Stephen Hawking, transhumaniste ? Des essais posthumes révèlent que Stephen Hawking a prédit la race des « surhumains » et croyait au transhumanisme.
Stephen Hawking a suscité la controverse en suggérant qu’une nouvelle race de surhumains pourrait se développer à partir de personnes fortunées choisissant de modifier leur ADN et celui de leurs enfants. Le scientifique a présenté la possibilité que le génie génétique pourrait créer une nouvelle espèce de surhumain qui pourrait détruire le reste de l’humanité. Dans Brèves réponses aux grandes questions (Brief Answers to the Big Questions) il répond aux questions que ses lecteurs lui ont posées au cours des longues décennies de sa vie professionnelle et de sa maladie invalidante. Transhumanisme et Intelligence Artificielle. Laurent Alexandre : La guerre des intelligences L’intelligence artificielle peut elle dépasser les humains, et comment l’éducation doit faire sa révolution ?
Depuis la parution en 2011 de son premier essai La mort de la mort, comment […] Rapport Mady Delvaux – la révolution industrielle L’OCDE (1) avait répertorié en 2001 l’existence de 256 codes de conduite émanant d’entreprises individuelles ou de secteurs d’activités (2). Il s’agit de la manifestation du droit souple (soft law) […] La ruée vers les datas Depuis les couloirs du Parlement Européen, chronique de la difficile élaboration d’une nouvelle loi pour la protection des données personnelles, enjeu central opposant les citoyens aux intérêts privés.
Cette entreprise américaine implante des puces dans les mains de ses employés - Ulyces. Crédits : AP Ça ne fait pas très mal.
Un professionnel aux mains gantées enfonce une seringue à aiguille creuse hypodermique dans la main du patient, entre le pouce et l’index où la chair est tendre. Il y dépose la puce à radio-identification (RFID) et le tour est joué. Si un filet de sang perle à l’endroit où l’acier a pénétré, il est prestement tamponné.
Cette entreprise encourage ses employés à se laisser implanter une puce électronique sous la peau - Ulyces. Ça ne dure qu’un instant.
La seringue est enfoncée dans la chair tendre qui relie les bases du pouce et de l’index. Ce n’est pas un prélèvement mais une injection d’un genre particulier : une minuscule puce électronique est implantée sous la peau du cobaye. Et le cobaye est un employé parmi 2000 autres dans le hub de start-up suédois Epicenter. Le 3 avril dernier, l’agence de presse AP a rapporté que la société proposait désormais aux employés de se faire implanter gratuitement une puce RFID par commodité. Les « cyborgs » nouvellement équipés peuvent ouvrir les portes de l’endroit, utiliser les photocopieurs ou acheter des jus de fruit frais d’un simple geste de la main.
10 questions fréquentes. Depuis quelques années, je réponds régulièrement à des questions adressées par mail à l’association.
En voici dix parmi les plus fréquentes. Réponses-ci-dessous. Comité Consultatif National d'Ethique. Quand l'ombre de "l'homme augmenté" plane sur les débats bioéthiques. Si les états généraux de la bioéthique se polarisent autour de la procréation et de la fin de vie, l'intelligence artificielle et le rêve d'un "homme augmenté" suscitent bien des interrogations.
Faut-il avoir peur du transhumanisme? Ce courant de pensée, devenu une mouvance protéiforme, a été créé au début des années 1980 par des futurologues californiens pour défendre l'idée que l'homme peut être "augmenté" dans ses capacités physiques et mentales, voire libéré de ses limites biologiques, à l'aide des technologies. Au point d'espérer repousser les frontières de la mort.
Transhumanisme? Le mot, qui fait cogiter les mouvements spirituels et s'invite dans les revues d'idées, ne figure pas parmi les neufs thèmes ouverts à la consultation - achevée lundi - par le Comité consultatif national d'éthique (CCNE), qui doit remettre un rapport de synthèse en juin en vue d'une modification de la loi. L’homme augmenté, ce que dit la loi, ce que dit l’Église. Ce que dit la loi Le droit français ne mentionne pas explicitement l’homme augmenté, mais il consacre la protection de l’intégrité corporelle.
Deux exceptions à ce principe : l’acte médical personnel et l’acte pratiqué dans l’intérêt thérapeutique d’autrui (comme une greffe). Les textes consacrent aussi le principe de dignité humaine. Dans un article publié en 2014 dans le JurisClasseur Civil, Xavier Labbée, professeur à Lille 2, s’interroge : « Le principe de défense de la ”dignité humaine” défini à l’article 16 du code civil ne met-il pas obstacle à la modification de l’humain ? » Et dans un rapport rendu en 2005, le Groupe européen d’éthique des sciences.
Immortalité et amortalité : Association Française Transhumaniste. Les transhumanistes souhaitent lutter contre le vieillissement afin de vivre beaucoup plus longtemps en bonne santé.
Et si mourir devenait non plus une contrainte mais bien plutôt un choix ? On entend souvent dire que les transhumanistes recherchent l’« immortalité ». Cette formulation est inexacte, car l’immortalité est un concept qui renvoie à la métaphysique. Or, ici, le but est on ne peut plus concret : ralentir le vieillissement humain, et pourquoi pas, à terme, le stopper complètement, voire le rendre réversible.
Nous préférons donc parler d’amortalité, ou d’allongement radical de la durée de vie en bonne santé. Précisons d’emblée qu’il ne s’agit en aucun car de forcer les gens à vivre 100 ans de plus, voire sans limitation de durée. POURQUOI LE TRANSHUMANISME ? Transhumanisme: A quoi ressemblera l'homme «augmenté» de 2050?