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Généralités

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Favoriser la réussite des élèves. Pourquoi et pour qui ? Par Pierre Nobis * Les cartes heuristiques ont fait leur apparition dans les programmes officiels, notamment au sein de l'enseignement d'exploration intitulé « Création et innovation technologiques », ainsi que des enseignements technologiques dans la filière STI2D (sciences et technologies de l'industrie et du développement durable).

Pourquoi et pour qui ?

Site dédié. Créer et utiliser. Cartes heuristiques : un engouement croissant Les cartes heuristiques, cartes mentales ou mind maps font aujourd'hui l'objet de nombre de publications et formations.

Créer et utiliser

Leurs utilisations se répandent tant dans le domaine de la pédagogie que dans le monde de l'entreprise. Ces méthodes graphiques de représentation, formalisées au début des années 1970 par le psychologue anglais Tony Buzan sont rendues aujourd'hui faciles d'utilisation. De nombreux outils informatiques adaptés, dont certains gratuits, sont à votre disposition. La mise en œuvre courante des cartes heuristiques dans les écoles finlandaises, tant vantées aujourd'hui, contribue également à cette popularité. Des utilisations variées Réalisées rapidement avec un outil informatique adapté, les cartes heuristiques peuvent rendre de multiples services : Au service de la pédagogie. Cartes mentales dans l'enseignement. De nombreux usages du mindmapping en éducation sont relayés via les divers services de réseautage numériques et autres plateformes en ligne (blogs professionnels, outils de curation comme Scoop.it, sites associatifs).

Cartes mentales dans l'enseignement

Ces différentes expérimentations font régulièrement l'objet de synthèses sur le web permettant de signaler et de regrouper les divers témoignages et réflexions. Usages dans le secondaire. Quels outils pour un usage pédagogique ? Dans le cadre du GIPTIC documentation de Paris (Groupe d’Intégration Pédagogique des Technologies de l’Information et de la Communication), je propose une animation sur les cartes cognitives. C’est donc l’occasion de publier un article sur le sujet, ainsi que le support de formation. cartes cognitives ? Pour collaborer. ATTENTION: cette page est visible uniquement depuis l'intranet de la Fédération Wallonie Bruxelles.

Pour collaborer

Introduction Elle porte des noms différents : carte heuristique (du grec ancien eurisko, « je trouve »), carte mentale, carte conceptuelle, mind map en anglais ou carte des idées, schéma de pensée, arbre à idées ou encore topogramme. Elle permet de structurer la pensée et présente une plus-value pédagogique intéressante. La carte heuristique se décline de 1001 manières, en voici des exemples : Définition Il s’agit d’un schéma, d’un diagramme qui représente des liens entre différentes idées ou des liens hiérarchiques entre différents concepts, également représentée par une arborescence de données. L'intérêt pédagogique La carte heuristique : un outil pédagogique ! Définition. Eduscol - Lettres. Cadre épistémologique.

Il participe de l’acte d’enseigner que de pouvoir échanger avec ses élèves de sorte qu’au-delà d’une remarque fortuite germe une idée qui donnera corps à un travail à venir.

Cadre épistémologique

Ce sentiment est d’ailleurs amplifié quand, petite espièglerie d’élève, l’objectif inavoué de cette observation tient en la diminution de la tâche à accomplir. Ce fut le cas en juin dernier lorsqu’en conclusion de la séquence « Publier sur le Web », un élève de seconde émit l’idée d’une carte heuristique en lieu et place de la production écrite initialement envisagée. Et il faut bien reconnaître que cette idée méritait d’être considérée. Il m’est spontanément venu à l’esprit l’hypothèse d’une comparaison entre les potentialités d’une carte heuristique et d’un schéma conceptuel. Je me suis donc penché sur les exemples (il en existe d’autres) de « Mindomo », évoqué par cet élève, et « CmapTools », que j’avais utilisé par ailleurs. Where is my mind? Dimension intellectuelle. Après avoir posé le cadre épistémologique, je poursuis cette série d’articles, envisagée pour deux, mais qui devrait finalement en comporter quatre… ou cinq, afin d’examiner avec méthode des pistes de séquences.

Dimension intellectuelle

Le Dictionnaire des concepts info-documentaires est en cela intéressant qu’il fait apparaître, au-delà d’une approche épistémologique et didactique des différents concepts, les liens qui les unissent, de sorte que ces ramifications sont autant d’opportunités pour y piocher des contenus et élaborer un scénario pédagogique. Je me concentrerai donc ici sur la dimension intellectuelle du document avant de consacrer deux nouvelles publications à une approche matérielle puis structurelle de celui-ci.

Dimension matérielle. Troisième article consacré à la notion de « document » abordé sous l’angle du mind mapping, je vais ici m’employer, après la dimension intellectuelle, à proposer quelques pistes de séances pédagogiques sur la dimension matérielle du document.

Dimension matérielle

Cette dimension porte en elle la notion de « support » dont le lien avec les cartes et schémas conceptuels ne semble pas, a priori, particulièrement fécond tant il y a une forme d’ « indépendance matérielle » que l’on réalise ces cartes sur un support imprimé ou numérique. Pourtant… Pourtant il serait intéressant de faire travailler très tôt les élèves sur les caractéristiques techniques des différents supports, que l’on se place, du point de vue du document, dans le champ de la conservation (papier, disque dur,…), de la communication (imprimé, numérique,…) et de la transmission (postale, filaire,…). Ce serait là leur donner les moyens de se repérer dans des environnements souvent flous, ce qui est bien compréhensible.