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L'eau

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VIDEO. 2,1 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable à domicile. Cet article date de plus de cinq ans. Publié le 22/10/2018 17:42 Mis à jour le 22/10/2018 17:43 Durée de la vidéo : 1 min Dans le monde, environ 2 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable à domicile. Une situation alarmante que dénonce Constance Jablonski, engagée pour la fondation One Drop. 30 % de la population mondiale n’a pas accès à l’eau potable à domicile dans le monde. En effet, quelques 263 millions de personnes vivent à plus de 30 minutes du premier point d’eau. Afin de réduire les inégalités au niveau mondial, les nouveaux objectifs de développement durable appellent à mettre un terme aux défécations à l’air libre et à garantir l’accès universel aux services élémentaires d’ici à 2030. Partager : l'article sur les réseaux sociaux L’actu à 18h30 Tous les soirs, recevez l'essentiel de l'actualité France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "L’actu à 18h30".

Eau rage, eau des espoirs ! #DATAGUEULE 67. Eau. Voici un petit tour du monde des solutions mises en place récemment avec l’aide de la Banque mondiale pour faire face aux enjeux de l’eau et réduire le stress hydrique : Au Liban, la hausse subite de la demande en eau, liée à l’arrivée de plus d’un million de réfugiés syriens, a été l’occasion d’innover, sur le plan des technologies et des idées, pour sécuriser l’alimentation de la ville de Beyrouth, avec notamment un suivi, une gestion de la consommation et un contrôle en temps réel des fuites.

La régie de l’eau pouvant désormais intervenir immédiatement, les volumes à fournir sont inférieurs à ceux observés lorsque l’alimentation était rationnée à environ 8 heures par jour. Aux Philippines (a), l’approvisionnement en eau potable faisait partie intégrante des projets d’aide, de réhabilitation et de développement déployés dans les zones en conflit sur l’île de Mindanao. « Avant l’arrivée de l’eau, chrétiens et musulmans vivaient à l’écart les uns des autres. Envoyé spécial. Au sultanat d'Oman, le tourisme accusé de causer des pénuries d'eau.

Pour que le sultanat d'Oman devienne la destination touristique numéro 1 du Moyen-Orient, les autorités misent tout sur le développement des hôtels de luxe, avec piscines et golfs gourmands en eau. Dans ce pays semi-aride, où l'eau de pluie s'évapore en quelques jours, ce choix ne fait pas que des heureux...

Extrait du magazine "Envoyé spécial". Un système d'irrigation millénaire Une institution unique au monde Pour éviter les conflits entre villageois, "l'or bleu" doit être distribué équitablement. Pour répartir cette ressource si rare et précieuse (en nombre de bols), les montagnards disposent de leur propre unité de mesure, et surtout d'une institution unique au monde : le tribunal de l'eau. Ses juges, les wakîl, sont chargés de régler les différends entre paysans. Des pénuries d'eau affectent les paysans...

Mais depuis quelques années, ce système raffiné ne suffit plus. ...pendant que les hôtels pompent l'eau des puits. Assechement du Colorado par Las Vegas. Au Zimbabwe, l'eau potable une denrée rare qui se vend en seau. Un nouveau barrage géant inauguré au Brésil - La Croix. À lui seul, le barrage de Jirau permettra d’alimenter 10 millions de foyers. Mais la construction de ces ouvrages gigantesques reste controversée sur le plan environnemental. Le barrage de Jirau au Brésil, l’un des plus grands du monde, a été inauguré le 15 décembre 2016. Avec ses 50 turbines et une capacité totale de 3 750 mégawatts, il devrait alimenter 10 millions de foyers en électricité. Il a nécessité 5,3 milliards de dollars (5 milliards d’euros) d’investissement et 90 mois de travaux. Le barrage est détenu à 40 % par Engie qui l’exploitera avec les autres partenaires du projet, des compagnies brésiliennes d’électricité et le japonais Mitsui. Un ouvrage gigantesque Le barrage est bâti sur le rio Madera, un des grands affluents de l’Amazone, dans l’Etat du Rondônia, à 250 kilomètres de la frontière bolivienne.

La construction du barrage a été mouvementée, avec plusieurs grèves menées pour améliorer les conditions de travail qui ont retardé les travaux. Un ouvrage critiqué par les ONG. A Flint, Michigan, la crise de l’eau n’en finit pas. Deux ans et demi après le début de la crise, rien n’est vraiment réglé. Le gouvernement fédéral n’a pas déclaré Flint comme zone sinistrée, car il ne s’agit pas d’une catastrophe naturelle.

Le Congrès de Washington, dominé par les républicains, refuse de voter les fonds d’urgence proposés par le président Barack Obama. Depuis la fin de 2015, Flint a une nouvelle maire, Karen Weaver, première femme noire à occuper ce poste. Elle n’est pas compromise dans le scandale de l’eau, mais ses pouvoirs sont limités. Lors de la campagne électorale de 2016, les candidats à la présidence sont tous venus ici. A ce jour, seul l’Etat du Michigan intervient, modestement : le remplacement des canalisations défectueuses a commencé, quelques centaines de maisons au début de décembre 2016, sur les 39 000 bâtiments que compte la ville.

Les habitants de Flint n’ont pas perdu pour autant leur sens de l’humour. La guerre de l'eau aura-t-elle lieu ? L’eau, domaine de coopération internationale ou vecteur de conflits? Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}.

Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |} Un barrage pharaonique sur le Nil Bleu - Edition du soir Ouest France - 02/09/2016. Un projet titanesque… Les dimensions de ce barrage situé dans le nord-ouest de l’Éthiopie, à une trentaine de kilomètres du Soudan, sur le Nil Bleu, un affluent du Nil, donnent le vertige : 1 800 mètres de long, 145 mètres de haut, un réservoir de 74 milliards de mètres cubes d’eau qui devrait mettre entre cinq et sept ans à se remplir… En amont, une vaste plaine cernée de collines contiendra les eaux.

Un lac devrait se former sur 246 km de long. Pour construire ce mastodonte, pas moins de 10 millions de mètres cubes de béton vont être nécessaires. Depuis 2011, jour et nuit, 9 000 ouvriers s’activent sur le chantier qui devrait prendre fin en 2017. Financé en majorité par le gouvernement et peuple éthiopiens, le coût de cet immense barrage est estimé à 4,7 milliards de dollars. Un seul investisseur étranger, la Chine, a fourni 1,8 milliard de dollars pour garantir l’achat des turbines et des systèmes électriques. …et controversé Le gigantesque barrage a d’abord effrayé ses voisins. Au Maroc, les batailles pour préserver l’or bleu. Traque des fuites d’eau, gestion des eaux usées… Le royaume fait face au danger du déficit hydrique LE MONDE | • Mis à jour le | Par Martine Valo (Oujda, Maroc) A Oujda, capitale de la province marocaine de l’Oriental, un homme se concentre, casque sur les oreilles, sur le son de la canalisation d’eau potable souterraine. Il fait partie des brigades des chasseurs de fuites qui arpentent la ville de 470 000 habitants, auscultant ses 1 500 km de réseaux.

Ici, sur 100 litres d’eau produite, 61 atteignent le robinet ; l’agglomération ambitionne de passer à 75. Un score honorable à l’échelle mondiale. Cette histoire de tuyaux peut sembler anecdotique, mais elle conditionne la préservation de la ressource en eau, une nécessité que rappelleront à nouveau les Nations unies, dimanche 22 mars, à l’occasion de la Journée mondiale de l’eau.

D’ici à 2030, le monde devra faire face à un déficit hydrique global de 40 % . « Extrême vulnérabilité » L’Oriental est particulièrement concerné. Pénuries d'eau en 2040 : Voici les pays qui seront les plus touchés. D’ici 25 ans, un pays sur cinq dans le monde devra faire face à de sévères pénuries d’eau, selon un think tank américain dans les questions environnementales. Le changement climatique déréglant la répartition des précipitations ainsi que l’augmentation de la population mondiale feront accroitre les tensions liées à l’eau. Un classement des pays qui seront en pénurie d’eau et en stress hydrique a été élaboré par l’organisation à but non lucratif World Ressources Institute (WRI), qui a également édité une carte. Des pénuries de plus en plus chroniques Le Moyen-Orient sera la région la plus touchée par les futures crises de l’eau : 14 des 33 pays qui sont nommés comme étant les plus exposés au monde se trouvent dans cette zone du globe. Le Bahreïn, le Koweït, la Palestine, le Qatar, les Émirats Arabes Unis, Israël, l’Arabie Saoudite, le Sultanat d’Oman, et le Liban sont ces pays en danger de pénurie d’eau alors que certains sont déjà très touchés.

Selon le rapport du WRI : La crise de l’eau illustrée en 5 graphiques. L’ONU appelle, à l’avant-veille de la journée mondiale sur l’eau, à économiser cette précieuse ressource. Sans quoi le monde devra faire face à un déficit hydrique de 40 % dès 2030. Le Monde.fr | 20.03.2015 à 05h01 • Mis à jour le 20.03.2015 à 14h39 | Par Martine Valo Y aura-t-il demain assez d’eau pour tous sur notre planète ? Théoriquement oui, mais il est urgent de changer « radicalement » la façon de l’utiliser et de la partager, prévient l’Organisation des Nations unies (ONU) dans son rapport annuel 2015 sur l’or bleu, qu’elle a rendu public vendredi 20 mars, à l’avant-veille de la journée mondiale de l’eau. Sinon, au rythme actuel, « le monde devra faire face à un déficit hydrique global de 40 % » dès 2030, écrivent les experts du Programme mondial des Nations unies pour l’évaluation des ressources en eau.

Un stress hydrique qui touche une large partie du globe Les eaux souterraines de plus en plus surexploitées Une amélioration de l’accès à l’eau potable Qui consomme le plus d’eau ? L'eau dans le monde. Infographie: La crise de l'eau.