conséquence, les directions des entreprises doivent les affecter à des tâches limitées et les soumettre à une hiérarchie autoritaire. Cette vision pessimiste des employés par les manageurs a été appelée la théorie X par un professeur de management du Massachusetts Institute of Technology (MIT), Douglas McGregor, ancien dirigeant d’entreprise.

Dès les années 1960, il lui oppose dans un ouvrage célèbre, The Human Side of Enterprise (La Dimension humaine de l’entreprise, Gauthier-Villars, 1970), la théorie Y. Celle-ci avance que travailler est une activité naturelle et gratifiante. Patrons atypiques Depuis quelques années, la théorie Y de McGregor inspire explicitement un courant d’idées radical, à la fois théorique et entrepreneurial : le mouvement de l’« entreprise libérée ».