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Florian DONNEAUD

B.A.R.Y.L. Un robot poubelle mobile pour sensibiliser à la propreté des gares Nouvelles technologies BARYL Gare de Lyon Gares et Connexions innovation prototype Robotique sncf. La SNCF s’est associé à une startup, Immersive Robotics pour développer un prototype de robot poubelle mobile. Baptisé B.A.R.Y.L. il a pour objectif la sensibilisation des clients des gares vers la propreté en attirant leur attention. Le prototype de robot poubelle mobile va être expérimenté entre le 5 et le 10 décembre 2016, en conditions réelles, en Gare de Lyon, à Paris. Ensuite, il effectuera une « tournée » de gares en régions.

Fruit d’une collaboration entre les directions de la division SNCF Gares & Connexions et la startup française Immersive Robotics, ce robot se déplace aléatoirement au sein d’un périmètre défini. Le robot poubelle mobile B.A.R.Y.L rejoint désormais le cercle très fermé des « assistants automatiques » dont la laveuse Swingobot 1650 fait déjà partie ayant été testée avec succès dans cette même Gare de Lyon.e. Avec son nouveau gadget, Amazon met le pied dans la porte du frigo. Amazon a un plan : qu’on ne sorte plus jamais de chez soi pour acheter quoi que ce soit. Le géant américain veut tout nous vendre (en ligne) et tout nous livrer (à domicile), si possible le jour même. Avec son nouveau gadget – l’Amazon Dash – ce sont nos frigos qu’il veut intégralement remplir.

Bête comme chou La télécommande « Dash » - Amazon L’Amazon Dash (voir ci-contre) est un petit scanner en forme de télécommande, doté d’une fonction vocale, qui permet de faire ses courses de chez soi – y compris les aliments frais – et d’être livré le jour même (ou le lendemain matin). Concrètement, utiliser la télécommande Dash, c’est bête comme chou : soit on scanne le code-barres d’un produit qu’on a déjà chez soi grâce au lecteur LED intégré, soit on dit « pomme » ou « saumon frais » dans le micro, et le Wi-Fi fait le reste : notre liste de courses s’agrandit d’autant dans l’appli dédiée, et il n’y a plus qu’à valider la commande derrière pour que la livraison soit ordonnée.

Bientôt en Europe ? Exclu : Karma, le drone de GoPro, est arrivé à la rédaction ! En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Accueil Newsletter AdrianBRANCO Journaliste Newsletter Actualités GoPro nous a envoyé en exclusivité son tout premier drone, le Karma. Le Karma est le premier drone de GoPro, entreprise californienne qui s’est rendue célèbre pour ses caméras d’action.

Plus qu’un énième drone, Karma est en fait un système modulaire : le système de stabilisation (gimbal) comme la caméra sont désolidarisables de la structure volante en elle-même. Livré dans un sac à dos Comme de plus en plus de drones haut de gamme, le Karma est livré non pas dans un simple carton en vrac mais dans un sac à dos adapté. Core, l’engin volant Batterie massive Adrian BRANCO. L'ampoule connectée enfin mise en lumière. Une semelle connectée pour détecter les mines en Colombie. VIDEO. La SNCF mise sur les trains connectés remplis de capteurs. « Les enjeux sont spectaculaires, s’enthousiasme Guillaume Pepy, le PDG de la SNCF. Il n’y a pas grande chose qui échappe à ce que certains appellent la quatrième révolution industrielle. C’est peut-être la fin des incidents de caténaires ».

Car avec ces capteurs, qui transmettent leurs informations par le Net, la compagnie ferroviaire espère mieux surveiller ses trains, son réseau, ses gares et anticiper les pannes. Anticiper la panne « Il arrive souvent que les pantographes (Ndlr : dispositif placé au-dessus du train pour capter le courant), arrachent les caténaires lorsqu’ils sont usés, détaille Yves Tirode, directeur du digital à la SNCF. Depuis cinq mois, plus de 220 trains Franciliens disposent déjà de ces capteurs, en moyenne 2000 par rame. Reste que cette digitalisation aura un impact sur l’emploi. VIDEO. Objets connectés : quelles opportunités pour le marketing ? Télévision, balance, montre, textile, voiture, ou, encore, cafetière : les objets connectés se propulsent dans la vie quotidienne des consommateurs. Au point que nous devrions en compter quelque "50 milliards dans le monde, d'ici 5 ans", relève Aurélie Gibiat, directrice du département Technologies, Médias, Télécoms et Entertainment d'Harris Interactive, à l'occasion de la conférence du Club Marketing 2.0 de l'Adetem, le 9 septembre.

La révolution "connectée" est en marche, mais quelles en sont les opportunités pour le marketing ? Les questionnements émergent, afin de (re)mettre du marketing dans le marché des objets connectés : sur les nouveaux business modèles, la transformation des métiers, et bien sûr, la place du consommateur dans les stratégies.

Quelle place pour le consommateur ? Résultats : les objets connectés sont de plus en plus connus par les Français (76 %), mais pour 78 % d'entre eux, ceux-ci ne présentent pas d'intérêt. "Expliquer le bénéfice consommateur" Les 5 secteurs qui vont profiter de l’Internet des objets. Le marché des objets connectés est promis à une forte croissance dans les années à venir. Tous les secteurs ne profiteront pas de cette manne, seuls certains comme les transports ou la santé devraient augmenter leur activité. Utilisés dans le cadre de tests ou sujets d'expérimentations commerciales, les objets connectés pourraient représenter une nouvelle manne pour les professionnels.

Outre l'attrait que représente la vente de ces appareils, les effets induits pourraient générer plusieurs milliards pour certains secteurs. Hervé Collignon, responsable en charge des secteurs des Télécoms, et du High Tech au sein du cabinet AT-Kearney nous explique : « les sociétés veulent à tout prix éviter de rater un virage important dans leur domaine. En ce qui concerne l'Internet des objets, l'impact est déjà présent et la technologie a un potentiel fort. La voiture connectée est en route Le marché des transports a déjà anticipé l'arrivée des objets connectés. Le logement se connecte à la sécurité.

Objets connectés : un tiers des utilisateurs les abandonnent dans les 6 mois. Selon une étude du cabinet GfK, un tiers des utilisateurs d’objets connectés les abandonneraient dans les six mois. Un chiffre qui dénote avec le nombre de plus en plus important de produits qui arrivent sur le marché. Les consommateurs ne semblent pas si séduits. L’étude de GfK porte sur le marché des objets connectés en général. 1000 utilisateurs ont été choisis pour servir de base à l’étude. Selon le cabinet, 11% des objets connectés vendus sur le marché sont des montres, et 39% sont des trackers d’activité. Evidemment l’information la plus marquante est que 33% des utilisateurs de ces objets connectés les abandonnent complètement dans les six mois. Pourtant c’est un marché en pleine expansion. De plus en plus de marques s’y mettent, et les géants du secteur ont presque tous commercialisé leur objet connecté.

Apple a annoncé son Apple Watch pour 2015, Samsung est déjà bien implanté, tout comme LG, et Motorola vient de sortir sa Moto 360. Objets connectés et sécurité : bientôt des hackers dans votre maison. L’Internet des objets (IoT) est, depuis quelques années, un secteur en plein essor – une expansion qui n’est pas prête de s’arrêter là puisque IDC prévoit que le nombre d’objets connectés dans le monde s’élèverait à 50 milliards en 2020, surpassant ainsi le nombre de PC, tablettes et smartphones réunis. Si l’IoT rencontre un succès aussi retentissant, c’est notamment parce qu’il facilite le quotidien en permettant de contrôler et d’accomplir de nombreuses tâches à distance et en temps réel. Cependant, un grand nombre de personnes ayant succombé aux objets connectés oublient que 90 % de ces dispositifs collectent les données personnelles selon l’IoT Research Study. Même si les objets connectés ont révolutionné le rapport des utilisateurs à la technologie, ils constituent une mine d’or pour les hackers qui peuvent utiliser les données personnelles et confidentielles à des fins malveillantes.

Ondrej Vlcek, Chief Operating Officer chez Avast, commente : Les ventes d’objets connectés continuent de progresser malgré les craintes liées à la sécurité ou à la confidentialité. Le rapport publié par F-Secure montre que 23 % des personnes interrogées ont acheté une télévision connectée au cours des 12 derniers mois. Le nombre d’utilisateurs ayant fait l’acquisition d’un ordinateur oscille également autour des 23 %.

L’étude réalisée auprès de 8 800 consommateurs souligne l’adoption lente mais progressive de l’Internet des Objets. Cependant, elle met également en lumière les craintes des utilisateurs concernant la sécurité et la confidentialité de leurs données. D’autres types de produits comme les vêtements et les dispositifs connectés sont également en voie d’être adoptés par le grand public. En revanche, 70 % des répondants ont fait part de leurs inquiétudes quant à la vulnérabilité de ces objets face au piratage, et 69 % craignent d’être suivis par des tiers par le biais de leurs appareils. « L’Internet des Objets est en passe de devenir une cible de choix.

En effet, qui penserait à protéger sa montre connectée ? M.