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Georges BALANDIER, Communication et image: une lecture de la surmodernité. De la tradition à la post-modernité. Hommage à Jean Poirier. André Carénini et Jean-Pierre Jardel. Georges BALANDIER “Communication et image : une lecture de la surmodernité”.

Georges BALANDIER, Communication et image: une lecture de la surmodernité. De la tradition à la post-modernité. Hommage à Jean Poirier. André Carénini et Jean-Pierre Jardel

Un article publié dans De la tradition à la post-modernité. Hommage à Jean Poirier, pp. 41-47. Textes réunis par André Carénini et Jean-Pierre Jardel. Paris : Les Presses universitaires de France, 1996, 1re édition, 487 pp. La surmodernité L’empire communicationnel La communication dans le champ théorique L'image dans la communication moderne La surmodernité En étudiant le travail de la « machine à civiliser », conclusion à une Histoire des mœurs dont il a assumé la direction, jean Poirier identifie le long et sinueux parcours qui conduit « de la tradition à la postmodernité ».

COUTURIER, Yves - École de travail social. Concept du socio-constructivisme - Rp70110. CONSTRUCTIVISME ou SOCIO-CONSTRUCTIVISME ?

Concept du socio-constructivisme - Rp70110

Depuis 1978, les recherches sur la notion de conceptions préalables ou représentations initiales permettent aujourd'hui de distinguer trois grandes positions en éducation: Cette pédagogie, appelée "magistrale" ou "frontale" s'inspire des travaux de John Locke. La connaissance transmise par l'enseignant viendrait s'imprimer dans la tête de l'élève comme dans de la cire molle. Cette théorie, appelée béhaviotrisme, prend appui sur les travaux de Thorndike, Pavlov, Skinner et Watson.

L'apprentissage résulte d'une suite de conditionnements "stimulus-réponse". Le constructivisme Le nouveau savoir n'est effectif que s'il est reconstruit pour s'intégrer au réseau conceptuel de l'apprenant. C'est l'élève qui apprend et personne ne peut le faire à sa place. Le socio-constructivisme La construction d'un savoir bien que personnelle s'effectue dans un cadre social. Interdépendance de l'apprentissage et de son contexte Le conflit sociocognitif.

Fourre tout

Émancipation. Réflexivité. Education - formation. Savoir - savoirs. Entretien avec Edgar Morin (2) : Science et philosophie. L’action conjointe du "je" et du monde dans la constitution de la réalité nonfiction.fr : Votre volonté d’assumer une position subjective peut-elle s’expliquer par le fait que la subjectivité n’est pas nécessairement quelque chose de partial et de fermé et peut donc peut appréhender l’ensemble des choses ? Edgar Morin : Je dirais même beaucoup plus. Celui qui est persuadé d’avoir une connaissance objective, c’est-à-dire impersonnel, celui-là se trompe doublement. La première erreur c’est qu’il ignore que l’objectivité des objets est le produit d’une coopération entre le monde extérieur et son propre esprit qui justement détermine l’objet. Dès que l’on pense que dans toute connaissance il y a traduction et construction on ne peut plus penser que l’on maîtrise l’objectivité, on arrive à une certaine objectivité qui comporte l’intervention du sujet.

OBJECTIVATION : Définition de OBJECTIVATION. OBJECTIVER, verbe trans.

OBJECTIVATION : Définition de OBJECTIVATION

A. −Faire passer de l'état de donnée intérieure à celui d'une réalité extérieure correspondante, susceptible d'étude objective.Objectiver le subjectif.L'humanité, dans ces âges pesamment réalistes (...) objectivait la voix de sa conscience en une voix émanée du ciel (Renan, Hist. peuple Isr., t.2, 1889, p.362).Au fur et à mesure que l'habitude nous dispense de sentir, nous supprimons les éléments nocifs de couleur, de dimension et d'odeur qui objectivaient notre malaise (Proust, J. filles en fleurs, 1918, p.926): .

Comme nous parlons plutôt que nous ne pensons, comme aussi les objets extérieurs, qui sont du domaine commun, ont plus d'importance pour nous que les états subjectifs par lesquels nous passons, nous avons tout intérêt à objectiver ces états en y introduisant, dans la plus large mesure possible la représentation de leur cause extérieure. ContenuCooperationCollaboration. Entre la coopération et la collaboration, la différence est nuancée.

ContenuCooperationCollaboration

Sources: site Outils et Réseaux F. Henri et K. Lundgren-Cayrol analysent de manière très éclairante la différence entre ces deux notions. La présentation qui suit reprend largement cette analyse. La première différence : comment partage-t-on le travail ? De manière générale, les groupes collaboratifs et coopératifs travaillent ensemble sur un but commun ou partagé. En coopérant Le groupe est divisé en équipes spécialisées qui réalisent une partie de tâche. En collaborant Les membres du groupe travaillent pour un but commun. Autres différences De cette manière de réaliser la tâche commune, découlent d'autres différences : La maturité des groupesLes interactions entre les personnes La manière de considérer le but.

Différence entre savoir et connaissance. Savoir et connaissance, voilà deux termes souvent confondus.

Voilà qui illustre bien le cours! – anncloud

Bien que certains chercheurs y voient des synonymes pour d’autres la distinction est cruciale.

Différence entre savoir et connaissance

J’en fais parti ! Qu’est-ce qu’un savoir ? Le savoir c’est que qui relève d’une communauté qui a statué sur une connaissance érigée alors en savoir. C’est exactement ce qui se passe sur les savoirs académiques. Qu’est-ce qu’une connaissance ? La connaissance n’est pas une poupée russe Selon Merieu, on peut empiler des savoirs mais pas des connaissances.

Conclusion Un savoir est lié à une communauté, une connaissance à un individu.