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Le collaboratif

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How Innovation is Changing and What’s Changing Innovation [Video] It’s not often that an executive of a company that helps its clients become more innovative tells an audience to slow down innovation. But that’s exactly the message Narinder Singh, cofounder and chief strategy officer at Appirio, delivered at Massolution NYC 2013. Before our readers take the advice to heart and pull the breaks on their innovation programs, hear out Singh’s message in its entirety. “There is a merit to slowing down innovation,” he explained. “And how you can do that is by increasing your relative speed. The market is moving so fast, you have to find a way to increase your relative speed so that you can slow down what your company sees coming.” Related:- Massolution NYC 2013 Presentations Now on YouTube- Appirio Acquires TopCoder to Bolster its CloudSpokes Developer Community - Slowing Down Innovation by Increasing Relative Speed.

BAC : fonds d’investissement dédié au développement économique des banlieues. MicroDON. Mailforgood. La coopérative est l'avenir de l'entreprise. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Clémentine Autain, gérante de la société coopératice de production (SCOP) du mensuel "Regards" Là où la SNCF puis Louis Dreyfus Armateurs (LDA) ont renoncé, des salariés de Seafrance imaginent investir leurs indemnités de licenciement pour remettre à flot les navires qui relient la France à l'Angleterre. A l'imprimerie Hélio-Corbeil, dans l'Essonne, on s'apprête à sauver une centaine d'emplois par la reprise de l'activité en société coopérative ouvrière de production (SCOP). Les salariés de Fralib (Unilever), qui fabriquaient le thé Lipton, planchent sur une société coopérative d'intérêt collectif (SCIC), qui permet d'associer salariés, collectivités publiques et entreprises privées.

La coopérative se rêve, se discute, se construit. L'idée de créer une société coopérative et participative apparaît de plus en plus comme une solution envisagée par les salariés d'entreprises menacées. Je comprends que, à Seafrance et ailleurs, certains hésitent. Changer de banque pour changer la banque. Àquoi sert l’argent que nous déposons dans les banques ? Changer de banque est-il possible ?

Et sur quels critères ? Existe-t-il un établissement financier idéal ? Beaucoup se posent ces questions après la mise en lumière des terrifiantes spéculations auxquelles s’adonnent les grandes banques, et de leur rôle néfaste dans la crise de 2008. C’est pour y répondre que Politis vous propose un classement de ces établissements, du plus éthique au plus toxique, fondé sur les données les plus récentes issues d’organisations non-gouvernementales. L’utilité du service bancaire n’est donc pas mise en question.

Choisir une banque davantage éthique est donc nécessaire – et possible – mais pas suffisant. Crédit coopératif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Groupe Crédit coopératif Le Crédit coopératif est une banque coopérative française. À l’origine outil bancaire des SCOP et des personnes morales de l’économie sociale et solidaire (associations, coopératives, mutuelles…), sa clientèle s’est élargie à d'autres formes d’entreprises et aux particuliers. Ses clients, à la fois usagers et associés, apportent le capital de la banque. Ils composent le Conseil d’Administration. Le Crédit coopératif exerce l’ensemble des services bancaires classiques. Le Groupe Crédit coopératif comprend le Crédit coopératif, ses filiales et ses établissements de crédit associés.

Histoire du Groupe[2][modifier | modifier le code] Le Groupe Crédit coopératif a deux origines : la Banque coopérative des associations ouvrières, et la Caisse centrale de crédit coopératif. Organisation[modifier | modifier le code] Une banque coopérative[modifier | modifier le code] Gouvernance[modifier | modifier le code] Crédit Coopératif - Banque de l’économie sociale et de la finance solidaire. Connecting the Collaborative Economy. Les sites collaboratifs réclament le soutien de Bercy. Ce sont des entreprises d'un nouveau genre.

Des enteprises du numérique, des sites internet qui proposent des services entre particuliers : co-voiturage, location de logements ou dîner chez l'habitant, échange d'appartements, mutualisation d'achats, etc Ces entrepreneurs se sont réunis, mardi 25 juin, à Bercy pour un "BercyJam" au cours duquel ils ont pu faire part de leurs besoins et doléances à Fleur Pellerin. Des demandes multiples Création d'un statut à part entière, labellisation, fiscalité ad hoc (TVA réduite) pour les sociétés et clarification pour les utilisateurs (franchise fiscale), aide au financement par le biais de prêts participatifs et/ou incitations en direction des investisseurs : les demandes ont fusé. "Allez-y, c'est Noël", a lancé l'un des participants à ses acolytes lorsqu'il s'est agit de suggérer à l'Etat comment aider financièrement ces entreprises d'un nouveau genre. La Banque publique d'investissements (BPI) "a 500 millions à distribuer".