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Les pures-players sont ils rentables?

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Les “pure players” ou le pari de la presse en ligne. La presse papier est en crise ? De plus en plus de médias font le pari d'une présence exclusive sur le Net. Entre quête du clic et précarité financière, ces “pure players” peuvent-ils tirer leur épingle du jeu ? Rue89, Mediapart, Slate, Huffington Post, Owni... depuis 2007, de nouveaux médias en ligne avec des drôles de noms bousculent le paysage traditionnel des Figaro(.fr), Le Monde(.fr), Libé(.fr).

Ces sites d'information généraliste nés sur le Web sont des « pure players », indépendants (ou presque) des groupes de presse. De Rue89 au Huffington Post, tous les pure players français passés au crible sur notre infographie. De ta cuisine tu sortiras« Maintenant, on a un téléphone par personne ! Participer à l'aventure d'un pure player, c'est quitter la presse en crise, et néanmoins confortable, du XXe siècle, pour se jeter dans le journalisme numérique balbutiant du XXIe siècle. Mais l'enthousiasme s'étiole. Pour se retrouver dans le tiercé gagnant, chacun pousse sa monture.

Les pure players s'imposent sur le Net français. Considérés comme des médias alternatifs il y a encore un an, ce nouveau modèle de site séduit de plus en plus. Qu’est-ce qu’un pure player? C’est une société dont l’activité fonctionne uniquement sur Internet. Il existe des pure player commerciaux, comme Amazon, ou d’information, comme Mediapart. Ces sites d’informations diffusent leur contenu exclusivement en ligne, sans support imprimé. Pas comme 20 Minutes ou Le Figaro, diffusés à la fois en ligne et sur papier. Comment les pure players sont-ils financés? Mise à jour: dans la première version de cet article, nous avions omis de citer Lepost.fr. Slate.fr, késako? Transp COURS 1 economie %20medias Introduction.

Classement e-business : les 100 premiers "pure players" du Web en France. Ils ont les premiers parié sur le formidable potentiel d'internet et misé sur une activité totalement virtuelle et interactive. Alors qu'aujourd'hui tous les grands acteurs de la distribution se diversifient et deviennent multicanaux, les Pixmania et VentePrivée ont anticipé, pris de l'avance et imposé leurs marques sur la Toile. Et pour longtemps. Car la partie est désormais plus difficile pour les derniers venus qui ne bénéficient pas de la logistique et de la puissance des Redcats (La Redoute), Fnac ou Darty. Même si les stratégies de niche de certains d'entre eux se révèlent payantes, tel ODC Distribution qui a créé six sites en cinq ans. En tête de notre palmarès figure la filiale de Casino, Cdiscount, un pure player créé en 1998, repris en 2000 et toujours 100 % internet, même si depuis quelques mois le site teste une boutique physique à Paris.

Des pures players très discrets La fin de l'eldorado ? Les pure players dominent le marché de l'e-commerce français. Apparemment, l'e-commerce à destination des particuliers ne connaît pas la crise. Indifférentes à la dégradation de la conjoncture économique et portées par les innovations technologiques, les ventes en ligne ont ainsi bondi de 22 % en 2011 pour atteindre 37,7 milliards d'euros, représentant désormais 3,4 % de la consommation des ménages et 7,9 % du chiffre d'affaires du commerce de détail. Les experts de Xerfi-Precepta tablent sur une croissance annuelle moyenne de 15 % entre 2012 et 2015, date à laquelle le commerce en ligne pèsera 66,7 milliards d'euros (5,4 % de la consommation totale des ménages). Les principaux enseignements de l'étude - Les ventes en ligne aux particuliers à l'horizon 2015 Ce dynamisme doit toutefois être relativisé.

. - Une quarantaine d'opérateurs truste 25 % de l'activité Malgré le ralentissement de sa croissance, l'e-commerce attire toujours plus d'entreprises. Des business models en évolution - Les enseignes physiques à la manoeuvre En savoir plus: www.xerfi.fr. 24ème semaine de la presse et des médias dans l'école : dossier pédagogique.