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La Pyramide de Maslow appliquée au coworking

La Pyramide de Maslow appliquée au coworking
Exercice de transposition de la pyramide des besoins humains du psychologue Abraham Maslow au monde du coworking, ou la recherche d'un modèle d'épanouissement pour les travailleurs indépendants. Vous souvenez-vous de la bonne vieille pyramide de Maslow que l’on vous a sans doute enseignée à l’école ? Vous savez, cette pyramide des besoins humains qui permet de les classer et de les hiérarchiser d’une manière dynamique … Si l’on en croit Maslow, les besoins situés à la base de la pyramide doivent être globalement satisfaits pour rendre possible la réalisation des besoins supérieurs. Je me suis amusé à appliquer cet outil d’analyse au coworking pour voir ce que cela pouvait donner. Appliquée au coworking, l’analyse de Maslow signifierait qu’il convient d’assurer les services de base dans un premier temps pour permettre aux coworkers de progresser vers les échelons plus élevés de la pyramide. Le coworking à la Maslow, ça donne ça : Besoins de base • Un wifi performant • Une salle de réunion

http://owni.fr/2011/06/23/la-pyramide-de-maslow-appliquee-au-coworking/

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Les managers se comportent-ils vraiment plus efficacement que des rats ? Lorsqu'ils sont face à la prise de décision dans le cadre managérial, les managers se comportent-ils vraiment plus efficacement que des rats ? Laisser vous conter la fable du rat et du manager. Si l’on demandait aux gestionnaires d’entreprise d’expliquer comment ils prennent leurs décisions on pourrait sans doute s’attendre à ce que qu’ils justifient leurs actions en citant des qualités comme une bonne compréhension des affaires et un talent d’analyse bien développé. Pourtant, la gestion n’est pas une science exacte. La superstition peut également y trouver sa place et ce sont des rats de laboratoire qui nous montrent comment cela est possible. Le monde de l’entreprise devient de plus en plus complexe, rendant ainsi quasiment impossible la prise de décisions managériales pertinentes uniquement sur la base d’informations sûres, même alliées d’une bonne dose d’expérience.

Où est la limite entre street art et profanation? Barbouillée de figures pop, un monument aux morts bulgare de la Seconde Guerre mondiale pose la question de la frontière entre réappropriation artistique de la ville et insulte à la mémoire. Le street-art a-t-il une éthique ? Les street-artistes doivent-ils s’imposer des limites quant aux lieux qu’ils détournent ? La question est d’actualité : la semaine dernière, les soldats de bronze du monument à l’Armée Soviétique de Sofia (Bulgarie) se sont réveillés barbouillé. Un facétieux – et talentueux – street-artiste a ainsi profité de la nuit pour les repeindre en Superman, Captain America, Joker ou encore Ronald MacDonald et Santa Claus [plus de photos ici]… Pas très subtil sur le plan artistique, mais qu’importe.

Magazine La chose est entendue ; les phénomènes d'innovation qui se sont manifestés par les modèles issus d'Internet depuis dix ans ont transformé radicalement les dynamiques de création et de transformation des marchés, et ce, de manière probablement irréversible. Cette étape de notre histoire marque ainsi un avant et un après. Si le mouvement est apparu d'abord sur les secteurs des technologies et services en ligne, il semble influencer progressivement l'ensemble de l'activité sociale et économique.

Votre présence au bureau n'est plus obligatoire Quand les entreprises permettent à leurs employés de faire tout ce qu’ils le veulent, du moment que le travail est fait. En 2003, alors qu’elles planchaient sur de nouvelles directives de gestion des ressources humaines pour Best Buy, un important distributeur de matériel électronique américain, Cali Ressler et Jody Thompson eurent une idée révolutionnaire. Elles se demandèrent ce qui arriverait si l’on accordait aux employés une autonomie totale en échange d’une responsabilité totale. Qu’adviendrait-il si le personnel était jugé uniquement sur le travail fourni et non plus sur sa manière de l’accomplir? Cali Ressler et Jody Thompson baptisèrent leur projet ROWE, pour «Results-Only Work Environment» (Environnement de travail axé uniquement sur les résultats). Il comportait plusieurs propositions radicales.

De bonnes pratiques pour les réseaux sociaux d’entreprise La semaine dernière, j’abordais dans un article quelques bonnes pratiques pour se transformer en entreprise 2.0. Aujourd’hui, de la même manière voici une traduction d’un éditeur de réseau social d’entreprise, Convofy (nouvel entrant dans l’étude Lecko), qui partage lui aussi quelques bonnes pratiques sur l’usage des RSE. Voyons ce qu’il en est. Voici donc comment accompagner le changement dans ces nouvelles façons de communiquer, notamment en sus des mails. Il est difficile de changer de manière de travailler, pour Andrew McAfee de nouvelles solutions doivent être perçus comme étant au moins 9 fois mieux que le mail pour inciter les gens à changer. Car si certains sont convaincus, c’est bien l’ensemble de vos collègues qui doivent mener cette démarche afin d’améliorer la productivité, l’engagement et la réactivité.

Djouhri contre Péan le match de la rentrée Documents à l'appui, retour sur les petits secrets d'Alexandre Djouhri, l'intermédiaire mystère de l'Élysée. Un homme au centre du prochain livre choc de l'enquêteur Pierre Péan. Un livre en cours d’écriture préoccupe les pontes de la DCRI, les services de sécurité français. Le prochain document d’enquête de Pierre Péan racontera les relations complexes entre les éminences grises de l’UMP et l’homme d’affaires Alexandre Djouhri. À paraître chez Fayard à l’automne prochain, l’ouvrage promet de tout dire des services rendus par ce négociant de haut vol au passé sulfureux. Et de son entregent au sein des cercles élyséens.

Japon: «L’économie de partage» devient à la mode - Habitat En prenant place à la conférence internationale de Yokohama sur les villes Eco² parmi les membres de la Banque Mondiale et des responsables économiques japonais, je ne m’attendais certainement pas à entendre parler de communautés intelligentes, de partage et de co-création… Antoine Jay et Benoît Roux sont deux jeunes ingénieurs civils des Mines de Saint-Etienne diplômés en 2010 et spécialisés en énergies. Ils ont entrepris un "tour du monde des énergies renouvelables" de septembre 2010 à janvier 2011. Un patron avec ses salariés dans l'open-space, c'est mieux? Temps de lecture: 7 min La première fois que j’ai rencontré Jack Dorsey, le milliardaire cofondateur de Twitter, il travaillait sur son nouveau projet, Square –son entreprise post-Twitter lancée pour perturber le secteur du paiement en ligne. J’étais venu l’interviewer pour faire son portrait et lorsque je suis entré dans les bureaux de Square à San Francisco, je l’ai immédiatement repéré.

Quelques réflexions sur le poste de travail 2.0 L’évolution du poste de travail est un sujet récurrent… et persistant. Comprenez par là que l’on en parle depuis des années (décennies ?) et que le sujet n’est pas prêt de se tarir vu que les outils utilisés par les centaines de millions de travailleurs du savoir ont à peine évolué en 20 ans. Le festival Papillons de Nuit vu et entendu par Sourdoreille Sourdoreille s'est rendu au festival "Papillons de Nuit" du 21 au 23 juin. Ils nous rapportent lives, accoustiques, interviews et blind tests. Nous vous invitons à plonger dans ces reportages vidéos, "comme si vous y étiez". Pistes pour un design durable « La Revue du Design Développement durable, design "vert", recyclage et autres démarches éco-responsables ont envahi, en quelques mois voire quelques années, les discours des créateurs tout autant que les catalogues ou les lieux de vente. Mais sous son aspect honorable, que cache ce type de prise de position : un courant porteur sur lequel surferaient designers et industriels, une stratégie marketing intelligente appelant à "mieux" consommer tout en incitant à acheter tout de même, ou une réelle prise de conscience appelant une refonte – peut-être profonde – de la discipline ? Particulièrement observable au niveau du mobilier, cette tendance n’en touche toutefois pas moins toutes les dimensions du design. Ainsi, nombre de produits industrialisés – du dernier MacBook Air à la prochaine Citroën C-Cactus, que nous évoquerons plus loin – revendiquent eux aussi leur aspect ouvertement "durable". Hairy Chair par Charles Kaisin (photo © Charles Kaisin). Vue extérieure et intérieure de la C-Cactus.

Vers une théorie des entreprises stupides? Réfléchir, se projeter, anticiper, remettre en cause ses méthodes ou étudier la pertinence de ses stratégies peut aider une entreprise à surmonter des crises ou à gagner de nouveaux marchés... Mais à l'heure du «smart business», la bonne vieille bêtise manageriale a encore de beaux jours devant elle. Selon le professeur de management spécialiste des organisations Mats Alvesson, de l’école Economics and Management de l’université Lund (Suède), la stupidité joue elle aussi un rôle important dans les organisations, comme l’écrit le site Science Daily. Un rôle évidemment très sous-estimé par les dirigeants d'entreprises comme par les théoriciens des organisations. «Nous voyons la stupidité fonctionnelle comme une absence de réflexion critique. Et «paradoxalement, cela permet parfois d’augmenter la productivité au sein d’une organisation».

Les 4 challenges des entreprises dans un monde digital - MediasSociaux.fr MediasSociaux.fr Internet fait bouger les frontières et oblige les entreprises à penser à leur digitalisation. Internet, nous y passons, en tant que consommateurs de plus en plus de temps, que ce soit pour s’informer, communiquer, partager, témoigner… Internet nous accompagne tous les jours, si bien que certains se sentent perdus dès qu’il n’ont pas leur téléphone avec eux 24/24h (“maladie” appelée la nomophobie : Nomophobie : les jeunes plus accros à leur PC qu’à leur téléphone… selon Microsoft) et que les objets connectés prennent de plus en plus de places dans nos vies réelles. L’entreprise, quelque soit son secteur d’activité et la cible finale visée doit s’adapter et prendre en compte cette contrainte. J’avais déjà développé, dans le cadre d’une tribune pour le site DocNews cette notion de digitalisation inéluctable de l’entreprise : Révolution digitale : s’adapter ou mourir !

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