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Nourrir les hommes

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L'agroécologie pourrait nourrir et sauver la planète, selon l'ONU. Pour nourrir le monde tout en préservant la planète du réchauffement, l'ONU encourage l'agroécologie, un tournant historique après plusieurs décennies de "révolution verte" basée sur l'agriculture intensive, désormais au banc des accusés.

L'agroécologie pourrait nourrir et sauver la planète, selon l'ONU

"Nous avons besoin de promouvoir des systèmes alimentaires durables (...) et de préserver l'environnement: l'agroécologie peut aider à y parvenir", a déclaré mardi le directeur-général de l'Agence des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) José Graziano da Silva, en ouverture du deuxième symposium international sur l'agroécologie à Rome. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, le développement de l'agriculture basé sur l'utilisation massive d'engrais et de ressources chimiques (pesticides, herbicides, fongicides..) destinés à augmenter les rendements pour parvenir à assurer la sécurité alimentaire de la planète a eu un prix élevé pour l'environnement, a-t-il souligné. - L'exemple de l'Andhra Pradesh en Inde - Les « zones mortes » menacent les stocks de poissons. Comment nourrir tout le monde. L'Inde annonce un vaste (et coûteux) plan d'aide alimentaire.

Le gouvernement indien a publié un décret destiné à fournir des céréales subventionnées à près de 70 % de la population.

L'Inde annonce un vaste (et coûteux) plan d'aide alimentaire

Une mesure à 3,8 milliards de dollars par an. Le gouvernement indien a approuvé un vaste programme d'aide alimentaire destiné aux plus pauvres en jugeant qu'il allait permettre un grand bond dans la lutte contre la malnutrition, mais les analystes s'inquiètent du coût et de la mise en œuvre d'une telle mesure, la plus importante au monde en termes de bénéficiaires. Le gouvernement a publié mercredi 3 juillet un décret introduisant la "loi sur la sécurité alimentaire nationale", qui devrait être ratifié jeudi par le président Pranab Mukherjee. Ce texte, un an avant les élections générales, est au cœur de la stratégie électorale du parti du Congrès, à la tête de la coalition gouvernementale.

Cette mesure est destinée à fournir des céréales subventionnées à près de 70 % de la population, soit 810 millions d'habitants. INDE - Refus d’aide alimentaire OGM. Solutions locales pour un désordre global. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Solutions locales pour un désordre global

Solutions locales pour un désordre global est un film documentaire de Coline Serreau. Il est sorti en France le 7 avril 2010. Synopsis[modifier | modifier le code] « Les films d'alertes et catastrophistes ont été tournés. Ils ont eu leur utilité, mais maintenant il faut montrer qu'il existe des solutions, faire entendre les réflexions des philosophes et économistes, qui, tout en expliquant pourquoi notre modèle de société s'est embourbé dans la crise écologique, financière et politique que nous connaissons, inventent et expérimentent des alternatives. » — Coline Serreau Le documentaire de Coline Serreau cherche à poursuivre au delà des documentaires « environnementaux » récents en montrant des solutions en marche. Montrer l'universalité des solutions[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code] — Veronique Le Bris pour Première[1] — Stéphane Humbert pour CineAlliance.fr[2] Fiche technique[modifier | modifier le code]

Feed lots. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Feed lots

Feed lots au Texas Les feed lots (feedlots), ou parcs d'engraissement en français, sont des parcs d'engraissement intensifs de bovins en Amérique du Nord notamment au Texas, au Kansas et en Oklahoma. Ils se sont aussi développés dans les pays exportateurs de viande: Afrique du Sud, Argentine, Australie et Brésil. But[modifier | modifier le code] Ils permettent à partir d'espaces réduits une forte production en viande via un rendement très élevé.

Système[modifier | modifier le code] Il s'oppose à l'élevage extensif (ranching en anglais) dont il est cependant complémentaire. « On peut nourrir 10 milliards d’humains en bio sans défricher un hectare »