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VOCABULAIRE PSYCHO

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Microsoft PowerPoint - V3-Diaporama_Université_rentrée_CFPB_2008.ppt - 16h00-carre.pdf. Mooc ITYPA. Une auto-efficacité très élevée. L’auto-efficacité à apprendre en contexte numérique a été mesurée parmi quelques participants du mooc ITyPA. Les scores sont élevés, comparés à ceux d’une population témoin. Serait-ce l’indice des effets vertueux du mooc ? Les ressources personnelles des apprenants pour la formation tout au long de la vie Lors de mon intervention sur la formation tout au long de la vie le 28 novembre, j’avais évoqué la nécessité de disposer d’une auto-efficacité à apprendre en contexte numérique qui soit suffisamment de bon niveau pour s’orienter et persister dans ses apprentissages. D’autres ressources cognitives peuvent être sollicitées : la motivation épistémique (au-delà de la simple curiosité et de l’attrait de la nouveauté) et l’autorégulation qui produit des effets de persistance et de résilience (François & Aïssani, 2003; Laveault & Leblanc, 1999; Martinez Pons, 2002; Zimmerman, 2000, 2002).

L’auto-efficacité, variable clé de l’agentivité Mesurer l’auto-efficacité Résultats Bibliographie François, P. Leadership féminin et action politique: Le cas des communautés africaines du ... - Benoît Awasi Mbambi Kungua. Traité de psychologie de la motivation - Théories et pratiques: Théories et ... - Philippe Carré, Fabien Fenouillet. Résilience en santé mentale et groupes d'entraide - Agnès Bousser. S'orienter dans la vie : une valeur suprême ?: Essai d'anthropologie de la ... - Francis Danvers.

Article - Résonance et agentivité. Nous sommes liés les uns aux autres par résonance et par empathie : par résonance, nous reflétons automatiquement les attitudes et les mimiques des autres, tandis que par empathie nous ressentons ce qu'ils éprouvent, ce qui nous permet de leur venir en aide. En revanche, l'agentivité nous garantit que nous sommes les maîtres de nos actes, ce qui évite toute confusion entre soi et autrui. Jacqueline Nadel et Jean Decety La contagion des émotions par résonance fait que si l’on voit quelqu’un pleurer, on est triste. Pourtant, des mécanismes d’inhibition font que l’on ne pleure pas. En revanche, au cinéma, dans l’obscurité, on perd conscience de la réalité, les mécanismes inhibiteurs sont affaiblis, et l’on pleure plus facilement. © Graham French / Masterfile Jacqueline Nadel est directeur de recherche dans le Laboratoire vulnérabilité, adaptation et psychopathologie, CNRS UMR 7593, à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

En résonance dès la naissance. CHAPITRE 1 PROBLÉMATIQUE. Il semble, selon certaines recherches, que plus le soutien à l’autonomie de la part du professeur est présent, plus un individu aura tendance à se sentir motivé de manière autodéterminée (intrinsèquement et par régulation identifiée) au plan scolaire (Deci, Nezlek & Sheinman, 1981; Deci & Ryan, 1987; Fortier & al., 1995; Grolnik, Ryan & Deci, 1991). Par contre, des enfants ayant des professeurs contrôlants tendent à avoir une diminution de leur motivation autodéterminée (intrinsèque et régulation identifiée; Deci, Schwartz, Sheinman & Ryan, 1981).

Des études démontrent également que le soutien à l’autonomie offert par les parents a des effets bénéfiques sur la motivation intrinsèque et sur la motivation autodéterminée des enfants. En plus, certaines des observations obtenues dans une étude (Grolnik, Ryan & Deci, 1991) expliquent que le soutien à l’autonomie offert par les parents et le niveau d’implication de ces derniers étaient associés aux perceptions d’autonomie de l’enfant. L'apprentissage vicariant. L'apprentissage vicariant. 1. L'apprentissage vicariant pourrait correspondre, dans le contexte scolaire, à ce que l'enfant peut apprendre en marge du discours du maître proprement dit : en regardant faire et en écoutant ceux qui savent faire ou encore, par extension, en analysant la production de ceux qui savent faire.

Bien que la réalité de ce processus particulier ne soit niée par personne, celui-ci est cependant mal connu et généralement considéré comme marginal. Mais son rôle dans la problématique de l'échec scolaire pourrait avoir été indûment sous-estimé. 2. C'est à un ancien instituteur, devenu professeur d'université, que revient le mérite d'avoir signalé l'importance potentielle du phénomène. 3. 4. 5. 6. 7. A) La nécessité de l'évaluation dite "institutionnelle", que l'on rencontre par exemple dans la tenue régulière des livrets individuels de suivi, ne saurait échapper à personne. 8. 9. 10. 11. Énaction. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion d'énaction est une façon de concevoir l'esprit qui met l'accent sur la manière dont les organismes et esprits humains s'organisent eux-mêmes en interaction avec l'environnement.

L'énaction selon Francisco Varela[modifier | modifier le code] Dans The Tree of Knowledge: The Biological Roots of Human Understanding, Francisco Varela et Humberto Maturana utilisent ce terme face « au problème de comprendre comment notre existence -- la pratique de notre vie -- est couplée à un monde environnant qui apparaît empli de régularités qui à chaque instant sont le résultat de notre histoire biologique et sociale.... trouver une voie moyenne : pour comprendre la régularité du monde vécu dont nous faisons l'expérience à chaque instant, mais sans autre point de référence que nous-mêmes qui donnerait une certitude à nos descriptions et affirmations.

. — Francisco Varela et Humberto Maturana, Tree of Knowledge, p. 241 (traduction personnelle) Motivation et théorie de l'autodétermination | motivation. La théorie de l’autodétermination Selon la théorie de l’autodétermination (Deci et Ryan, 1985), trois besoins psychologiques sont à la base de la motivation humaine : le besoin d’autonomie, le besoin de compétence et le besoin d’appartenance sociale. Lorsque la satisfaction de ces trois besoins est présente, elle devrait mener, généralement, à une sensation de bien-être chez l’individu. Vallerand et Loisier (1999) ont proposé une représentation schématique du continuum de Styles Motivationnels. Continuum d’autodétermination et les différents types de motivation (Vallerand et Losier, 1999). Il apparaît cependant selon ces mêmes auteurs que le besoin d’autonomie serait le plus important dans l’explication des comportements. Par exemple, un jeune nageur sera assidu aux entraînements pour le plaisir qu’il ressent dans la sensation de glisse apportée par l’eau et plus il s’entraînera plus cette sensation augmentera.

Motivation intrinsèque et extrinsèque - Deci. Théorie de la motivation intrinsèque et extrinsèque Cette théorie, initialement présentée par Richard Deci en 1975 et enrichie par Deci et Ryan (1985, 2002), présente l’originalité par rapport aux précédentes théories, de distinguer deux types de motivation suivant qu’elle est "imposée" ou non La motivation intrinsèque : l’action est conduite uniquement par l’intérêt et le plaisir que l’individu trouve à l’action, sans attente de récompense externe. La motivation extrinsèque : l’action est provoquée par une circonstance extérieure à l’individu (punition, récompense, pression sociale, obtention de l’approbation d’une personne tièrce...). Ces deux types de motivations sont complétés par un troisième état : l’amotivation L’amotivation : l’individu a le sentiment d’être soumis à des facteurs hors de tout contrôle.

L’amotivation se distingue de la motivation extrinsèque par l’absence de motivation liée au sentiment de ne plus être capable de prévoir les conséquences de ses actions. Conséquences. La théorie des besoins psychologiques de base : clarifier les sources du climat motivationnel (Deci & Ryan, 2002, 2008. Selon Laguardia et Ryan (2000, p. 284), « la théorie de l’autodétermination adopte le concept de l’eudémonie ou de la réalisation de soi comme critère d’existence de bien-être mais, de plus, elle définit explicitement ce qu’il faut entendre par la réalisation de soi et par quels processus elle est atteinte ».

En effet, la TAD soutient que les humains ont des besoins psychologiques fondamentaux et que la satisfaction de ces besoins psychologiques fondamentaux est essentielle à leur croissance, à leur intégrité et à leur bien-être. Ainsi, quand ces besoins sont satisfaits, l’organisme connaît la vitalité (Ryan & Frederick, 1997, cités par Laguardia & Ryan, 2000), la congruence interne (Sheldon & Elliot, 1999, cités par Laguardia & Ryan, 2000) et l’intégration psychologique (Deci & Ryan, 1991) : comme ces besoins fournissent une grande partie du sens et des intentions sous-jacents à l’activité humaine, leur satisfaction est ainsi vue comme un but « naturel » de la vie (Deci & Ryan, 2000). La théorie des besoins psychologiques de base : clarifier les sources du climat motivationnel (Deci & Ryan, 2002, 2008. Théorie de l'auto-détermination. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de l'auto-détermination (on conserve l'acronyme anglais SDT) est une macro-théorie de la motivation humaine et de la personnalité, qui concerne les tendances inhérentes au développement et les besoins psychologiques innés des êtres humains.

Elle traite de la motivation agissant derrière les choix que les êtres humains font sans aucune influence ou interférence externe. La SDT définit le degré d'auto-motivation et d'auto-détermination d'un comportement[1]. Plusieurs études importantes conduisirent à l'émergence de la SDT, en particulier les recherches sur la motivation intrinsèque[2] à l'origine de la poursuite par un individu d'une activité parce qu'elle lui procure une satisfaction en elle-même, au contraire de la motivation extrinsèque, où l'activité est poursuivie en vue d'atteindre un but externe à celle-ci. Références[modifier | modifier le code] ↑ Deci, E., & Ryan, R. Articles connexes[modifier | modifier le code] Les 101 théories de la motivation. En 1971, Deci montrait que la persistance des individus, durant une période de libre choix, est moins importante pour les sujets récompensés que pour ceux qui ne le sont pas.

Ce résultat, contre-intuitif pour l’époque, montrait pour la première fois chez l’homme de façon expérimentale que la récompense n’est pas un facteur motivant dans tous les cas de figures. Depuis les années 70, Deci (1975, 1980) et Ryan (Deci & Ryan, 1985, 2000, 2002) ont proposé différentes formulations et reformulations théoriques qui ont permis de conceptualiser ce résultat et donne lieu à une volumineuse littérature afférente produite aux cours des trois dernières décennies.

La dernière formulation en date (Deci & Ryan, 2002) repose, selon les propos des auteurs, sur ce qu’ils appellent des « mini-théories » : la théorie de l’évaluation cognitive, la théorie de l’intégration organismique, la théorie de l’orientation causale et celle des besoins de bases. CHAPITRE 1 PROBLÉMATIQUE. Les 3 piliers de la motivation intrinsèque. Avez-vous parfois l’impression que vos supérieurs vous manipulent au bâton et à la carotte, c’est-à-dire à coup de punitions et de récompenses ? Si l’époque de la révolution industrielle dénoncée par le film “Les temps moderne” est bel est bien derrière nous, certaines méthodes modernes de management laissent pourtant à désirer. C’est peut-être même de pire en pire si l’on en croit l’actualité des affaires liées à la souffrance au travail. Et la pression sur les employés ne semble pas prête à se relâcher vu les défis récurrents auxquels est soumise notre économie aux prises avec la mondialisation. Depuis Maslow, le père de la psychologie humaniste, nous avons pourtant appris que le plaisir au travail est une condition essentielle pour motiver le travailleur intellectuel.

C’est le concept de motivation intrinsèque. Dans cet article, je vous propose d’explorer ensemble trois besoins nécessaires à la motivation intrinsèque pour enfin apprécier vos journées de travail au lieu de les subir… 1. “Approche normative de la motivation intrinsèque dans une situation intergroupe d'asymétrie de statut hiérarchique” Les définitions de la motivation et les modèles théoriques relatifs à son développement sont extrêmement nombreux. Ils ont fait l’objet de plusieurs articles de synthèse (voir Kleinginna et Kleinginna, 1981 pour les définitions et Ambrose et Kulik, 1999 pour les modèles). On peut considérer que la motivation constitue la force interne ou externe qui déclenche le comportement, l’oriente, lui donne son intensité et enfin amène sa persistance dans le temps (Vallerand et Thill, 1993).

La distinction entre une motivation intrinsèque et extrinsèque est au cœur de la théorie de l’autodétermination de Deci et Ryan (1985) ou Ryan et Deci (2000) et était déjà contenue dans les recherches anciennes de Herzberg. On parlera de motivation intrinsèque quand une activité est réalisée pour le plaisir qu’elle procure et de motivation extrinsèque quand une activité est réalisée pour des raisons instrumentales (obtention de récompenses ou évitement d’une punition). 2.1 - Vue d’ensemble 2.2 - Population. Inférence. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'inférence désigne les actions de mise en relation d'un ensemble de propositions, aboutissant à une démonstration de vérité, de fausseté ou de probabilité, sous la forme d'une proposition appelée conclusion[1]. Dans sa définition classique, l'inférence est une opération logique portant sur des propositions tenues pour vraies (les prémisses) et concluant à la vérité d'une nouvelle proposition en vertu de sa liaison avec les premières.

C'est pourquoi l'inférence est souvent réduite à la déduction nécessaire dans laquelle la vérité des prémisses assure totalement la vérité de la conclusion. Exemples[modifier | modifier le code] L'inférence implique le recours à l'interprétation, peu importe qu'il y ait une suggestion. . « Imaginez, vous vivez en famille dans une maison. En pensant à la scène, en vous imaginant en situation, il est peu probable que vous ne fassiez pas d'inférence. En pragmatique linguistique[modifier | modifier le code] Abduction. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : abduction, sur le Wiktionnaire. Béhaviorisme.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le béhaviorisme ou comportementalisme est une approche psychologique qui consiste à se concentrer sur le comportement observable[1] déterminé par l'environnement et l'histoire des interactions de l'individu avec son milieu[2]. Par exemple, l'apprentissage y est décrit comme une modification du comportement observable, due à la modification de la force avec laquelle une réponse est associée à des stimuli extérieurs (environnement externe) ou à des stimuli intérieurs (environnement interne) sur l'organisme. Étymologie[modifier | modifier le code] « Béhaviorisme » provient du mot anglais « behavior » (orthographe américaine) qui signifie « comportement ». Histoire du béhaviorisme[modifier | modifier le code] En effet, dans les années 1940 et 1950, Burrhus F. L'expérience de Skinner[modifier | modifier le code] Renforcement positif : Stimulus « Le rat est dans la cage » Réponse (comportement) « Le rat appuie sur le levier » Renforcement négatif : Exemple.

Implicite définition. Entendement. Folksonomie. SOLIPSISTE : Définition de SOLIPSISTE. Sémiotique.