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Psychologie cognitive

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Le test de Stroop - théorie et passation. L'effet Stroop L'effet Stroop fut rapporté par John Ridley Stroop lors d'une publication parue dans le "Journal of Experimental Psychology" en 1935. Cet auteur présenta visuellement des mots de couleurs, écrits en encre de différentes couleurs, à ces sujets. Il remarqua alors l'effet qui portera son nom : dénommer la couleur avec laquelle est écrit un mot quelconque, est plus ou moins facile que de dénommer la couleur d'un mot de couleur (par exemple, la couleur avec laquelle est écrit le mot "JAUNE").

De fait lorsque le mot correspond à sa couleur (le mot "VERT" écrit en encre verte), on observe un effet facilitateur : les couleurs sont plus vite dénommées que si le mot est quelconque. A l'inverse, si couleur et mot ne se correspondent pas, on observe un effet d'interférence : dénommer la couleur du mot "ROUGE" lorsqu'il est écrit en vert est plus difficile que de nommer la couleur d'une autre mot, quelconque, qui serait également écrit en vert.

En quoi nous aide-t-il? Robert Sternberg. Robert Sternberg (born December 8, 1949) is an American psychologist and psychometrician. He is Professor of Human Development at Cornell University.[1] Prior to joining Cornell, Sternberg was president of the University of Wyoming.[2] He has been Provost and Professor at Oklahoma State University, Dean of Arts and Sciences at Tufts University, IBM Professor of Psychology and Education at Yale University. He is a member of the editorial boards of numerous journals, including American Psychologist.

He was the past President for the American Psychological Association. Sternberg has a BA from Yale University and a PhD from Stanford University, under advisor Gordon Bower. Among his major contributions to psychology are the Triarchic theory of intelligence, several influential theories related to creativity, wisdom, thinking styles, love and hate, and is the author of over 1500 articles, book chapters, and books. Early life[edit] Academic career[edit] University of Wyoming presidency[edit] "L'homme dont le monde volait en éclats" d'Alexandre Luria du 21 novembre 2012 - France Inter. Stratégies pour soutenir le développement de la mémoire de travail. Ajouter aux FavorisJeffrey MacCormack et Ian Matheson Bien que nous sachions depuis longtemps qu’il existe une relation entre la mémoire de travail et les troubles d’apprentissage (TA), nous n’arrivons pas encore à cerner précisément en quoi cette relation consiste.

Grâce à la mémoire de travail, nous pouvons conserver temporairement de l’information pendant que notre cerveau est occupé à une autre tâche. Nous utilisons notre mémoire de travail pour apprendre une langue, résoudre des problèmes et exécuter d’innombrables autres tâches. La capacité de notre mémoire de travail est limitée, et si nous dispersons notre attention ou surchargeons le système mnémonique, nous pouvons perdre une partie de l’information emmagasinée. Qu’est-ce que la mémoire de travail? La mémoire de travail est similaire à ce que l’on appelle la mémoire à court terme, mais elle en diffère par des aspects importants.

Boucle phonologique. Calepin visuospatial. Tampon épisodique. Administrateur central. Bibliographie. 5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation. Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1.

Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. Source : J. PhotoWings Interview: Stanford Cognitive Scientist Stephen Kosslyn - Mental imagery and perception. Mémoire à court terme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Introduction et historique[modifier | modifier le code] Le concept de mémoire à court terme est assez ancien en psychologie scientifique. William James dans ses Principles of psychology (1890) distingue déjà ce qu'il appelle la mémoire primaire de la mémoire secondaire. Cette mémoire primaire serait capable de retenir un petit nombre d'informations, immédiatement présentes à l'esprit, alors que la mémoire secondaire contient un nombre pratiquement illimité de connaissances qui nécessitent cependant un effort pour être rappelées.

À la même époque cette distinction se retrouve aussi dans les travaux de l'Allemand Hermann Ebbinghaus, souvent considéré comme le fondateur de l'étude expérimentale de la mémoire ou de l'Anglais Francis Galton qui considère lui aussi qu'il existe une sorte de mémoire à court terme, liée à l'expérience consciente de l'activité mentale : Effet de récence[modifier | modifier le code] Le fameux article de George A.

A. Mémoire de travail. La mémoire de travail est un modèle du fonctionnement de la mémoire à court terme, mais la mémoire à court terme est exposée, communément, comme permettant un maintien temporaire de l'information, tandis que la mémoire de travail est exposée comme permettant, à la fois un maintien temporaire, mais aussi la manipulation de l'information maintenue. Les réseaux intervenant dans la mémoire de travail, s'exécutant sur une information finalisée, sont ainsi plutôt frontaux. D'ailleurs, en termes de fonctions exécutives, habituellement attribuées aux lobes frontaux, la mémoire de travail correspond à l'inhibition, à la mise à jour [archive] et à la flexibilité [archive] (Miyake, 2000)[1].

Impactant les lobes frontaux, à titre indicatif, il pourra être cité, la maladie d'Alzheimer, l'alcoolisme, le vieillissement normal, la démence fronto-temporale. Modèle de Baddeley[modifier | modifier le code] Les trois composants du modèle de Baddeley et Hitch sont : Codage visuel[modifier | modifier le code] Mémoire à long terme. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(avril 2017). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. La mémoire à long terme : mémoire explicite et implicite. La notion de MLT est un concept utilisé dans les modèles de mémoire qui distinguent plusieurs sous-systèmes en fonction du type d'information mémorisé et de la durée de rétention. La mémoire à long terme s'oppose ainsi au registre sensoriel (ou mémoire sensorielle), à la mémoire à court terme et à la mémoire de travail.

Les contenus de la mémoire à long terme sont décrits selon leur nature comme épisodique ou sémantique. Types de mémoire à long terme[modifier | modifier le code] Il existe trois types de mémoire à long terme qui se distinguent par leur contenu. Mémoire épisodique[modifier | modifier le code] Stockage[modifier | modifier le code]