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CivicTech

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Pour plus d'intelligence collective dans la politique, cette appli connecte les citoyens avec leurs élus. Stig permet de proposer ses idées citoyennes aux votes des autres utilisateurs. (Crédit : Stig) Si une vaste majorité de Français reste très attachée au régime démocratique, nombreux sont ceux qui veulent la rénover. C'est du moins ce que révélait, fin septembre, une étude Viavoice. Pour prendre part à cette rénovation et encourager les citoyens à y participer, Jérémie Paret et Germain Lecourtoi ont créé et lancé une application.

Son nom ? Les idées peuvent concerner de nombreux domaines et concerner aussi bien l'échelle locale que nationale. Lancée le 24 novembre 2016, elle permet à ses utilisateurs de proposer leurs idées politiques. L'application et son algorithme gèrent le système de votes afin de mettre en avant les propositions qui plaisent le plus. Le système de vote fonctionne grâce à un algorithme qui met en avant les propositions qui plaisent le plus. Créer le contact entre citoyens et élus. Comment le numérique change la politique. Le numérique nous fait entrer dans un nouvel âge du politique, avec les « civic tech », ces technologies qui doivent permettre aux citoyens de prendre part à la prise de décision publique et de se mobiliser pour l’intérêt général. Cette démocratie numérique demande à être maîtrisée. Le numérique nous fait entrer dans un nouvel âge du politique, avec les « civic tech », ces technologies qui doivent permettre aux citoyens de prendre part à la prise de décision publique et de se mobiliser pour l’intérêt général.

Puissant facteur de désintermédiation, elles modifient le jeu des acteurs, à la fois sur le plan de la communication (court-circuitant les médias), de la construction des projets et des lois (court-circuitant les lobbies) et le message même qu’elles véhiculent, qui doit être plus personnalisé et jouer sur le registre de l’émotion. Ainsi, l’ubérisation de la politique serait en marche. Une fois cet espoir posé – « Notre génération aspire à un monde plus collaboratif. A lire aussi : L’ère des députés augmentés. Vers une nouvelle communication territoriale - Lettre du Cadre Territorial. © Avalon_Studio- istock Périmé, la com’ territoriale ?

Une certaine com’ oui, celle qui se contente de promouvoir l’agenda politique des élus. Mais il y a autre chose à faire, plus innovant, plus participatif… bref plus moderne. Bienvenue donc au XXIe siècle de la communication locale, où on parle de stratégie, de contenus et de canaux en synergie, de newsroom locale, de start lab. Ça change, mais ça fait du bien. Les autres dossiers de la rubrique : Dossiers La fin du dialogue social à la papa Le dialogue social ne se contente plus seulement de la discussion avec les syndicats. Reste cependant à ne pas se contenter de l’existant : de nombreuses collectivités tentent de faire preuve de créativité en matière d’organisation du dialogue social. Nicolas Loubet - Photos du journal. Problem loading page. "Les partis politiques ? Comment vous dire ? Ras-le-Bol ! " Ils sont jeunes, entreprenants, intéressés par la vie publique, amoureux de leur pays, citoyens, mais quand on leur parle politique, ils soupirent. Et pourraient paraphraser Martine Aubry parlant d’Emmanuel Macron !

Ces partis qui ne représentent que 0,58% de la population française - 387.000 adhérents, autant dire presque rien - et qui, en oligopole, sélectionnent les candidats à l’élection présidentielle, ils n’en peuvent plus. Les changer de l’intérieur ? Ils n’y croient pas. Alors ils ont pris une autre voie : utiliser la technologie qui a réussi à bouleverser en quelques années des secteurs entiers (la musique, le cinéma, le transport, l’hôtellerie, le commerce, la presse…) pour chambouler la politique. Biotech, Fintech et maintenant Civic Tech Elles se multiplient, nombreuses, complémentaires, stimulantes. 1. Sophie Fay/L'Obs Déçus, les deux associés ?

C’est cela que nous voulons changer. " Comment ? 2. 3. Hacker l’Assemblée" Dormoy Labs, et la radio locale comme outil de synergie urbaine. - Learn Do Share | Paris. Venez vous immerger dans le quartier Marx Dormoy, y découvrir les initiatives citoyennes locales au travers d’une balade sonore et visuelle. Puis, passons à l’action en explorant ensemble l’outil de radio comme vecteur de synergies et dynamiques collaboratives pérennes.

(photo crédit: Sylvia Frederiksson) Dormoy Labs, qu’est-ce que c’est ? Dans le quartier Marx Dormoy en transition émergent de nombreuses initiatives citoyennes (laboratoire de fabrication, agriculture urbaine, espace de création artistique et culturelle, etc.). Et si ces initiatives s’unissaient sous une narrative commune pour créer un quartier laboratoire citoyen ? Forts de cette idée, des acteurs locaux ont déjà engagé de multiples actions (sessions d’interviews, travaux de cartographies participatives, projet de radio locale) et ont sollicité en tant que catalyseur de vie urbaine, Creative Roots. Liens pour en voir plus sur Dormoy Labs: Storify de l’exploration urbaine du 6 mars par Sylvia Frederiksson: [ #DormoyLabs ] Exploration urbaine. Creative Roots. 6 mars 2015 (with images, tweets) · s_fredriksson. Signalez vos élus corrompus sur une carte interactive de France ! | INFOCOM-Net.

Au nom de la lutte contre la corruption, signalez vos élus corrompus sur une carte interactive de France ! Cliquez sur la carte pour accéder au site ! C’est une première en France : Transparency International a dressé la carte des 258 cas de corruption avérée dans l’Hexagone. En attendant les autres que les internautes sont invités à signaler… L’association anti-corruption Transparency International lève le voile sur un site inédit : Visualiser la corruption.fr recense les condamnations en France pour atteinte à la probité. Un appel aux internautes En prime, le site livre un utile lexique de la corruption, ainsi que des statistiques édifiantes. . « En l’absence de données centralisées, la carte ne recense que les condamnations rapportées dans la presse, précise Myriam Savy, responsable du projet chez TI. J'aime : J'aime chargement… Accueil. Et si Fleur Pellerin était la première ministre numérique de la Culture.

Dans le numéro 21 du quinzomadaire Society (disponible en kiosque jusqu'au 24 décembre)(1) figure une longue interview de la ministre de la Culture, Fleur Pellerin. Elle y expose notamment pourquoi à l'ère du numérique le rôle de son ministère ne peut plus être le même qu'aux temps de Malraux, Lang ou Albanel. Et son discours prouve qu'au moins elle sait de quoi elle parle quand elle évoque le numérique et la culture. "Notre ministère de la Culture, le plus puissant du monde, n'a pas suffisamment renouvelé sa réflexion depuis 30 ans sur ses politiques, à qui il s'adresse, au nom de qui il parle et ce qu'il veut faire", explique la ministre qui, en une phrase, dresse un bilan de l'action de ses prédécesseurs.

Gérer la surabondance Pour elle, un des principaux changements consécutifs au numérique est qu'on est passé d'une ère de rareté des œuvres à un monde où l' "accès est démultiplié. Autre changement important pointé par Fleur Pellerin : les prescripteurs. Labo Ess - [Focus] Revitaliser les territoires n'est plus...

Mairies 4.0 : Trop d'applis de service public ? Nantes les fusionne toutes en une. Développer les e-services : pour les collectivités locales, la question est devenue prioritaire au cours des dernières années. Modules web, applications mobiles, ouverture des données publiques... La profusion d'initiatives peut même finir par déboussoler le citoyen. Pour lui simplifier la vie, l'agglomération de Nantes a eu une idée simple et efficace : entreprendre la fusion de tous ses e-services, y compris ceux développés par des jeunes pousses et matérialisés par des applications mobiles distinctes, pour en faire une seule appli, "Nantes dans ma poche".

Les accés aux horaires de bus, de piscine, aux menus des cantines des écoles... sont ainsi réunis dans un dispositif unique. Un premier pilote a été lancé le 26 mai 2015 sur l'App Store et Google Play. Intégrer les services développés par les start-up Mais ce n'est pas le seul intérêt de la démarche. Parole d'élu : Franckie Trichet, 24ème adjoint au maire de Nantes, délégué à l'innovation et au numérique. Legislation Lab. Energie Partagée | Accueil.

La « civic tech » française se met en place autour d'un nouvel espace. Comment la mobilisation en ligne change le monde. C’est un petit logo pour Shell mais un grand pas pour la mobilisation en ligne : à partir de début 2016, vous ne verrez plus le coquillage jaune et rouge sur les boîtes de Lego. Les deux marques seraient-elles fâchées ? Que nenni ! Le partenariat, vieux de 50 ans, a vacillé sous les coups de boutoir des internautes, mobilisés par Greenpeace. « La présence de ce logo permettait à Shell de s’acheter une image : puisque tout le monde aime Lego et que Lego est associé à Shell, tout le monde aime Shell. Alors que leurs projets fous de forages dans l’Arctique mettent le climat en danger !

», explique Clémence Lerondeau, responsable des médias sociaux chez Greenpeace France. Indignée, l’ONG conçoit une vidéo où un univers de Lego agonise sous une visqueuse marée noire. . « Si le web n’existait pas, on aurait déployé des banderoles devant le siège de Shell ou de Lego et on aurait fait signer des pétitions dans la rue. Gratuit, instantané et redoutablement efficace Cliquer n’est pas jouer ? La présidentielle de 2017 peut-elle être uberisée? Le terme a été lancé par Emmanuel Macron, sans doute pas innocemment. Lui qui, après avoir mis quelques pieds dans la fourmilière, commence à avouer publiquement se sentir à l’étroit dans un système arrivé à bout de souffle. Et puis, on nous dit que le Front National c’est ce qui nous attend. Mais on oublie que les deux tiers des Français ne veulent certes ni de Hollande, ni de Sarkozy, ni d’un autre issu de l’un des partis historiquement au pouvoir.

Mais qu’ils ne veulent pas du Front National non plus. Uberiser, le terme est sans doute mal choisi, l’entreprise Uber n’est sans doute pas un modèle d’humanisme. Difficile d’y croire. Depuis quelques mois cependant, au fil de mes rencontres, j’entends des gens très sérieux, journalistes de haut-vol, experts, personnalités de la société civile, dirent que, oui, peut-être, peut-être que le président qui sera élu en 2017 pourrait être un inconnu, ou en tout cas quelqu’un qui ne serait pas issu des partis traditionnels.

Les gens en ont assez. LaPrimaire.org : la révolution démocratique est en ligne. Le site internet de LaPrimaire.org recense plus de 17 000 inscrits. Crédit : LaPrimaire.org Manque de participation électorale, discrédit des élites politiques empêtrées dans des scandales de toutes sortes, montée des partis populistes... Les illustrations de la crise de la représentation politique ne manquent pas. Les Français ont de moins en moins confiance en leurs représentants et se sentent leurrés par un système qui peine à évoluer. Donner un nouvel élan à la vie démocratique en renouvelant l’offre politique, c’est le pari qu’ont fait Thibauld Favre et David Guez, respectivement ingénieur et avocat.

Leur idée ? « Un cercle vicieux dont il faut sortir » Face au désarroi grandissant des Français vis-à-vis d'une offre politique composée d’élites usées dont l’intégrité est trop souvent remise en question, ces deux hommes ont éprouvé le besoin de faire changer les choses rapidement et efficacement, mais pas brutalement. Comment ça marche ? Tout se déroule en ligne. LaPrimaire.org : « Tout le monde ne peut pas devenir président mais le président peut venir de n'importe où » - Civic Tech. L’association Democratech (qui a pour ambition de mettre la technologie au service de la démocratie) va ouvrir le mois prochain le site de primaires citoyennes LaPrimaire.org.

Le projet ? Organiser une primaire ouverte sur Internet, organisée pour permettre aux Français de choisir les candidats qu’ils souhaitent voir se présenter à l’élection présidentielle de 2017. Il y a fort à parier que Thibauld Favre et David Guez vont faire parler d’eux dans les semaines à venir : ils font la Civic Tech cette semaine. Vous proposez une primaire alternative pour 2017, ce quoi s’agit-il ? Il s’agit d’une primaire ouverte et démocratique dont la principale caractéristique est d’être organisée hors du contexte des partis politiques.

C’est une primaire démocratique car tout le monde peut être candidat et ouverte car elle ne défend aucune idéologie ni aucun programme. Les partis politiques ne représentent donc plus le peuple ? Tout le monde, ou n’importe qui, peut-il devenir président ? Par les citoyens ! 13 idées pour convertir les politiques à la démocratie numérique sans les braquer. "Je souhaite que la e-démocratie participative n’arrive pas en opposition à la démocratie représentative, mais en soutien", déclarait Alain Juppé au dîner du club EBG 500 (electronic business group), le 12 avril dernier. Devant ce prestigieux parterre de responsables de la transformation numérique de l’économie, c’est probablement la seule fois où le candidat à la primaire de droite évoquera réellement la transformation numérique en cours. Mais la déclaration est lourde de sens, tant elle révèle l’inquiétude des politiques devant le potentiel de disruption du numérique sur la démocratie représentative sur laquelle sont basées nos constitutions. transparence, participation et nouvelle posture Elle pointe, en creux, la nécessite de mettre à jour les outils et de convertir les politiques et administration au numérique… sans les braquer.

Mêler avis d'experts et de citoyens réconcilier avec la politique En attendant une citoyenneté numérique Les 13 Propositions concrètes : Mexico City is crowdsourcing its new constitution using Change.org in a democ... Mexico City just launched a massive experiment in digital democracy. It is asking its nearly 9 million residents to help draft a new constitution through social media.

The crowdsourcing exercise is unprecedented in Mexico—and pretty much everywhere else. Chilangos, as locals are known, can petition for issues to be included in the constitution through Change.org (link in Spanish), and make their case in person if they gather more than 10,000 signatures. They can also annotate proposals by the constitution’s drafters via PubPub, an editing platform (Spanish) similar to Google Docs.

The idea, in the words of the mayor, Miguel Angel Mancera, is to “bestow the constitution project (Spanish) with a democratic, progressive, inclusive, civic and plural character.” There’s a big catch, however. That makes Mexico City’s public-consultation experiment a big test for the people’s digital power, one being watched around the world. A city is born An experiment with few precedents Making sense of it all. Les Sri-Lankais rédigent leur nouvelle Constitution sur Internet. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Julien Bouissou (New Delhi, correspondance) Dans cette nation longtemps déchirée par les guerres ethniques, le pouvoir en place depuis un an a décidé d’ouvrir une consultation sur sa future Constitution sur Internet.

L’occasion, pour les jeunes notamment, de prendre la parole. La prochaine Constitution du Sri Lanka verra-t-elle le jour grâce aux réseaux sociaux ? « Je ne ferai pas une Constitution enfermé dans une salle avec la junte, a expliqué Ranil Wickremesinghe, le premier ministre sri-lankais. J’appelle la jeunesse du pays à s’emparer d’Internet et nous dire ce qu’elle pense, car cette Constitution est faite pour le futur. » Il y a un an, le président de l’île, Maithripala Sirisena, s’était fait élire en promettant d’œuvrer à la réconciliation ethnique. La rébellion des Tigres tamouls, qui réclamaient l’indépendance, a ravagé le pays pendant vingt-six ans, jusqu’en 2009, et fait au moins 100 000 morts. Un pays bien connecté. Les civic techs sont-elles l'avenir de la démocratie? Entretien avec Christophe Itier. «Les réseaux sociaux favorisent l'implication de la société civile dans le débat public»

Les liens CivicTech de la semaine #13 - Civic Tech. La « civic tech » française se met en place autour d'un nouvel espace, Le Lab/Idées. Un Lyonnais invente la démocratie 2.0. Stig - l'app de démocratie participative. Loi numérique : ces propositions de citoyens retenues par le gouvernement. Bientôt une consultation en ligne pour chaque loi ?

La civic-tech renouvelle les outils pour mobiliser les citoyens. #OpenDemocracyNow (with images, tweets) · j_henches. La civic-tech veut inventer la démocratie de l’ère internet. La civic-tech nous permet de mieux comprendre les enjeux politiques — Extra Extra. Open Source Politics.