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Les jeunes privilégient l'engagement « post-it. L'engagement post-it est au goût des jeunes. Les jeunes ne s’intéressent plus à la politique. Cette rengaine revient lors de chaque année électorale comme 2017. Les taux de participation aux deux tours de la présidentielle et des législatives de 2017 peuvent certes le laisser penser : 20 % seulement des 18-29 ans ont voté à l’ensemble de ces scrutins et leur taux d’inscription sur les listes électorales est au plus bas. Si cette faible participation électorale des jeunes n’est pas nouvelle, le phénomène s’amplifie. Sur les quatre dernières années combinant élections législatives et présidentielles, le vote systématique, c’est-à-dire à chaque scrutin, a baissé de 32,4 % en 2002 chez les 18-24 ans à 18 % en 2017.

Désaffection politique et syndicale "La faible participation des jeunes aux élections s’explique notamment parce qu’ils sont encore dans une phase de moratoire politique, ils se cherchent encore comme citoyen", explique Vincent Tiberj, professeur à Sciences Po Bordeaux. Zoom Les jeunes plébiscitent le service civique. L’évolution de l’engagement politique chez les jeunes » Je vote.

Il y a quelques semaines, deux étudiantes de l’Université Catholique de l’Ouest Bretagne Sud, Anne Pinson et Karen Michel, nous ont fait parvenir un dossier consacré à « l’engagement politique chez les jeunes français actuellement ». Nous avons choisi de publier deux de leurs article sur ce site ! L’évolution de l’engagement politique chez les jeunes. Même si les jeunes prennent part différemment à la vie politique aujourd’hui, ils ont un rôle à jouer puisque celle‐ci compte pour un jeune sur deux en France.

Les jeunes et la politique… Beaucoup d’idées reçues à ce sujet. Pourtant, les jeunes ne sont pas totalement désintéressés de la politique aujourd’hui, comme on pourrait le croire. C’est ce que démontre une double étude menée par l’association nationale des conseils d’enfants et de jeunes (Anacej). Un millier de jeunes, entre 18 et 25 ans et entre 15 et 17 ans, ont répondu à un questionnaire, à l’issue des élections municipales de mars et après les élections européennes de mai. Les jeunes s’intéressent-ils à la politique.

Publié le 12 décembre 2016 Par la rédaction de Contrepoints. Une étude BVA pour les Apprentis d’Auteuil de novembre 2016 s’intéresse au rapport de la jeunesse à la politique ainsi qu’aux idées et aux formes d’engagement auxquelles ils adhèrent. Engagement et représentation : la jeunesse hors des cadres traditionnels de la politique 45% des jeunes de 17 à 24 ans se disent engagés d’une manière ou d’une autre. Néanmoins, cet engagement est plutôt limité au sein des partis politiques (9%) ou des syndicats (7%).

L’engagement est plus fort au sein des structures éducatives (délégués de classe, conseil d’école, bureau des élèves) avec 22%, encore plus fort en association (sport, culture, environnement) avec 32%. 12% se disent engagés dans une association caritative. Parallèlement, la jeunesse s’estime insuffisamment représentée en politique (87%), dans l’entreprise (79%) et dans les médias (66%). La jeunesse se mobilise peu et se sent peu écoutée Quels fautifs ? L'engagement des jeunes aujourd'hui. Un article de Jean-Claude Richez (responsable de l'Unité de la recherche, des études et de la formation de l'INJEP) paru dans le numéro 1 des "Cahiers de l'action" : "Des ressources pour l'engagement et la participation et des jeunes".

Il y a dans le discours que tient notre société autour de l'engagement des jeunes un véritable paradoxe. D'un côté, le discours sur les jeunes qui ne veulent plus militer, qui ne s'engagent plus, qui refusent de prendre des responsabilités dans les associations, de l'autre, incontestablement une forte mobilisation des jeunes autour des sujets les plus variés, des JMJ au mouvement altermondialiste pour ne retenir que les deux formes les plus spectaculaires ces dernières années.

C'est à la déconstruction de ce paradoxe que nous voudrions ici nous attacher. Aujourd'hui, les jeunes s'engagent, mais autrement. Les jeunes boudent l’engagement politique traditionnel. Des jeunes dans la présidentielle. Les jeunes et la politique : un rapport à réinventer. Anne Muxel est directrice de recherches au CEVIPOF, le Centre de recherches politiques de Sciences Po. Elle est l’auteur de nombreux ouvrages portant sur le rapport des jeunes à la politique, dont le dernier, Avoir 20 ans en politique, vient de paraître aux éditions du Seuil.

Vous vous intéressez de longue date au rapport des jeunes à la politique et vos travaux de recherches s’appuient sur de nombreuses enquêtes. Pourriez-vous présenter plus en détails votre démarche scientifique et préciser la méthode que vous employez ? Travaillant depuis de nombreuses années sur cette question, j’ai mobilisé des méthodes différentes. J’ai par exemple suivi pendant une douzaine d’années une même cohorte de jeunes, au fil des différents événements qui jalonnent leur parcours d’entrée en politique. La manifestation joue donc un rôle important dans l’éveil à la politique ? Oui, malgré tout. Quelles sont les voies de la politisation des jeunes ? Il n’y a plus de modèles.

Oui, à coup sûr oui. Jeunesse et culture : un bilan positif, des engagements concrets - Ministère de la Culture. En quatre ans, les moyens consacrés par le ministère de la Culture et de la Communication à l’éducation artistique et culturelle ont progressé de 80 % pour atteindre 54 millions d’euros en 2016. Avec une ambition : soutenir les multiples initiatives partout en France en faveur de l’enfance et de la jeunesse. Nouveaux moyens, nouvelles initiatives « Permettre au maximum de jeunes gens, quelle que soit leur classe d’âge, de rencontrer la culture et la création par la pratique ou la fréquentation des œuvres, en particulier contemporaines » : tel est l’objectif, selon la ministre de la Culture et de la Communication, Audrey Azoulay, des initiatives multiples du ministère de la Culture et de la Communication en faveur d’un élargissement de l’accès de tous les enfants et adolescents à la culture.

Pour atteindre cet objectif, le ministère de la Culture et de la Communication a pu s’appuyer sur une importante progression des moyens consacrés à l’éducation artistique. Ambitions et projets. Les jeunes et la politique : un rapport à réinventer. Dir. de la protection judiciaire de la Jeunesse. La direction de la protection judiciaire de la jeunesse est la direction de la justice des mineurs. Elle est chargée, dans le cadre de la compétence du ministère de la justice, de l'ensemble des questions intéressant la justice des mineurs et de la concertation entre les institutions intervenant à ce titre. A ce titre, elle : Au quotidien, les professionnels de la PJJ mènent, en équipe pluridisciplinaire (éducateurs, assistants sociaux, psychologues, professeurs techniques, infirmières) et en partenariat avec d’autres ministères (Education nationale, Santé, culture, sports…) des actions d’éducation, d’insertion sociale et professionnelle au bénéfice des jeunes sous protection judiciaire (au pénal ou au civil) et de leur famille.

La DPJJ en chiffres En 2015, la direction de la Protection judiciaire de la jeunesse comptait plus de 8200 agents parmi lesquels un peu plus de 5300 éducateurs, soit 60 % des personnels. Voir toute l’actualité de la direction. Françoise Nyssen, la culture de la jeunesse. À la veille de la fête de la musique, la nouvelle ministre de la Culture du gouvernement Édouard Philippe s'est exprimée ce mardi sur le rôle de son ministère dans la jeunesse et l'éducation. Elle affirme vouloir «réenchanter le pays» grâce à la culture.

La fête de la musique a lieu mercredi 21 juin, et bien sûr, Françoise Nyssen sera sur le pont, à «écouter des jeunes». Dans une interview accordée à nos confrères du Parisien , publiée ce mardi 20 juin, la ministre de la Culture insiste sur le rôle de la musique, et de la culture en général, pour la jeunesse française. «L'éducation artistique et culturelle est l'un des axes forts pour moi (...) Ce n'est pas juste un supplément d'âme, elle aide à se construire», affirme l'ancienne patronne des éditions Actes Sud. »LIRE AUSSI: Françoise Nyssen, une éditrice sur tous les fronts À propos du Pass culture promis par Emmanuel Macron, la ministre parle d'une «porte d'entrée dans la culture pour les jeunes», déjà testée en Italie. Les Jeunes et la Culture : profils et comportements.

I- PRÉSENTATION DES PRINCIPAUX RÉSULTATS DE L’ ÉTUDE d’Opinionway, Les Jeunes (18-30 ans, soit la génération la plus nombreuse du monde) et la Culture. Comme nous l’avions analysé dans un billet précédent, sur La Génération Z, ces jeunes ont des pratiques et des intérêts très nouveaux par rapport à ceux des générations précédentes. Et le meilleur moyen de répondre à ces nouvelles demandes sont, bien évidemment, d’intégrer leurs avis avant de décider d’une offre, ou mieux encore , de recruter systématiquement, au sein de vos différentes instances décisionnelles, des jeunes de cette génération!

Rien de pire, en effet, que de tenter de penser, parler, proposer » à leur place », comme nous le verrons dans la conclusion une nouvelle fois.Cette étude d’Opinionway a été réalisée en février 2016, à partir d’un échantillon représentatif de 807 jeunes de moins de 30 ans. (Etudiants, jeunes en emploi ou en contrat professionnel, en alternance ou demandeurs d’emploi). . . Les jeunes et la culture | Les jeunes et la culture | LaPresse.ca. La liste:6161:liste;la boite:1079577:box Méthodologie Notre sondage Nos journalistes ont fait remplir notre questionnaire dans les... » la liste:6174:liste;la boite:1081019:box Tableau la liste:6175:liste;la boite:1081020:box la liste:6176:liste;la boite:1081029:box Top 10 la liste:6177:liste;la boite:1081030:box Top 5 la liste:6178:liste;la boite:1081066:box Tableaux la liste:6179:liste;la boite:1081067:box top 10 la liste:6180:liste;la boite:1081071:box tableau la liste:6181:liste;la boite:1081072:box.

Une politique pour la jeunesse construite avec la jeunesse. Les jeunes restent la priorité du Gouvernement. L’action transversale et interministérielle, engagée depuis 2012, se poursuit. Tous les ministères sont engagés depuis trois ans dans un vaste plan d'action décliné en 13 grands chantiers pour agir à la fois pour la santé, le logement, les conditions de vie et la place des jeunes dans la société et dans la vie politique. Emplois d'avenir, Garantie jeunes, contrats starters, le Gouvernement a pris de nombreuses mesures pour favoriser l'insertion professionnelle. Il a aussi institué pour la première fois un droit au retour en formation pour tous les jeunes de 16 à 25 ans, offert un débouché aux jeunes qui veulent s'engager avec le développement du service civique, et encadré plus strictement les stages. Plus récemment, il a choisi d'ouvrir la nouvelle prime d'activité (fusion du RSA activité et de la prime pour l'emploi) aux jeunes de 18 à 25 ans.

Mais ce Comité interministériel se veut aussi inédit, dans sa méthode et son approche.