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Serendipity

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Dead Drop. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une clé USB est scellée dans un mur. Une Dead Drop est une clé USB fixée dans l'espace public permettant un partage de données (en l'occurrence un partage de fichiers) de manière anonyme et non connectée à un réseau informatique (hors ligne). Description[modifier | modifier le code] Le premier réseau Dead Drops, au nombre de cinq clés, a été commencé en octobre 2010 à New York par l'artiste berlinois Aram Bartholl (en)[1], un membre du collectif new-yorkais Free Art and Technology Lab (en) (alias F.A.T. lab). Chacun est invité à déposer ou rechercher des fichiers sur une dead drop. Pour y brancher un appareil de façon plus confortable, il est souhaitable d'utiliser un câble rallonge USB.

Avantages et inconvénients[modifier | modifier le code] Inconvénients[modifier | modifier le code] Avantages[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Ennemi. Nefertiti Hack. Thierry Fournier : news, works, texts, infos. Jeppe Hein. » 7 billion pixels Antoine Schmitt. 7 billion pixelsAntoine Schmitt 2013 Film génératifDurée : 1h56’40” Taille : variable.Créée avec le soutien de Edith Russ Haus et du Stiftung Niedersachsen.L’oeuvre consiste en un film dans lequel 7 milliards de pixels individuels traversent l’écran, chacun sur sa propre trajectoire, au rythme de 1 million de pixels parseconde, résultant en un film d’une durée totale de 1h56’40”.

Le film est projeté en haute définition sur un écran de type cinéma, pour confronter physiquement le spectateur au flux. Chaque pixel traverse l’écran de gauche à droite en une seconde, dans une ambiance de grande vitesse et d’urgence. La trajectoire de chaque pixel est totalement indépendante des autres, et le flux semble animé d’un comportement chaotique sans organisation globale, tout en reflétant les intentions individuelles de chaque pixel. Malgré l’absence d’organisation, des patterns apparaissent, des regroupements, turbulences, vagues, etc. L'aventure intérieure du « Voyage en url » Tirée de l’installation à la galerie de Noisy-le-Sec en 2005, une série de neuf caissons lumineux met en forme les URL façon oscilloscope. © DR L’aventure intérieure du « Voyage en url » Qu’en est-il de nos habitudes domestiques dans les mondes virtuels ? Quels arrangements et repères bricolons-nous pour classer, nommer, archiver, voire masquer fichiers et dossiers ?

Le collectif d’artistes 1.0.3 invite à un drôle de voyage, une pérégrination dans les flux de notre navigation, à l’aide d’une clé USB archivant les adresses des sites visités. Le tout s’intitule Voyage en url et concerne pour l’instant 500 personnes. Cela fait cinq ans environ qu’1.0.3 s’attelle à la scrupuleuse entreprise de conservation des données informatiques les plus intimes, celles qui révèlent nos schémas mentaux. En 2005, la galerie de Noisy-le-Sec en exposait quinze, tous issus de disques durs d’artistes œuvrant dans le champ des nouveaux médias, du musicien Scanner à Etienne Cliquet.