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Culture

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Nouveaux métiers du web et de l’informatique. Par Virginie Jeudi 17 mai 2012 Community manager, traffic manager, gestionnaire des médias sociaux ou encore consultant SMO, tout ces métiers n’existaient presque pas il y a deux ans. Comment bien s’y préparer ? Qui recrute ? Quelques éléments de réponses… Un secteur en constante augmentation Tous les chefs d’entreprise s’accordent à le dire, tout ces nouveaux métiers sont activement recherchés, mais ils ne trouvent pas souvent des personnes assez qualifiées ou avec assez d’expérience pour exercer ces types de poste.

Métiers qui recrutent Toutes ces entreprises affirment rechercher des concepteurs et des développeurs ainsi que des spécialistes en recherche & développement, et enfin des conseillers et architectes dans la conduite de projet. Cependant, pas de soucis à se faire, les employeurs sont pour le moment assez satisfaits des jeunes diplômés et de leurs capacités. La fin des commentaires. L’idée nous trottait dans la tête depuis plusieurs mois et nous venons enfin de franchir le pas : l’intégralité des commentaires a été supprimée et il n’est désormais plus possible de commenter sur Playlist Society ! Cette décision s’inscrit dans la lignée de la suppression des notes qui est intervenue il y a quelques semaines et correspond à notre souhait de voir Playlist Society refléter, au mieux, nos convictions actuelles. Bien qu’il ne s’agisse nullement d’une idée novatrice – de nombreux sites, comme par exemple L’Oreille Absolue, Millefeuille, Pinkushion ou encore Revue Zinzolin et Critikat ont depuis longtemps un avis tranché sur la question –, nous avons décidé, une fois n’est pas coutume, d’expliciter notre choix en s’attardant sur un sujet qui s’éloigne de notre ligne éditoriale habituelle.

Ce texte est cosigné par l’ensemble de la rédaction de Playlist Society. Quel pourcentage de commentaires pertinents ? Les auteurs, premiers responsables Qu’en est-il maintenant ? - How We Will Read: Clay Shirky. This post is part of “How We Will Read,” an interview series exploring the future of books from the perspectives of publishers, writers, and intellectuals. Read our kickoff post with Steven Johnson here. And check out our new homepage, a captivating new way to explore Findings. This week, we were extremely honored to speak to Internet intellectual Clay Shirky, writer, teacher, and consultant on the social and economic effects of Internet technologies. Clay is a professor at the renowned Interactive Telecommunications Program at NYU and author of two books, most recently Cognitive Surplus: Creativity and Generosity in a Connected Age. Clay is one of the foremost minds studying the evolution of Internet culture. He is also a dedicated writer and reader, and it was natural that we would ask him to contribute to our series to hear what he could teach us about social reading.

How is publishing changing? Publishing is not evolving. What is the future of reading? So, what is it? Really? Yes. Petite Poucette, la génération mutante. Michel Serres, diplômé de l’Ecole navale et de Normale Sup, a visité le monde avant de l’expliquer à des générations d’étudiants.

Historien des sciences et agrégé de philosophie, ancien compagnon de Michel Foucault, avec qui il a créé le Centre universitaire expérimental de Vincennes en 1968, il a suivi René Girard aux Etats-Unis, où il enseigne toujours, à plus de 80 ans. Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son œil bleu et bienveillant. Son sujet de prédilection : la jeune génération, qui grandit dans un monde bouleversé, en proie à des changements comparables à ceux de la fin de l’Antiquité. La planète change, ils changent aussi, ont tout à réinventer. «Soyons indulgents avec eux, ce sont des mutants», implore Michel Serres, par ailleurs sévère sur sa génération et la suivante, qui laisseront les sociétés occidentales en friche.

Vous annoncez qu’un «nouvel humain» est né. Pascale Nivelle. Le futur selon Google. Que nous raconte Google sur notre avenir ? Petite exploration du futur selon le célèbre moteur de recherche jusqu'en 2100 à l'occasion de l'émission sur le futur proposée par OWNI et l'Atelier des Médias de RFI pour SiliconRadio. À l’occasion de la journée de radio proposée par SiliconRadio, OWNI et l’Atelier des Médias de RFI se penchent sur la question “À quoi sert le futur ?”. Vous pouvez suivre ici en direct toute cette journée et nous retrouver entre 22 heures et minuit. Depuis la création de l’algorithme PageRank en 1998, Google a réussi à devenir le premier moteur de recherche au monde et à passer dans le langage courant.

Grâce à la quantité impressionnante de données récoltées par le moteur et en fonction de l’utilisation qu’en font les internautes, Google parvient déjà à prévenir la grippe. Et si on poussait la logique plus loin et qu’on imaginait que Google pouvait prédire le futur ? Soyez heureux de savoir que les États-Unis atteindront Mars en 2035 et en 2037.

Le code fait la loi (trad. française) Voici enfin la traduction du célèbre texte de Lawrence Lessig, Code is law. Plus de dix ans après sa publication, son analyse n'a pas perdu de sa pertinence, au contraire. Le 5 mars dernier, Tristan Nitot se pose la question suivante sur Identi.ca : « Je me demande s’il existe une version française de Code is Law, ce texte sublime de Lessig. » Monsieur Nitot qui évoque un texte sublime de Monsieur Lessig… Mais que vouliez-vous que nos traducteurs de Framalang fassent, si ce n’est participer à modifier favorablement la réponse de départ étonnamment négative ! Écrit il y a plus de dix ans, cet article majeur a non seulement fort bien vieilli mais se serait même bonifié avec le temps et l’évolution actuelle du « cyberespace » où neutralité du Net et place prise par les Microsoft, Apple, Google et autres Facebook occupent plus que jamais les esprits.

Bonne lecture… Le code fait loi – De la liberté dans le cyberespace Code is Law – On Liberty in Cyberspace Nous sommes à l’âge du cyberespace. Aux sources de la culture geek » Article » OWNI, Digital Journalism. Autrefois marginalisée, la culture Geek est rapidement rentrée dans les normes. Décryptage d'une mode souvent méconnue. J’en parlais il y a quelques jours : le geek est devenu, depuis quelques années, une figure d’une force et d’une légitimité peu commune. A tel point qu’un film comme Kick-Ass a pu s’appuyer sur un renversement étonnant : remplacer le super-héros par le geek. D’autres exemples pourraient être cités, toujours est-il que la culture geek s’est largement diffusée. C’est en relisant Becker que j’ai trouvé un indice pour comprendre d’où elle vient. Qui ne se dit pas geek aujourd’hui ?

Le moindre possesseur d’un Iphone se revendique comme tel. Les vrais geeks, ceux qui ont fait de l’informatique un mode de vie et qui lisaient The Lord of the Ring en VO avant que Peter Jackson ne rende ça trendy, s’énervent. Mais d’où vient cette culture geek ? Où prend-elle ses racines ? Mais qu’est-ce qui fait qu’il y a une unité de cette culture ? Comment l’émotion stimule notre créativité. Bon, je sais que j’en ai déjà parlé récemment. Mais la lecture de la semaine est un texte de Clive Thompson, qui n’est pas paru dans Wired, mais sur son blog Collision Detection qui est toujours à suivre. Le texte de Thompson s’intitule : Comment la vidéo du bébé qui rit nous rend plus intelligent. La vidéo à laquelle se réfère Thompson est une des plus célèbres de YouTube, elle a été vue plus de 4 millions de fois. On y voit un bébé d’à peu près 9 mois assis dans sa chaise haute, un bavoir autour du cou, rire à gorge déployée aux sons émis par son père. L’argument du post de Thompson est d’expliquer que ce type de vidéos non seulement nous distrait, mais nous rend plus intelligent.

Mais ce groupe de chercheurs s’est demandé si la bonne humeur pouvait aussi améliorer un type particulier d’apprentissage, à savoir notre apprentissage des catégories, c’est-à-dire notre aptitude à observer un lot d’items, à y distinguer des modèles et à faire de ces groupes des catégories. Le rôle des amateurs (2/2) : le numérique transforme-t-il l’amateur.

Par Hubert Guillaud le 31/03/11 | 3 commentaires | 4,496 lectures | Impression A l’occasion du séminaire Digital Life Lab organisé par l’Institut Télécom (voir la première partie du compte rendu), Jean-Samuel Beuscart d’Orange Labs et du Latts et Maxime Crépel du Medialab de Science Po ont présenté un travail en cours, un essai de typologie des trajectoires des amateurs sur le web 2.0 à partir de travaux réalisés sur MySpace et Flickr. Pour les deux chercheurs, le web et le web 2.0 introduisent une rupture dans les pratiques amateurs telles qu’on les observait avant. Le rôle des plateformes : comment les systèmes conduisent-ils au jeu de la notoriété ? Leur travail repose à la fois sur une étude des plateformes et des entretiens avec des utilisateurs (une trentaine pour chaque) et avait pour but de comprendre les formes d’intermédiation artistiques proposées par ces plateformes et le sens social des pratiques de publication et de sociabilité dans l’évolution de la pratique.

Chaîne : Digital Life Lab.