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Hanan Nassiri Armiche

Experts Techdays | Microsoft TechDays'12. Open data : les bénéfices ne sont pas là où on les attend. 01net le 25/04/12 à 15h56 Comment mesurer les retombées économiques de l’open data ? La question est sensible, rarement abordée et souvent contestée. On lira donc avec intérêt le récent ouvrage de Simon Chignard, vice-président de la Cantine numérique rennaise qui, pour rappel, a été partie prenante dans le premier chantier municipal en France d’ouverture des données publiques. Une matière première de choix pour l’entreprise « Ce serait trompeur de limiter ces bénéfices à la somme des revenus générés par les applications destinées à représenter et à mettre en forme les données de l’open data », avance Simon Chignard. Mais qu’on se rassure, l’ouvrage dresse d’autres pistes de gains, trop souvent ignorées.

Des gains indirects mais bien réels Bien que peu mis en avant, le marché de l’enrichissement, du croisement et de la médiation de données constitue une autre source solide de retombées économiques. Viennent ensuite les gains indirects. Data.gouv.fr : première pierre de l’opendata français, et tout à construire. La France a son portail « open data« .

Etalab, l’organisme chargé de l’ouverture des données publiques et placé sous l’autorité du Premier ministre, a officiellement lancé data.gouv.fr ce lundi 5 décembre. Un premier pas engageant, mais qui met en relief les progrès restant à accomplir en matière de sources, d’interface ou d’exploitation des données, surtout au regard d’expériences étrangères comme data.gov aux Etats-Unis et data.gov.uk au Royaume-Uni. Données originales encore rares Portail « unique interministériel des données publiques », data.gouv.fr revendique le référencement de quelques 352 000 jeux de données librement réutilisables fournis par 90 producteurs différents, du budget de l’Etat aux résultats des dernières élections commune par commune. La majorité de ces données était pourtant déjà disponible sur les sites des « producteurs ».

Selon l’association Regards Citoyens, seuls 5 % auront été spécialement publiées par Etalab pour la sortie du portail. Datavisuaquoi ? Open Data en France. Projet de loi Numérique : soutenons les (Biens) Communs ! Communiqué de Regards Citoyens, le 16 octobre 2015 En dépit de la coincidence malheureuse avec le projet de loi Valter sur les données publiques, Regards Citoyens participe comme de nombreux citoyens et organisations à la consultation du Gouvernement autour de l'avant-projet de loi sur le numérique. OpenData, OpenAccess, OpenGov, Transparence... Autant de sujets que nous essayons de défendre dans nos propositions, et que nous vous invitons à soutenir ici : Ce texte offre par ailleurs l'opportunité législative de traiter plus largement de la question des biens communs à l'heure du numérique. Regards ...16/10/2015 — En lire plusProjet de loi Données publiques : une transposition ambitieuse est encore possible pour l'Open Data !

Lancement de data.gouv.fr, le portail des données publiques. Etalab, la mission interministérielle chargée de coordonner l’ouverture des données publiques en France a lancé hier la plate-forme data.gouv.fr, qui sera désormais le portail unique de consultation des données publiques des administrations. La mise à disposition de données publiques peu ou pas accessibles jusqu’ici, ou l’open data, se veut un gage de transparence de la part de l’État.

Tout internaute a ainsi accès à la carte de l’enseignement, à celle des commissariats et gendarmeries, ou encore à la carte judiciaire. Certains services voient également précisés leurs horaires d’ouverture ou leurs coordonnées. De grandes entreprises s’intéressent à l’open data. En janvier, un programme de soutien au développement de l’économie numérique par la réutilisation des données publiques sera lancé. Il s’appellera dataconnexions. TF1 en partenariat avec Boulanger sur la TNT payante.

L’Open Data s’incruste en France. Open data se traduit par « données ouvertes ». Tous les renseignements que les organismes publics, comme l’INSEE ou l’Institut National des Etudes Démographiques, collectent sur les comportements des citoyens-consommateurs sont des données. L’ouverture des données publiques est une exigence citoyenne à double détente : 1) « Nous voulons savoir ce que vous savez sur nous » 2) « Votre travail de collecte et de traitement est financé par nos impôts, donc les résultats nous appartiennent. Pas question de nous les faire payer. » Outils pour comprendre la complexité En 2010, les révélations du groupe Wikileaks sur la guerre en Afghanistan permettent à trois organes de presse, « The Guardian », « Der Spiegel » et « The New York Times », d’exploiter intelligemment des masses énormes de données sur la vie quotidienne des soldats de la coalition. L’exploitation des données publiques donne accès à des sujets de réflexion que les grands moyens d’information traitent peu.

La France lance son portail de données publiques. L'open data, le mouvement de transparence des données publiques, franchit ce lundi une étape importante. Etalab, la mission interministérielle chargée de coordonner l'ouverture des données publiques en France lance lundi la plateforme data.gouv.fr qui sera désormais le portail unique de consultation des données publiques des administrations.

La mise à disposition de données publiques jusqu'ici peu ou pas accessibles est un gage de transparence de la part de l'Etat, mais peut aussi générer des retombées économiques pour les entreprises. Pour le lancement, "350.000 jeux de données sont présentés sur le site. Il y a par exemple le budget général de l'Etat, avec un jeu de données précis par mission, par programme et par action", explique Séverin Naudet, le directeur d'Etalab.

Tout internaute aura ainsi accès à la carte de l'enseignement, celle des commissariats et gendarmeries, ou encore la carte judiciaire. Données ouvertes : lancement du site data.gouv.fr. Open Data (1/4) : Où en est-on. Claire Gallon de LiberTIC, l’association nantaise de promotion de l’ouverture des données publiques (@LiberTIC), et Charles Nepote du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) (@CharlesNepote, @la_fing), principaux coorganisateurs de la Semaine européenne de l’Open Data qui avait lieu à Nantes du 21 au 26 mai 2012, ont commencé par poser un état des lieux assez complet du mouvement de réutilisation des données publiques. Ce que l’Open Data a réalisé Le mouvement pour la réutilisation des données publiques est un mouvement mondial né début 2009 et qui a connu une forte accélération en 2010-2011, estime Charles Nepote. Image : la carte de France de l’Open Data maintenue par LiberTIC, version 4, mise à jour janvier 2012.

Pourtant “si le mouvement commence à se structurer, force est de reconnaître que nous en sommes encore au temps des pionniers”, souligne Charles Nepote. Les défis à venir de l’Open Data En effet. Hubert Guillaud. L'open-data ouvre son portail officiel en France. Etalab, mission chargée de l'ouverture des données publiques et du développement de la plateforme française Open Data.

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Astuces Pearltrees. Open data enjeux. Données ouvertes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Donnée. Selon les pays, une part plus ou moins importante de la donnée publique est mise à disposition de tous dans le champ des données ouvertes. Ce mouvement est en expansion Les données ouvertes à la Loupe Autocollants utilisés par les militants des données ouvertes Une donnée ouverte est une donnée numérique d'origine publique ou privée. Elle peut être notamment produite par une collectivité, un service public (éventuellement délégué) ou une entreprise. L'ouverture des données (en anglais open data) représente à la fois un mouvement, une philosophie d'accès à l'information et une pratique de publication de données librement accessibles et exploitables.

Elle s'inscrit dans une tendance qui considère l'information publique comme un bien commun (tel que défini par Elinor Ostrom) dont la diffusion est d'intérêt public et général. Remarque : Le présent article est généraliste. Europe[modifier | modifier le code] Open Data : des licences libres pour concilier innovation sociale et économique. Le mouvement OpenData vit depuis quelques mois un véritable essor avec l’adoption de bonnes pratiques par un nombre croissant d’institutions nationales comme locales. Ainsi, des initiatives fleurissent en Angleterre, au Canada, en Australie et même en Italie. OKFN signalait ce week-end que le hashtag #OpenData fait l’objet d’un tweet toutes les 2 minutes en semaine en moyenne ! Partout ces actions suivent une démarche identique, adoptant les critères bien définis du savoir ouvert, conditions nécessaires au développement d’usages innovants socialement et économiquement : diverses études universitaires ou institutionnelles en préparation l’illustrent bien.

Faire travailler les citoyens, mais encore faut-il qu’ils s’y retrouvent En France, les initiatives commencent à poindre mais sans toujours suivre ces mêmes démarches : nous l’avons vu la semaine dernière avec le cas parisien. Mais les citoyens sont-ils prêts à travailler sans contrepartie pour leurs collectivités ? Données ouvertes : un principe philosophique, un enjeu politique : Carnet public. Photo flickr, licence CC by-nc-sa Palagret, Un principe philosophique Le principe de « données ouvertes » (dit OpenData) que l’on voit fleurir aux quatres coins du globe est un principe philosophique simple. Il part du constat que la société de la connaissance, rendue possible par le formidable développement des technologies de l’information — et donc d’Internet — ne peut exister que si chacun a la liberté de partager ses informations et y apporter son savoir et sa créativité. C’est par ces termes simples, qui sont autant d’implications profondes sur notre rapport au savoir et à la culture, que ce principe porte en lui le germe d’une nouvelle société.

En permettant à tous d’accéder librement aux données, de les récupérer, de les enrichir, de développer de nouveaux services les utilisant et de redistribuer à tous le résultat de leurs travaux, c’est un subtil déplacement de la valeur et du pouvoir qui s’opère. Une révolution démocratique. Open Data : j'ai tout compris ! Sur Internet, on a souvent l'impression de débarquer à l'improviste dans des conversations qui ont commencé sans nous. Les commentateurs et analystes de tous poils discutent entre initiés, emploient un vocabulaire qui apparaît bien mystérieux au commun des mortels. C'est vrai de tout domaine spécialisé, me direz-vous, et le numérique n'échappe pas à la règle. C'est vrai, mais l'espace numérique d'Internet appartient à tout le monde.

Comme l'open data. Open data par ci, open data par là... de quoi parle t-on ? C'est sur Marketing et Technologies, le blog de Julien Bonnel, que nous avons trouvé la définition la plus claire et simple : "L'Open Data désigne le mouvement visant à rendre accessible à tous via le web les données publiques non nominatives ne relevant ni de la vie privée et ni la sécurité collectées par les organismes public. " Ah d'accord ! Et où peut-on voir ce mouvement à l'oeuvre ? Très bien. L'open data va révolutionner la gouvernance. Impressionnant. Open, tout simplement. Open data : dix questions pour tout comprendre. 01net le 15/06/11 à 16h19 Quelles sont les données concernées par l’open data ? Potentiellement toutes celles détenues par l’administration dans le cadre de sa mission de service public.

Ministère, organisme public, collectivité territoriale… Il s’agit aussi bien d’informations géographiques, statistiques et épidémiologiques que d'horaires de transport, de catalogues, d'annuaires, etc. L’exploitation de ces données est-elle soumise à une redevance ? Les initiatives convergent vers une gratuité des données et leur libre réutilisation.

A qui profite les premiers lâchés de données ? L’application eo’City sur les déplacements en transport en commun des Rennais Aujourd’hui, quasi exclusivement au citoyen. Les entreprises y trouveront-elles également leur compte ? A terme, oui. Quel est le premier bénéfice de l’open data pour les entreprises ? Sous quelle licence peuvent être exploitées ces données ? Existe-t-il un annuaire de données disponibles ? On dénombre aujourd’hui trois services d’annuaires. Dis, papa, c’est quoi l’open data? Nombreux sont ceux qui estiment que le mouvement "open data" aura, à l'instar de l’apparition de l’alphabet, de l'internet ou encore de l'explosion des réseaux sociaux, des répercussions majeures dans nos sociétés. Connu pour ses logiciels non libres, Microsoft a eu la très bonne idée de demander à Regards sur le numérique (RSLN, animé par Spintank), son “laboratoire d’idées, de réflexions et d’expérimentations en ligne“, de se pencher sur la notion d’open data, et donc le partage de données publiques dans des formats ouverts, afin de libérer les données récoltées, ou produites, par les autorités publiques, et de les rendre, si possible gratuitement, à la société, ses citoyens, associations, entreprises privées et administrations publiques.

Au menu, très complet, digeste et instructif : une enquête et une trentaine d’articles, que l’on retrouve sur son site ainsi que dans le n° spécial de leur magazine, suivi d’une conférence, intitulée L’Open data, et nous, et nous, et nous ? L’OpenData, c’est bien plus que de la communication politique ! Né de projets « grassroots » structurés autour d’organisations citoyennes comme la Sunlight Foundation, MySociety ou l’Open Knowledge Foundation, l’OpenData investit pas à pas le champ institutionnel : San Francisco, Toronto, New York, projets data.gov américain, anglais ou encore piémontais, … Cette émergence institutionnelle ouvre une opportunité politique aux pays, comme la France, qui n’ont pas encore rejoint le mouvement. Encore faut-il pour cela ne pas réduire cette démarche à de simples gadgets politiques.

Au delà des pures positions de principe, l’OpenData doit respecter certaines règles pour être réellement source d’innovation sociale, politique et économique. Pour faire émerger des usages innovants, la question des licences libres est un point clé. Des initiatives françaises sous influence commerciale Ainsi en France, une administration nationale, l’APIE, est chargée d’organiser le recensement des données publiques. L’Open Data parisien risque le contresens historique. Le nouveau défi du web : l’Open Data. Vendredi, 17 Juin 2011 00:00 Laurent le médiateur numérique Blog - Informatique et Internet Signifiant « libération des données publiques », l'Open Data éclot en France à travers plusieurs initiatives sur le web. Le projet enthousiasme des internautes citoyens, des associations, des journalistes et des entreprises mais, s'il veut réussir, doit obtenir le soutien des politiques, des administrations et des élus. Le blogueur et spécialiste du web social Alexis Mons résume l'objectif de l'open Data : « rendre les données publiques disponibles et opérables pour que les gens s'en saisissent et les exploitent ».

Concrètement, l'objectif est de mettre en place des sites qui rassemblent des cartes, des statistiques, des budgets, des études, des réglementations... en provenance des gouvernements, des administrations, des établissements publics et des collectivités territoriales. Oui, bien mais à quoi sert cette somme hétéroclite ? De plus, la démocratie y gagne sûrement. Les promesses de l'open data. Enjeux de l'OpenData pour l'OpenGov.