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News, Augmented » Articles avec le tag » #partage. Les Ekovores. Www.inspire-institut.org/attachments/FNH HEC Goodwill.pdf. Services alternatifs - Service-en-plus. AvideDesigner. Nouvelle consommation. Un article de Encyclo-ecolo.com. La nouvelle consommation Les Nouveaux visages de la consommation moderne sont multiples et de nombreuses appellations apparaissent : que sont tous ces nouveaux termes ? Couchsurfing, greeters, wwoofing, locavore, slugging, ecohabitat, slow food cradle to crade, flawsome, eco-cycology, recommerce: le consommateur moderne est un innovateur né qui surfe sur les innovations technologiques mais aussi sur un rejet des valeurs classiques de la consommation de masse (rejet du gaspillage, solidarité, sobriété, ... : les valeurs changent) La Nouvelle consommation reflète les nouveaux comportements et usages du consommateur moderne : c'est un ensemble multiforme qui porte de nombreux noms, décrits ci-après : économie empathique, capitalisme distribué, commerce collaboratif, consommation non marchande, production et consommation collaborative, ... bref la nouvelle consommation reflète une mutation du marché vers un marché plus social.

Les digital mums Locavores et amap. Le consommateur écolo n’existe pas, la nouvelle conso oui. Partagez : Dernière partie du point de vue sur la notion de développement durable dans le domaine de la consommation. La Nouvelle consommation , c’est aussi : un certain rejet de la surconsommation et du gaspillage, au profit d’une attitude de sobriété, de simplicité volontaire,une préférence pour une consommation généreuse plus qu’égoïste (consorecup), ou plus équitable que hard discount,une consommation plus collective ou communautaire qu’individualiste (le web 2.0, les sites d’avis consommateurs, le social shopping, …),une consommation plus attachée à la qualité qu’à la quantité,une consommation de proximité (acheter local) plutôt qu’anonyme et importée,un souci de la substance plus que du paraître (le bling bling !).

C’est aussi un attrait pour les transactions entre particuliers, qu’il s’agisse de troc, de don, de location, de vente, de prêt ou encore d’entraide, tous services qui réalisent plus de la moitié de la fréquentation d’un portail comme consoGlobe ! Japon: «L’économie de partage» devient à la mode - Habitat. En prenant place à la conférence internationale de Yokohama sur les villes Eco² parmi les membres de la Banque Mondiale et des responsables économiques japonais, je ne m’attendais certainement pas à entendre parler de communautés intelligentes, de partage et de co-création… Antoine Jay et Benoît Roux sont deux jeunes ingénieurs civils des Mines de Saint-Etienne diplômés en 2010 et spécialisés en énergies.

Ils ont entrepris un "tour du monde des énergies renouvelables" de septembre 2010 à janvier 2011. Après un séjour à Hong Kong (voir papier), ils sont passés au Japon. Voici un résumé de leur témoignage (Leur article complet sur leur site Green Energies World) Eco² Cities : Ecological Cities as Economic Cities est une initiative lancée l'année dernière par la Banque Mondiale dans le but d'aider les villes des pays en développement à atteindre une pérennité économique et écologique. C'est dans ce cadre qu'un responsable du ministère japonais de l'économie (METI), M. Magazine. La chose est entendue ; les phénomènes d'innovation qui se sont manifestés par les modèles issus d'Internet depuis dix ans ont transformé radicalement les dynamiques de création et de transformation des marchés, et ce, de manière probablement irréversible.

Cette étape de notre histoire marque ainsi un avant et un après. Si le mouvement est apparu d'abord sur les secteurs des technologies et services en ligne, il semble influencer progressivement l'ensemble de l'activité sociale et économique. Il n’est désormais plus un espace social qui ne soit impacté par les transformations des modèles de l’innovation — pensons au politique, avec le modèle Obama —, jusqu’à des processus d’innovation scientifiques ou industriels — crowdsourcing, RSE, wiki et autres open hardware, en passant par les fonctions marketing ou RH, qui vont ménager une place au consommateur/collaborateur comme elles ne l’ont probablement jamais fait. Panorama. Vous êtes le media Le consommateur souverain Une base de l’économie.

La Pyramide de Maslow appliquée au coworking. Exercice de transposition de la pyramide des besoins humains du psychologue Abraham Maslow au monde du coworking, ou la recherche d'un modèle d'épanouissement pour les travailleurs indépendants. Vous souvenez-vous de la bonne vieille pyramide de Maslow que l’on vous a sans doute enseignée à l’école ? Vous savez, cette pyramide des besoins humains qui permet de les classer et de les hiérarchiser d’une manière dynamique … Si l’on en croit Maslow, les besoins situés à la base de la pyramide doivent être globalement satisfaits pour rendre possible la réalisation des besoins supérieurs.

Je me suis amusé à appliquer cet outil d’analyse au coworking pour voir ce que cela pouvait donner. Appliquée au coworking, l’analyse de Maslow signifierait qu’il convient d’assurer les services de base dans un premier temps pour permettre aux coworkers de progresser vers les échelons plus élevés de la pyramide. Le coworking à la Maslow, ça donne ça : Besoins de base • Un wifi performant • Une salle de réunion. Pistes pour un design durable « La Revue du Design. Développement durable, design "vert", recyclage et autres démarches éco-responsables ont envahi, en quelques mois voire quelques années, les discours des créateurs tout autant que les catalogues ou les lieux de vente.

Mais sous son aspect honorable, que cache ce type de prise de position : un courant porteur sur lequel surferaient designers et industriels, une stratégie marketing intelligente appelant à "mieux" consommer tout en incitant à acheter tout de même, ou une réelle prise de conscience appelant une refonte – peut-être profonde – de la discipline ? Particulièrement observable au niveau du mobilier, cette tendance n’en touche toutefois pas moins toutes les dimensions du design. Ainsi, nombre de produits industrialisés – du dernier MacBook Air à la prochaine Citroën C-Cactus, que nous évoquerons plus loin – revendiquent eux aussi leur aspect ouvertement "durable".

Hairy Chair par Charles Kaisin (photo © Charles Kaisin). Vue extérieure et intérieure de la C-Cactus. Alexandre Cocco. Partager l’usage des objets et produire moins de déchets. Partager sa voiture, sa perceuse, ses vêtements, ses petits plats, son bureau ou son canapé : les sites internet communautaires [1] apparus ces dernières années pour favoriser les échanges entre particuliers connaissent un succès grandissant. Les pratiques en elles-mêmes ne sont pas nouvelles, mais alors qu’elles étaient habituellement cantonnées à l’entourage, elles sont désormais applicables à plus grande échelle puisque les outils technologiques permettent d’entrer en contact avec des inconnus.

Un changement du rapport à l’objet Ces nouveaux services de partage mettent en œuvre le principe d’économie de fonctionnalité, qui consiste à proposer la vente d’un service (l’usage d’un bien) plutôt que la vente du bien matériel lui-même. Optimiser l’utilisation, pour économiser les ressources Vers une demande de produits plus durables Les principes de l’économie de fonctionnalité favorisent une conception des produits aux antipodes des stratégies d’obsolescence programmée.

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