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Ce qu'en dit la presse

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France Info - Monde. Affaire Karachi : la blogosphère s'énerve. L'homme de l'ombre de Karachi. Du même auteur L'affaire de l'attentat de Karachi du 8 mai 2002, au cours duquel 14 personnes dont 11 salariés de DCN ont été tués, a resurgi dans l'actualité. Selon l'avocat des familles des victimes, la cause de cet attentat n'est pas à rechercher du côté d'Al Qaida, mais plutôt dans le non-versement par la France de commissions à certains Pakistanais. Une opération du Service Action de la DGSE contre des militaires pakistanais est également évoquée. « Ubuesque ! » estime-t-on dans les milieux du renseignement sur ce dernier scénario. Nous pouvons en revanche apporter quelques précisions sur l'homme qui est à l'origine de cette hypothèse, reprise dans le dossier judiciaire. Attentat de Karachi : les "curieux" oublis de la justice, Proche. Karachi : Balladur rejette un financement politique, Proche Moye.

Le gouvernement français s'engage à ce que la lumière soit faite. Attentat de Karachi - Une poudrière française - Olivier Toscer - Notre service abonnement est à votre disposition du lundi au vendredi pour répondre à toutes vos questions et vous guider dans vos choix. 1. Quand vais-je recevoir mon premier numéro du Nouvel Observateur ? Une fois votre commande validée sur notre Espace Abonnement, vous recevrez votre premier numéro du nouvel Observateur sous une quinzaine de jours maximum.S'il s'agit d'un abonnement en numérique, vous pouvez consulter votre premier numéro dès l'achat, sur votre Espace abonné. 2.

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Attentat de Karachi : Millon admet avoir bloqué des commissions. Imprimez un élément. L'ancienne juge d'instruction explique comment la suppression du juge d'instruction et l'extension du secret-défense, deux textes défendus par le gouvernement, pourraient entraver toute enquête dans cette affaire. Une bombe explosait à Karachi, le 8 mai 2002, tuant quatorze personnes, dont onze Français. Toutes travaillaient, pour la direction des constructions navales, à l'exécution d'un contrat de près d'un milliard de dollars signé en 1994 avec la France pour la fourniture au Pakistan de trois sous-marins.

Dès l'origine, les autorités françaises ont suspecté Al-Qaida d'être responsable de cet acte de terrorisme. Or, les juges d'instruction auraient émis récemment, devant les familles des victimes, une autre hypothèse : cet attentat aurait été un avertissement sanglant de certains éléments de l'armée pakistanaise, après l'interruption du versement de commissions à des intermédiaires. Nous nous garderons bien de prétendre démêler le vrai du faux dans cette affaire. Attentat de Karachi : la France en eaux troubles. Cherbourg : une petite ville accrochée aux prestigieux arsenaux de la marine française. Cet après-midi, le tribunal de grande instance y accueillera des dizaines de familles d’anciens salariés de la Direction des constructions navales (DCN). Sept ans après l’attentat de Karachi, deux magistrats parisiens du pôle antiterroriste, Marc Trévidic et Yves Jannier, rencontrent les parties civiles pour les informer de leurs investigations dans cette affaire d’Etat.

Le 8 mai 2002, un attentat détruisait à Karachi un autobus transportant leur mari ou leur fils, tous des personnels de la DCN. Onze ont été tués. Présidentielle.Tous collaboraient à la construction de sous-marins Agosta 90 B, vendus en 1994 par la France. Actes annulés.Autant de réalités qui promettent des débats à Cherbourg. Guillaume DASQUIE. Révélations sur l’attentat de Karachi. Dès le début de l’affaire, les cadres de la DCN (Direction des constructions navales) se montrent convaincus que l’attentat du 8 mai 2002 contre son personnel à Karachi résulte directement de ses engagements contractuels dans ce pays. C’est-à-dire un contrat signé le 21 septembre 1994 pour livrer et fabriquer trois sous-marins au Pakistan. Enjeu : 950 millions de dollars. C’est l’une des nombreuses révélations du dossier d’instruction dont Libération a pu prendre connaissance, et qui éclairent l’hypothèse d’un attentat lié à des différends autour de commissions versées en marge de la vente des sous-marins.

L’avertissement de la DCN Ainsi, le 2 septembre 2002, Philippe Japiot, patron de la branche internationale du groupe, écrit au juge Jean-Louis Bruguière pour que sa société se constitue partie civile. Mieux, pour que le magistrat instructeur suive ce raisonnement, Philippe Japiot lui transmet un exemplaire - certes tronqué - du fameux contrat du 21 septembre 1994. L’enquête relancée. Attentat de Karachi: les révélations de Millon - Faits divers - L'ancien ministre de la Défense Charles Millon, interrogé sur le versement de commissions destinées à des intermédiaires pour la vente de trois sous-marins de la DCN au Pakistan, a reconnu avoir bloqué «le versement des commissions pouvant donner lieu à des rétrocommissions». Dans un entretien publié mercredi sur le site internet de Paris Match, Charles Millon explique : «Peu après ma nomination au ministère de la Défense, en 1995, Jacques Chirac m'a demandé de passer en revue les différents contrats de ventes d'armes en cours et de stopper le versement des commissions pouvant donner lieu à des rétrocommissions.

C'est ce qui a été effectué : chacun d'entre eux a fait l'objet d'une expertise particulière». «C'était le sentiment du président Chirac, avec lequel j'étais en parfaite adéquation » «Dans tous les pays du monde, les grands contrats industriels ou commerciaux à l'exportation font appel à des intermédiaires.