background preloader

Jeanvervois

Facebook Twitter

Verbois

M29FR

PanoptICONS :: streets are watchin. Durand, Zemmour, Ruquier : la "liste noire" de Sarkozy à la télé. Le Président a aussi listé ses chouchous à Carolis, ex-PDG de France Télévisions : les Bogdanov, Barbelivien, Lumbroso et Sabatier. Nicolas Sarkozy le 25 janvier 2010, sur le plateau du 20 heures de TF1 (Gérard Cerles/Reuters). Le règne de Patrick de Carolis à France Télévisions étant terminé (depuis cinq jours), place à la chronique : selon le journaliste du Point Emmanuel Berretta, Nicolas Sarkozy avait dressé à l’ancien PDG une liste des gens qu’il ne pouvait vraiment plus voir dans la petite lucarne. Et, à l’inverse, de ses chouchous. L’information nous a été confirmée par des proches du dossier. Au mois de juin, Patrick de Carolis était candidat à sa propre succession quand il a rencontré le président de la République en tête à tête. Deux animateurs populaires, connus pour être pour le moins sceptiques vis-à-vis du Président, Laurent Ruquier et Patrick Sébastien, viennent en tête.

Sarkozy demande de déplacer l’émission de Schönberg « Il y a autre chose ? Guy Debord - Society of the Spectacle. Guy Debord (1931-1994) Back to Guy Debord on UbuWeb Film The Society of the Spectacle, Part 1, 1973 The Society of the Spectacle, Part 2, 1973 For a complete translation of the soundtrack of Spectacle by Ken Knabb click here Subtitles by Keith Sanborn La Société du Spectacle (Society of the Spectacle) is a black and white 1973 film by the Situationist Guy Debord based on his 1967 book of the same title.

The 88 minute film took a year to make and incorporates footage from feature films, industrial films, news footage, advertisements, and still photographs.[1] The films include The Battleship Potemkin, October, Chapaev, The New Babylon, The Shanghai Gesture, For Whom the Bell Tolls, Rio Grande, They Died with Their Boots On, Johnny Guitar, and Mr. Events such as the murder of Lee Harvey Oswald (who assassinated U.S. In 1984, Debord withdrew his films from circulation because of the negative press and the assassination of his friend and patron Gerard Lebovici.

UbuWeb Film | UbuWeb. Noam Chomsky - Noam vs. Michel Foucault (Eng. subs) Accord commercial anti-contrefaçon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir ACAC. États-partie à la convention (signé et ratifié) Pays signataires Pays membres de l'U.E. signataires avec l'Union Pays membres de l'U.E. non signataires malgré l'Union Pays associé d'une autre manière Voir le traité sur Wikisource L'accord commercial anti-contrefaçon (ACAC), plus connu sous l'acronyme ACTA (pour Anti-Counterfeiting Trade Agreement), est un traité international multilatéral sur le renforcement des droits de propriété intellectuelle, négocié de 2006 à 2010 par une quarantaine de pays.

L'accord définitif de l'ACTA[1] a été signé par huit pays : États-Unis, Australie, Canada, Corée du Sud, Japon, Maroc, Nouvelle-Zélande et Singapour le [2], rejoints le par 22 États membres de l'Union européenne dont la France, l'Italie, le Royaume-Uni, mais pas l'Allemagne[3]. Contrairement à ce qu'indique son nom, l'Accord commercial anti-contrefaçon n'est pas un accord commercial. Post-scriptum sur les sociétés de contrôle Gilles DELEUZE. Origine : Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, Gilles DELEUZE Historique Foucault a situé les sociétés disciplinaires aux XVIIIè et XIXè siècles ; elles atteignent à leur apogée au début du XXè.

Nous sommes dans une crise généralisée de tous les milieux d'enfermement, prison, hôpital, usine, école, famille. Logique Les différents internats ou milieux d'enfermement par lesquels l'individu passe sont des variables indépendantes : on est censé chaque fois recommencer à zéro, et le langage commun de tous ces milieux existe, mais est analogique. Il est facile de faire correspondre à chaque société des types de machines, non pas que les machines soient déterminantes, mais parce qu'elles expriment les formes sociales capables de leur donner naissance et de s'en servir. Programme Origine :

La vie n’est pas en lecture seule » Article » OWNI, Digital Journalism. La vie est un choix ou plutôt une somme de choix et pour choisir la liberté est un outil essentiel. Liberté de décider, de partager, d'échanger, bref liberté de vivre. Ce texte de 2006 reste plus que pertinent en 2010. Un fichier informatique est dit « en lecture seule » lorsque vous n’avez que le droit de l’exécuter et donc de le lire. Alors qu’un ficher disponible « en lecture/écriture » vous offre en plus la possibilité de le modifier. Vous n’en ferez peut-être rien mais cette liberté supplémentaire change la donne puisque vous n’êtes plus condamné à être passif. Si un jour il vous prend l’envie d’ajouter du code à un logiciel libre ou de compléter un article de Wikipédia, vous pouvez le faire. Par extrapolation, nous ne voulons pas d’une vie qui nous serait proposée par d’autres uniquement en lecture seule.

Techniquement parlant, tout est en place pour que cela ait bien lieu et les nouvelles pratiques de la jeune génération témoignent tous les jours de cette aspiration[1]. Musique Films. La symphonie de l’open source » Article » OWNI, Digital Journalism. Alors que les grandes oeuvres symphoniques sont tombées dans le domaine public, leurs arrangements et enregistrements disponibles dans le commerce sont toujours régentés par le copyright. Musopen ouvre une brèche pour libérer ces trésors culturels. Que les amoureux de la musique prennent note : la bibliothèque de musique classique libre de droits Musopen a besoin de vous pour libérer bon nombre de symphonies emprisonnées par le copyright. Musopen cherche à résoudre un problème bien difficile : alors que les symphonies écrites par Beethoven, Brahms, Sibelius ou encore Tchaïkovsky sont tombées dans le domaine public, de nombreux enregistrements et arrangements des ces oeuvres restent sous le coup du copyright.

Crowdfunding symphonique Pour en finir avec cette injustice, Musopen demande donc à sa communauté de se rassembler pour pouvoir embaucher un orchestre de niveau international afin d’enregistrer de superbes interprétations de ces symphonies. Que le partage se fasse ! Pourquoi vous devriez payer pour la musique » Article » OWNI, Digital Journalism. John Sheldrick, ingénieur du son et compositeur, nous livre dans ce billet une analyse qui prône le retour au bon vieux CD pour permettre aux artistes de vivre de leur musique. Une question morale, selon lui. Jon Sheldrick est un ingénieur son faisant parti de l’équipe de MuseAmi, mais aussi le chanteur du groupe Fatty Acid. Vous pouvez écouter sa musique et la télécharger sur fattyacid.bandcamp.com.

Mettons les choses au clair : j’aime la musique libre. Si un musicien décide de distribuer librement un album, je suis le premier à le télécharger. Je suis contre les poursuites de la RIAA (SACEM américaine) qui attaque les gens qui partagent de la musique. Plutôt que de faire peur aux gens pour qu’ils achètent de la musique, je plaide pour une culture dans laquelle les gens veulent dépenser de l’argent pour la musique, parce qu’ils comprennent les répercussions positives qu’il a sur la production musicale, et sur la vie des artistes qui la créent.

Payer pour la musique: un bénéfice. Comment pirater un vinyl ? » Article » OWNI, Digital Journalism. Distinguez-vous de vos petits camarades, piratez les bonnes vieilles galettes. C'est aussi simple que le peer-to-peer et tellement plus hype. Pirater ses MP3 c’est has been, épatez plutôt vos amis avec vos vinyls homemade ! On commence : Il vous faudra tout d’abord fabriquer une boite étanche avec pour base une plaque de verre. Placez votre vinyl au centre, en orientant la partie à copier vers le haut, puis remplissez le rond central de produit à joint. Mixez le silicone 3 minutes avant de le verser dans le moule (il est préconisé d’utiliser du Smooth On OOMOO 30 ou 25, ça doit se trouver en France ou bien il doit y avoir des produits équivalents) Il faut bien verser la mixture depuis un coin et la laisser se déverser dans le moule jusqu’à environs un demi-centimètre d’épaisseur. Retirez le silicone.

Versez le plastique liquide (ici du Smooth On Task #4) dans le moule en silicone. Éclatez les petites bulles qui apparaissent. You did it ! Image CC Flickr pablokdc. Comment prendre l’IP de quelqu’un? » Article » OWNI, Digital Journalism. Contrairement à ce qui a été dit pendant le débat sur l'Hadopi, c'est pas si facile que ça d'utiliser l'adresse IP d'un autre ordinateur.

Petites explications sur comment fonctionnent les réseaux. On entend beaucoup de bêtises, y compris dans l’hémicycle, ces temps-ci, à propos des adresses IP qui seraient de petites choses très faciles à usurper. Où est le vrai, où est le faux ? Peut-on utiliser l’IP de quelqu’un d’autre? La réponse est oui, mais pas sans conditions et certainement pas à l’aide d’un sabre et d’un perroquet. Il existe trois grande familles de protocoles servant à faire voyager des données sur Internet (il y en a en réalité beaucoup plus, mais ces trois la représentent la majorité des applications) Un ordinateur peut envoyer sur le réseau un paquet avec n’importe quelle adresse IP comme source (de la même façon que n’importe qui peut envoyer un email venant de nicolas.sarkozy@elysee.fr).

Ce qu’on peut faire Billet initialement publié sur Turb(l)o(g)