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Défaite française 1940

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Marc Bloch. Marc Bloch.

Marc Bloch

Biographie[modifier | modifier le code] Famille et formation[modifier | modifier le code] Il est reçu à l'agrégation d'histoire et géographie en 1908[3]. Marc Bloch suit de 1908 à 1909 les cours des facultés de Berlin et de Leipzig avant d'être pensionnaire à la Fondation Thiers (1909-1912). L'Étrange Défaite. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(avril 2016).

L'Étrange Défaite

Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. L'Étrange Défaite. Témoignage écrit en 1940 est un témoignage sur la bataille de France écrit en 1940 par Marc Bloch, officier et historien, qui a participé aux deux guerres mondiales. Dans ce livre, il ne raconte pas ses souvenirs personnels mais s'efforce, en témoin objectif, de comprendre les raisons de la défaite française lors de la bataille de France pendant la Seconde Guerre mondiale. Château d'Itter. Château d'Itter vu du sud-est Histoire[modifier | modifier le code] Le château fort[modifier | modifier le code] On ignore la date de construction du premier château : c'était un fort du haut-diocèse de Ratisbonne protégeant l'entrée dans la vallée de Bressanone contre l'évêché de Salzbourg ; sa construction pourrait remonter à l'an 900 (c'est en 902 que Ratisbonne obtint la terre de Bressanone).

Château d'Itter

En 1380, le chapitre cathédral vendit Itter à Salzbourg ; la première mention écrite du château date de 1241 : il est alors dit que le village d'Itter appartient au comte palatin Rapoton II d'Ortenburg[1]. Au XIVe siècle, le château servait de tribunal et de centre de pouvoir ce qui, pour la population locale, signifiait qu'il fallait l'approvisionner en bois et en nourriture, mais aussi supporter la présence militaire. Édouard Daladier. Emprisonné en France puis en Allemagne pendant l'Occupation, il redevient député après la guerre, siégeant jusqu'en 1958.

Édouard Daladier

Il est également maire de Carpentras (1912-1919) puis d'Avignon (1953-1958). Origines et formation[modifier | modifier le code] Fils d'un boulanger de Carpentras, Daladier suit les cours de khâgne d'Édouard Herriot au lycée Ampère de Lyon. Analyse de la carte de France après l'armistice du 22 juin 1940. L'armistice du 22 juin 1940 prévoit que la moitié nord de la France et la façade atlantique seront occupées et directement administrées par les troupes allemandes.

Analyse de la carte de France après l'armistice du 22 juin 1940

On parle de zone nord ou de zone occupée. Le gouverneur militaire allemand qui dirige la zone nord est basé à Paris, qui est donc la capitale de la zone occupée. L'armistice prévoit que le sud de la France reste sous le contrôle des Français dirigés par Pétain. On parle de zone " libre ", de zone sud. Cette petite moitié de la France demeure non occupée jusqu'en novembre 1942, date à laquelle, les nazis envahissent aussi la zone sud. La capitale de la zone sud est Vichy : on parle du régime de Vichy. Ces deux régions deviennent allemandes. Juin 1940 : la défaite française et l'armistice. Le sort de la France se joue maintenant en trois journées décisives.

Juin 1940 : la défaite française et l'armistice

Le 16 juin 1940, le conseil des Ministres à Bordeaux met Reynaud en difficulté, qui démissionne. Pour lui succéder, le président de la République désigne Philippe Pétain comme chef du gouvernement. Le 17 juin, le vainqueur de Verdun annonce qu'il demande l'armistice. Le général de Gaulle est arrivé à Londres et, le 18 juin, il s'élève contre l'armistice. Il déclare : « Nous croyons que l'honneur des Français consiste à continuer la guerre aux côtés de leurs alliés ». Réalisateur : Isabelle Clarke, Daniel Costelle Producteur : CC&C, ECPAD, NHK Année de production : 2009. Maxime Weygand. Pour les articles homonymes, voir Weygand.

Maxime Weygand

Maxime Weygand, né à Bruxelles le , mort à Paris le (à 98 ans), est un officier général français, membre de l'Académie française. Il a joué un rôle majeur lors des deux guerres mondiales. Bras droit du maréchal Foch sur la fin de la Première Guerre mondiale, il est notamment chargé, le 11 novembre 1918, de lire les conditions de l'armistice à Rethondes à la délégation allemande. André-Gaston Prételat. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

André-Gaston Prételat

André Prételat, né André-Gaston Pettelat[1] le [2] à Wassy (Haute-Marne) et mort le à Paris, est un général français. Alphonse Georges. Alphonse-Joseph Georges (né le à Montluçon et mort le à Paris) est un général français du XXe siècle ayant combattu lors des deux guerres mondiales.

Alphonse Georges

Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et début de carrière[modifier | modifier le code] Alphonse Georges est né le à Montluçon. Originaire d’un milieu modeste, son père est contremaitre dans une verrerie, il obtient des résultats hors normes durant toute sa scolarité à Saint-Amand-Montrond et à Bourges. Attiré par l’armée, il prépare le concours d’entrée à Saint Cyr au lycée Lakanal de Sceaux, puis intègre l’École spéciale militaire en 1895.

De retour à Alger, il mène la vie classique des officiers de garnison lorsque, en 1912, on lui confie un dossier jusque-là inextricable : l’incorporation des « Indigènes ». Drôle de guerre. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mai 2016).

Drôle de guerre

Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Maurice Gamelin. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mai 2015). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Maurice Gustave Gamelin (Paris, 20 septembre 1872 – Paris, 18 avril 1958)[1], est un officier général français. Il commande l'Armée française pendant la drôle de guerre de 1939-1940 et voit sa stratégie mise en déroute par les Allemands lors de la percée de Sedan. Pendant le régime de Vichy, Gamelin est arrêté puis, en 1942, interné en Allemagne. Plan Jaune. Ce plan est parfois surnommé « plan coup de faucille »[n 2], ou encore, par abus, « plan Manstein », car bien que rédigé en définitive par l'état-major de la Heer (notamment Halder), il est souvent considéré qu'il a été conçu sur une partie des propositions de Manstein que Hitler aurait imposée à l'OKH[2],[3],[4].

Cette première phase a été décisive : malgré leur situation stratégique défavorable, Fall Gelb a permis aux Allemands de vaincre des ennemis d'importance comparable sur le plan numérique et matériel, conduisant à la capitulation des Pays-Bas et de la Belgique (respectivement 15 et 28 mai) et la conquête du Nord de la France, qui fournissent des bases pour une attaque ultérieure contre la Grande-Bretagne. Plan Dyle. Le plan Dyle est un plan stratégique français au début de la Seconde Guerre mondiale prévoyant une intervention militaire en Belgique en cas d'invasion de ce royaume par les forces armées allemandes. Ce cas se produit le et le plan est appliqué sous sa forme Dyle–Bréda étendant l'intervention franco-britannique aux Pays-Bas. Le plan Dyle est adopté en novembre 1939 (finalisé jusqu'en avril suivant), en plus du plan Escaut décidé en octobre 1939. Le choix d'exécuter l'un ou l'autre doit s'effectuer au moment où une attaque des Allemands contre la Belgique aurait lieu.

Si l'autorisation des Belges d'intervenir dans leur pays parvient assez tôt aux Français, ceux-ci choisiront le plan Dyle, le plan Escaut étant celui par défaut. La possibilité d'intervenir également au sud des Pays-Bas est envisagée dès novembre 1939 sous le nom d’hypothèse Hollande et à partir de mars 1940, l’hypothèse Bréda, plus ambitieuse, y étend l'hypothèse Dyle. Gouvernement Paul Reynaud. Gouvernement Paul Reynaud. Gouvernement Philippe Pétain.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gouvernement Philippe Pétain Formation du gouvernement[modifier | modifier le code] Pétain sollicite Marquet pour l'Intérieur et Laval à la Justice. Ce dernier exige les Affaires étrangères et refuse le portefeuille qui lui est proposé. Conseillé par François Charles-Roux, alors secrétaire général des Affaires étrangères, soutenu par le général Weygand et le président de la République Albert Lebrun, Pétain ne cède pas, entraînant le retrait de Laval, suivi de celui de Marquet par solidarité.

Armistice du 22 juin 1940. Le 21 juin 1940, après avoir abattu un mur du musée abritant le wagon de l'Armistice depuis 1927, les soldats allemands extraient la voiture pour l'amener à son emplacement du 11 novembre 1918, en prévision du passage de Hitler. Bataille de France. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(décembre 2016). Gaston Billotte. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Billotte. Il est le père de Pierre Billotte (1906-1992), général et homme politique français. Charles Huntziger. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

André Georges Corap. André Georges Corap (Pont-Audemer, -Fontainebleau, ), est un officier général français.